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Sujet : == { Paris Violence } ==

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MichaelTiteuf MichaelTiteuf
MP
Niveau 10
16 août 2004 à 17:12:26

Wake :d) je pense que tous les albums sont biens,mais vas-y,dis-moi lesquels sont les meilleurs. :ok:
Sinon,ils ont fait combien d´albums ?

TheDukeInFlames TheDukeInFlames
MP
Niveau 8
16 août 2004 à 21:04:18

yen a 4, enfin je crois

hopteon hopteon
MP
Niveau 6
16 août 2004 à 21:32:40

yep je viens de découvrir ce petit groupe et j´aime bien, seulement, comment je peux faire pr écouter ça sur nantes? enfin pr acheter plus exactement?

MichaelTiteuf MichaelTiteuf
MP
Niveau 10
16 août 2004 à 23:18:42

Tu trouveras peut-etre là:

http://www.fnac.com

MichaelTiteuf MichaelTiteuf
MP
Niveau 10
16 août 2004 à 23:19:13

Les dieux s´ennuient

Du pur bonheur. :content:

El-Hefe El-Hefe
MP
Niveau 10
17 août 2004 à 15:12:49

J viens d écouter OLAF de PV j adore vraiment tu C pas ou je purrais trouver les vynils sur le net wakekorn ?

El-Hefe El-Hefe
MP
Niveau 10
17 août 2004 à 17:24:42

lol me suis planté c Orlaf de banlieu rouge snifff mais bon je cherche quand meme du PV et aussi du BR en vynnil

skinner_gold skinner_gold
MP
Niveau 10
17 août 2004 à 21:50:05

MichaelTiteuf Posté le 16 août 2004 à 17:12:26
Wake je pense que tous les albums sont biens,mais vas-y,dis-moi lesquels sont les meilleurs.
Sinon,ils ont fait combien d´albums ?

> bah.. perso, j´peux t´conseiller la compil´, " Réglons nos comptes", elle est vraiment bien variée et te permet de t´faire découvrir le groupe à travers plusieurs aspects...

les albums, yen a eu 2, j´crois.. mais ya eu plein d´EP.

MichaelTiteuf MichaelTiteuf
MP
Niveau 10
17 août 2004 à 21:52:43

Merci skinner. :ok:

MichaelTiteuf MichaelTiteuf
MP
Niveau 10
17 août 2004 à 21:53:19

Service inutile.

:content:

skinner_gold skinner_gold
MP
Niveau 10
18 août 2004 à 00:54:12

une de mes preferées!!!! avec Ungern-Sternberg!

MichaelTiteuf MichaelTiteuf
MP
Niveau 10
18 août 2004 à 09:02:34

Elle déchire aussi celle-là,les dieux s´ennuient aussi,en disgrace,d´outre-tombe...

MichaelTiteuf MichaelTiteuf
MP
Niveau 10
18 août 2004 à 09:26:52

Service inutile, je l´écoute en boucle. :content:

MichaelTiteuf MichaelTiteuf
MP
Niveau 10
18 août 2004 à 09:29:16

Ce groupe me déprime à fond !

55fq 55fq
MP
Niveau 10
18 août 2004 à 10:19:02

Pourquoi donc?

skinner_gold skinner_gold
MP
Niveau 10
18 août 2004 à 10:42:08

55 > r´garde les paroles si tu peux, tu verra!!!

avec PV, t´es plongé dans pleins d´endroits differents, ils arrivent à retranscrire l´ambiance d´un lieu, et d´une époque avec brio!!!!!

MichaelTiteuf MichaelTiteuf
MP
Niveau 10
18 août 2004 à 11:18:14

Ouaip !

