J'ai aussi eu les tomes 21 et 24 en plus et j'ai vu que les tomes n'avaient pas de couleur.
Aprés inventaire de chaque tomes recus via l'abonnement j'ai aussi les tomes 8_11_14_16_22_23_25_26 sans pages couleurs.
Vous avez la même chose ?

Le 08 janvier 2024 à 19:44:12 :
J'ai aussi eu les tomes 21 et 24 en plus et j'ai vu que les tomes n'avaient pas de couleur.
Aprés inventaire de chaque tomes recus via l'abonnement j'ai aussi les tomes 8_11_14_16_22_23_25_26 sans pages couleurs.
Vous avez la même chose ?

Edit : ca doit etre normal, deux pages couleurs pour ces tomes et ca doit etre le sommaire.

J'ai continué ma lecture jusqu'au tome 11, si peu de chapitres et déjà tellement de moments plein d'émotions. Les deux premiers volumes étaient déjà pour moi un arc d'introduction extraordinaire mais au tome 5 j'ai vraiment compris que je lisais quelque chose de spécial. SpoilAfficherMasquerLe deuil de Masaru et Shirogane, toute l'intrigue qui se lance sur l'alchimie et l'aqua vitae, les pensées de Narumi, "La vie m'a une fois de plus filé entre les doigts.", L'arc à l'hôpital aux US où Narumi apprend la mort de l'enfant et le docteur lui dit "Rigole, Narumi."...
Je crois que c'est la première fois que je prend le temps de relire des tomes précédents d'un manga alors que je suis en pleine première lecture. J'espère que le reste du manga ne partira pas en sucette parce que pour le moment je le place aux côtés des plus grands sans hésitation. Très dommage qu'il soit si peu discuté (le manque de scans joue je suppose) mais au moins on a une excellente édition Perfect. Hâte de lire la suite et il faut absolument que je lise les autres œuvres de ce mangaka aussi.

Fini hier...
Quelle aventure.

J'ai eu du mal à me lancer dans le sprint final, et après avoir fini, le sentiment que je prévoyais est bien arrivé : triste de quitter ces personnages.
Le dernier chapitre a accentué ce sentiment... Je reviens à ce que je disais au début de ma lecture, j'aurais envie d'en voir plus...
Mais même conclusion qu'à l'époque, si c'est la seule frustration que j'ai, c'est que l'œuvre a réussi à m'emporter !

Je crois me souvenir qu'un message des pages précédentes relevé que les combats étaient brouillons... Je ne suis pas d'accord.

Si on ne juge que sur le point de la chorégraphie, on pourrait peut-être dire que ce sont des combats assez expéditif. Il n'y pas une avalanche de coups, de contre, de contre de contre, de feinte... Sur plusieurs chapitres. Ici, tout se joue sur un ou deux coups bien placés.
Défaut ? Je ne trouve pas.
Premièrement, parce que tout le manga se base sur des affrontements entre entités de natures complètements différents, dont certaines qui sont bien instauré comme supérieur en termes de force SpoilAfficherMasquer Les automates > Shirogane O >= Shirogane > Humain, débattable pour ceux du milieu bien sûr . D'un côté, les plus fort n'ont pas besoin de grand-chose pour vaincre les plus faibles, et aux contraires, les plus faibles ne peuvent battre les plus fort seulement s'ils utilisent des stratégies décisives SpoilAfficherMasquer Les couteaux de Vilma .
Deuxièmement, ça me fait penser aux numéros de cirque. Ironique ? Si la moindre erreur se glisse dans le numéro, le spectacle à ce moment-là est gâché. Il faut être le plus efficace, rapide et impactant. Si un funambule marche sur son fil, sans filet, et tombe... Effectivement, c'est assez brutal. Il n'y a pas de nuance entre le bien fait et le raté.
Et troisièmement... Ce n'est clairement pas sur la chorégraphie que Karakuri Circus met l'honneur, ce sont surtout les enjeux physiques et/ou mentaux reposant sur la victoire des personnages. La chorégraphie a un rôle a joué pour les retranscrire, oui, mais c'est surtout les dialogues et leur découpage qui fait ce travail... Et sur ce point, Karakuri Circus fait des merveilles.

En exemple SpoilAfficherMasquer Le combat de Dmitri pour sauver Narumi de la plus petite blessure possible. En soit, on peut résumer l'action a simplement Dmitri qui se prend des coups et se sacrifie... Ça serait oublié toute l'intensité que le personnage a pour briser les chaînes l'emprisonnant au mur, le comparatif avec Knight Michelle qui malgré le fait d'être pris au piège à son tour ne pense qu'a blesser Narumi, et le sacrifice en se prenant les piques, expliqué par Dmitri avec des phrases aussi simplettes, mais tout aussi sincèrement dit que celle de Narumi dans les chapitres précédents...
Ce qui, rétrospectivement, rend ce combat encore plus beau, c'est qui est parallèle avec le dernier affrontement de Shirogane du manga avec Le mariage d'Harlequin. Les deux entrée de Narumi sont les quasi-identiques.
Pour le coup, on peut faire difficilement aussi expéditif aussi cette confrontation. Il n'y a en soit qu'un seul coup. Mais entre les pensées du prêtre avec un œil inconnu de la situation qui accompagne le lecteur avec ses prières pour que la situation se finisse bien. Les répliques d'Harlequin qui semblent toujours moqueur du sérieux de la situation ( Je ne sais pas exactement ce qu'il dit en version japonaise, mais qu'il dise que ' aussi vrai que le serpent mange de la boue ' rajoute à l'ambiance religieuse de la scène ). Cette petite coopération entre Shirogane et Narumi, naturel, presque instinctif, qui me fait penser à la difficulté qu'avait eue Shirogane au début du manga pour aider Narumi. Et la page final où Harlequin perd non pas par une stratégie, ou sa bêtise, mais seulement par le détail que sa corne s'est fait endommagé par Pantalone qui lui joue un tour à l'Ashihana, et le fait sourire... Il y a un crescendo magnifique pour une poignée de pages. Bien plus riche qu'on pourrait le penser.

Je dirais que la plus grande force Karakuri Circus, c'est sa consistance aux détails qui vient tout de suite faire référence aux mouvements des rouages des machines, dont une seule peut chambouler tout le reste.
La plus grande preuve de cette consistance, c'est le fait qu'à bien y regarder, la grande majorité des personnages ont le même développement : le rapprochement aux autres, ou l'éloignement. Ils vont de pair. Malgré ce thème commun à une panoplie large de personnage, aucun ne se ressemble, ou n'a des raisons similaires d'être accroché à cette thématique. Fujita a cultivé une variété impressionnante sur quelque chose qui de primes abords ne paraît pas avoir autant de potentiel.

Moonlight Act restera tout même mon manga préféré de Fujita ( Et préféré tout court ), mais je me demande bien si j'avais lu Karakuri en premier, il n'aurait pas réussi a avoir cette place... En réalité, je ne pense pas. Moonlight act est un manga qui m'a touché profondément dans mon esprit de lecteur, sur des points sensibles.
Karakuri Circus est resté plus général, ce qui fait sa force.

Très beau retour.

Il me reste 6 tomes à lire perso.

Je commence bientôt, j'ai pris les 6 premiers tomes