MichaelTiteuf MichaelTiteuf
MP
Niveau 10
18 août 2004 à 11:26:01

Le Crépuscule des Idoles

Un vent lugubre de fin de règne
Souffle sur nos sociétés mourantes
Qui se convulsent et qui saignent
Dans leurs contorsions décadentes
L´homme cède la place au code-barre
La procréation au clonage
Un jeune millénaire hagard
Naît dans un puant marécage

Toutes nos croyances les plus fortes
Et tous nos plus profonds symboles
N´étaient-ils que vaines idoles
Déjà tombées et bientôt mortes ?

Le libéralisme à tout prix
Paie celui de sa démesure
Préparant sa propre agonie
Dans sa chute effrénée et sûre
Vache folle, OGM
Ou guerre bactériologique
Ne sont que les prolégomènes
D´une fin apocalyptique

Et nous entrons dans l´âge de glace
Et nous entrons dans l´âge de glace

Que sera le monde de demain
Engendré par ces tristes ruines ?
Ni surhumain ni inhumain
Une ère froide et cristalline
Que George Orwel ou Aldous Huxley
En leurs si justes prophéties
N´auraient pas même imaginé
Dans sa pathétique folie

Un autre symptôme infaillible
Des grands déclins continentaux
Les masses devenues insensibles
Les arts devenus commerciaux
C´est cette noyade culturelle
Cette esthétique de l´insipide
Vénale autant que superficielle
Mêlée à l´attrait du sordide

Douche Froide

Tu rêvais de belles déprimes
A noyer dans des nuits sans fin
Comme dans les vieux polars français
Du début des années 80

De bars glauques un peu enfumés
De plongeons brutaux dans la fange
De filles de nuit pour oublier
Entre deux vodka-orange

Tu rêvais de nuits en bagnole
A fond la caisse sur les périphs
A soigner ton ras-le-bol
En prenant les sorties au pif

A allumer tes blondes sans filtre
A la lumière du tableau de bord
En ouvrant de temps en temps la vitre
Pour balancer ta clope dehors

Et tu te retrouves encore comme un con
Au milieu des boîtes de cachetons
T´avais envie de tourner dans ton film
Et tu tournes seulement en rond

Tu voulais surtout un prétexte
Pour oublier cette vie si terne
Cette saloperie de tous les jours
Qui t´assaillit et qui te cerne

Mais c´est pas si facile que ça
De rayer passé et futur
Tu te rends compte malgré toi
Que la réalité a la dent dure

Qu´il va bien falloir y retourner
Dans cette éternelle débandade
Ça te fait plutôt un sale effet
Comme si tu prenais une douche froide

Tout paraît forcément dégueulasse
Quand on se met à regarder les choses en face
Replonger dans ce monde si crade
Ça te fait l´effet d´une douche froide

Psykhouchka

Il tourne en rond dans sa cellule
Sous l´œil placide des caméras
Il n´a plus de nom, seulement un matricule
Un lavabo, un lit de camp
Et quatre murs froids
La seule pitance qu´on lui accorde chaque soir
On la lui administre en intraveineuse
Ce sérum acide qui décape sa mémoire
Dissout ses neurones et ses fibres nerveuses

Dissident
Dissident
Condamné à finir ses jours
En hôpital psychiatrique
Dissident
Dissident
Les nuits sans lendemain
D´un prisonnier politique

Ligoté à la table d´opération
Cobaye impuissant hérissé d´électrodes
Il attend la mort comme une libération
Dans ces couloirs blancs
Empestant l´alcool et l´iode
Chaque jour son cerveau se délite un peu plus
Saturé de substances expérimentales
Il se sent devenir légume ou incubus
Perdant peu à peu ses capacités mentales

Bourreaux en blouses blanches aux tortures subtiles
Clinique glaciale sans portes ni fenêtres
Exécution capitale qu´à feu doux on distille
Un magma végétal grandissant dans sa tête
Sangles de cuir, aiguilles d´acier
Folie inoculée, démence sur ordonnance
S´efforcer d´obliger son esprit à fonctionner
Quand on le sent s´évanouir
Dans d´atroces souffrances

Troisième nuit dans la bagnole

Troisième nuit dans la bagnole / Embusqué derrière le volant
Avec une bouteille de gnôle / Et un flingue dans la boîte à gants
Surveillant dans ma somnolence / A travers la buée du pare-brise
L´entrée de la résidence / Dans la pénombre indécise

L627 ou Le Choix des Armes / A posteriori j´aurais préféré
Une scène de biture dans un pub / Si j´évite le sang et les larmes
Dans quinze jours on s´arrache cette histoire / Dans tous les vidéoclubs

Foutu blizzard, froid de canard / Pour bien préserver l´atmosphère
De polar tendance série noire / Avec Anconina ou Dewaere
Je recompte mes cartouches / En vidant le thermos de café
Soixante-douze plombes que je découche / A ce compte-là autant assurer

Troisième nuit blanche sur le compteur / Entre les lumières vertes et rouges
Et dans cet vieil immeuble de malheur / Y´a toujours rien qui bouge
Je repasse toujours les mêmes cassettes / du Motörhead ou du LSD
Si je ressors vivant de cette petite fête / Promis j´arrête de picoler

Faut pas grand chose ces soirs-là / Pour se faire trouer le bidon
Alors gaffe aux joyeux faux-pas / Ou c´est six bastos pour l´absolution
Un petit manque de sang-froid / Ou mon pétard qui s´enraye
Et je peux faire un croix / Pour de bon sur ma carte vermeil

J´essaie de ne pas voir ma tronche dans le rétro / Depuis que je suis coincé dans cette caisse
Ça doit pas être jojo / Je vais sans doute décevoir ces dames
Heureusement je risque de rencontrer / Que des culasses et des lames

Troisième nuit qui enfin s´achève / Dans le brouillard froid de sept heures
Pas mécontent que le jour se lève / Et que je sois encore branché sur le secteur
Foutu migraine, je suis dans le coltar / J´ai la gueule comme un punching-ball
Je débraye direction le plumard / Je suis frais comme un lendemain de picole

Police Python 357 / Ces sympathiques débutants
N´ont vraiment plus rien à m´apprendre / Ça a bien plus de gueule en direct
Si on a assez de présence d´esprit / Pour pas se faire descendre

Trois aspirines, un coup de rasoir / Et douze heures de pionce d´affilée
Je fonce vers les boulevards / Complètement déconnecté
Si dans dix minutes je ne suis pas au pieux / Je vais m´écouler dans la caisse
Exit de ce quartier poisseux / Et pleins tubes sur mon deux-pièces

Raison d´État ( Semaines sanglantes)

Que de sang a coulé en vain / Dont se sont baffrés tous ces chiens
Ces fossoyeurs impitoyables / Larbins des flics et des notables
C´est tout le Paris populaire / Qui avait traversé tant de guerres
Que froidement on décapite / A partir de juin 48

Les barricades se levaient / Au son du tambour qui roule
Tandis que quelques vieux croulants ordonnaient / De faire tirer dans la foule
Souviens-toi, Parisien
Souviens-toi jusqu´à la fin
Souviens-toi, Parisien
Souviens-toi des journées de juin

Et Napoléon le petit / Profitant du désordre ambiant
Déclara sauver le pays / En se proclamant prince-président
Les survivants reprirent les armes / Les barricades furent remontées
Et dans un immense vacarme / On lança des assauts désespérés

Vous verrez bien tout à l´heure / Comment on peut mourir
Pour vingt-cinq francs par jour / S´écriait le député Baudin
Juste avant que vienne son tour
Souviens-toi, Parisien
Souviens-toi jusqu´à la fin
Souviens-toi, Parisien
De la mort du député Baudin

Et la sanglante répression / Ne se fit bien sûr pas attendre
Exécution sans sommation / Des insurgés venus se rendre
On fit tirer sur les fenêtres / Fusillades des boulevards
Ordonnant de viser les têtes / De tuer femmes, gosses et vieillards

Bourgeois, soldats, comme artisans / Étudiants, jeunes gens, ouvriers
Furent écrasés dans le sang / Et on massacra les prisonniers
Souviens-toi, Parisien
Souviens-toi jusqu´à la fin
Souviens-toi, Parisien
Du 2 décembre 51

Et puis l´Empire s´effondra / Comme s´effondrent tous les empires
Sedan fut sa Beresina / La capitulation, son dernier soupir
Le changement se fit en douceur / La III° sut prendre le relais
Massacrant avec bon cœur / Quelques trente-cinq mille fédérés

Souviens-toi que les boulevards
Sont rouges du sang des Communards
Souviens-toi, Parisien
Souviens-toi jusqu´à la fin
Souviens-toi, Parisien
Des fusillés du petit matin

Dans la tourmente

Traîner soir après soir, une errance sans fin
Toujours les mêmes bars, toujours les mêmes coins
Quartiers chauds qui scintillent dans la nuit glaciale
Un îlot de lumière, toute la beauté du mal
Terminus sans appel de vies foutues en l´air
Paradis artificiels aux arrière-goûts d´enfer
Se retrouver encore derrière les mêmes zincs
Permanence nocturne entre quatre et cinq

Dans la tourmente
Dans la tourmente

Traîner soir après soir dans des ruelles désertes
Chercher désespérément une épicerie ouverte
Montagnes d´ordures dans les vieilles arrière-cours
Et au fond du cerveau, comme des coups sourds
Rester toujours branché sur le pilote automatique
Cavaler au hasard dans les quartiers périphériques
Et finalement se retrouver devant le Sacré-Cœur
Comme un moucheron attiré par un projecteur

Dans la tourmente
Dans la tourmente

Pourtant certains matins
Sur le pont de Caulincourt
Tu regardes sans rien dire
Les premiers rayons du jour
Pourtant certains matins
Encore un peu ivre
Tu te dis qu´après tout
Il faut bien vivre

Avoir complètement perdu la notion du temps
Que cette nuit immense
Qui semble durer depuis vingt ans
Et encore se débattre avec cette sale impression
De se retrouver dans un décor de science-fiction
Des couloirs souterrains
Qui s´enfoncent dans la nuit noire
Leurs murs blancs si froids comme ceux d´un abattoir
Béton dégueulasse, brouillage des sens
Câbles haute-tension, sale odeur d´essence

Dans la tourmente
Dans la tourmente

Non conforme

De la sous-merde de série Z / Sur grand écran, et son dolby
Ça excite bien les minettes / Plus quelques millions d´abrutis
Les foules baveuses se bousculent / Pour aller claquer leur paye
Devant les sourires ridicules / De pouffiasses made in USA

On engloutit sans états d´âme / Les goûts et les sensibilités
Dans une grande mélasse infâme / Uniforme et aseptisée
Quant à tenter d´en placer une / Autant demander la lune
Notre soi-disant culture / N´est plus qu´une fosse commune

Certifié non conforme
Je me plierai jamais à vos normes
Certifié non conforme
Les masses réclament qu´on les endorme

En pleine euphorie libérale / S´agite la danse macabre
Du pathétique carnaval / D´un empire qui se délabre
Et fringués comme des crétins / Entre deux modes et deux tendances
Tous ces moutons restent ravis / De leur lugubre déchéance

Et ces obtus connards rigolent / Ils trouvent tout ça quand même bien drôle
Ils savent pas vraiment pourquoi / Mais tout le charme vient de là
Alors en boucle ils récidivent / Dans leur hystérie collective
A se tordre de rire / A l´idée de tous mourir

Et on applaudit tous en choeur / Dans la joie et la bonne humeur
Devant le si charmant spectacle / Des millénaires en débâcle
Et on lève bien haut son coca / En souriant aux caméras
A l´inébranlable santé / De qui viendra nous enterrer

Dur d´être un ange

Tu te retrouves seul, comme toutes les nuits
Au fond d´un bistrot de Pigalle
Pour oublier tes insomnies
Et tes humeurs de plus en plus glaciales
De la banquette en skaï défoncé
Tu reluques les macs et les travestis
En alignant les whiskys bien tassés
Les gin-tonics et les kirs cassis

C´est pas ta faute si la vie fait pas de fleurs
Et après tout c´est pas un drame
C´est dans le sang qu´on lave son honneur
Mais c´est dans l´alcool qu´on lave son âme
Dur d´être un ange

Lumière jaune des soirées solitaires
Dans les recoins cachés de la ville
Là où c´est contre les réverbères
Qu´on monnaye ses idylles
A l´heure des règlements de compte
Quand à la sortie des boîtes de strip
On sent la tension qui monte
Et les lames prêtes à déchirer de la tripe

Toi, tout au fond du bar, tu attends
Une rencontre ou une embrouille
Pour bousculer ce quotidien navrant
Pourtant tu sais que tu rentreras bredouille
Dur d´être un ange

Alors faute de changer ta vie
Tu regardes se perdre celle des autres
Dans les sous-sols de Monoprix
Entre deux deals pas très propres
Ou dans les grands parkings déserts
Où on donne des leçons de décence
A coups de pompes ou de barres de fer
A méditer dans l´ambulance

Toi, tout au fond du bar, tu attends
de jouer toi aussi ton aventure
Mais celles-là, tu le sais pourtant
Finissent toujours au milieu des ordures
Dur d´être un ange

Demi-saison

Étrange dérive lente et tranquille
Déclin discret entre deux eaux
Marais éteints, pentes faciles
Parmi les massifs de roseaux
Visions brouillées, évanescences
Une léthargie maladive
Les plus mortelles décadences
Sont toujours les plus lascives

Même les immenses nénuphars
Ont à présent l´air malades
Dans cet à-peu-près cauchemar
Tout en nuances maussades

Changer lentement de substance
Virer peu à peu au végétal
Sans chaleur et sans souffrance
Dans l´aigreur d´un vent matinal
Délirer sans discontinuer
Savourer doucement sa fièvre
En se laissant ballotter
Dans ces demi-teintes un peu mièvres

S´abandonner dans ces eaux mortes
Où frissonne un dernier courant
Dont on ne sait trop où il porte
Ni s´il existe vraiment
Perdre encore un peu la raison
S´engourdir sur ces ondes lisses
Dans cette onirique flottaison
Comme un éternel Osiris

Aurore glaciale

Après cette si longue nuit, se réveiller enfin
Tant d´années de ténèbres chassées en un matin
Voir se dissiper dans un clair ciel d´hiver
Cette rage sans espoir, cette anxiété amère
Ne plus avoir de comptes à rendre qu´à soi-même
Chasser d´un seul coup les dernières migraines
Se réveiller sans crainte, sans ce tonnerre sourd
Qui ébranle le cerveau à chaque nouveau jour

Une aurore éternelle
Une aurore éternelle
Une aurore éternelle
Une aurore éternelle

Ne plus rien ressentir qu´un apaisement froid
Avoir évité et la peste et le choléra
Se relever enfin dans une aube glaciale
Ne plus s´encombrer n du bien ni du mal
Ni remords ni rancunes, un oubli sans appel
des années d´aigreur jetées à la poubelle
Ne plus rien attendre, se laisser glisser
Sans appréhension, sans hâte et sans regrets

Se diluer, se dissoudre
Ne plus jamais chercher à en découdre
Calme plat, échos sourds
S´accommoder pour une fois de ce mortel séjour

Voilà les paroles de quelques chansons qu´il y a sur le site.

skinner_gold skinner_gold
MP
Niveau 10
18 août 2004 à 15:11:00

Haaa... j´me retape pour la 5e fois L´Age de Glace!!!!

putain, Raison d´Etat, trop bon!!!!!!

Koja Koja
MP
Niveau 7
18 août 2004 à 15:31:30

J´adore In Memoriam de ce groupe!
Mais quels sont leurs meilleurs titres???svp

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