Pas trop compris les phrases entre parenthèses Un deuxième poème écrit en parallèle nan?

Ouai, c'est ça (d'un coté ça fait vraiment longtemps que j'ai écris ^^ ) C'est une sorte de parallèle avec le première poème

Toi tu dois savoir que ne pas comprendre quelque chose rend triste, alors t'a fait deux poème parallèle qui n'ont aucun sens ( ou presque ) et comme ça on a une chance de verser une larme, pas mal

Un visage si dur,
Des main glacée,
Les courbes transpercées,
Sa voix n'étant plus qu'un murmure.

Elle avait tout perdu,
Elle n'était plus rien,
Plus femme,
Plus humain.

Ayant combattu le sang impure,
Défendu les idéaux corrompus,
Ayant été trompé et rejeté,
Son corps et son âmes s'étaient brisées.

Sa lame s'étant retourné contre elle,
Ses amis l'ayant humilié,
Son époux l'ayant achevé,
Et le reste l'ayant délaissé.

Pour eux tous,
Elle était morte,
Pour elle même,
Elle était un fardeau.

La honte,
La douleur,
La colère,
La peur.

Ses yeux se ferment,
Ses mains tombent,
Son corps s'abandonne,
Sa voix n'étant plus qu’inaudible.

Très joli poème ! J'apprécie vraiment son rythme sans cesse changeant

Dur manque

Des Hommes dont le sourire est renversé.
Je peux les voir et les décrire à ma fenêtre.
J’ai essayé de chercher d’autres entités,
Et me voilà de nouveau seul avec les hêtres.

Je ne peux plus dire des hommes qu’ils sont vrais,
Puisqu’ils mentent et corrompent comme les prêtres.
La peur, la rage, le dégoût sont les effets.
Le sommeil disparait en moi face à ces tertres.

Pitié ! Immolez-moi, brûlez-moi par la glace !
Que mon plat corps parte de ce monde noir, blanc…
Je sais bien que les mauvaises âmes se tassent.

Soit ! Je ne peux point fuir et faire semblant
D’abandonner ce monde mien, mais qui me lasse ;
C’est pourquoi je serai la belle tornade qui, puissante, balayera des quatre vents!

Lorsqu’on est jeune on sur estime la vie
On se dit presque qu’elle est infinie
On demande de grandir pour être adulte
Pour devenir un peu moins inculte

Puis le temps avance, on a 20 ans
On ne se rend pas compte qu’on est plus enfant
On a des responsabilités, des choses à faire
Et on est un peu moins tête en l’air

Quand on arrive au milieu de sa vie
On sous estime celle-ci
On dit qu’elle est passée trop vite
Et on ne veut pas en voir la suite

Et quand on a la soixantaine
On voudrait retrouver la vingtaine
Pour profiter de ce qu’on a manquer
Même s’il faut en abuser

Et puis arrive le moment où
On tousse au lit, on tient plus debout
Et seulement on se rend compte
Que la vie, ce n’est pas un conte

Joli

Lorsque le jour se lève, les oiseaux chantent
La verdure se retrouve bien vivante
Et la nature devient séduisante

C'est un nouveau jour qui commence
Après la nuit, rompant le silence
Qui s'éveil avec patience

Il n'y a rien de plus beau
Tout deviens vivant même le ruisseau
Qui coule juste derrière mon dos

Le soleil se lève, j'en frissonne
Dans cette nature il n'y a personne
Je ne rêve pas : ca m'enfançonne

Il est alors 7 heure du matin
Pour mes yeux : un vrai festin
Et pour mon coeur un gros butin

C'est un nouveau jour bien unique
On en croirait un monde orinique
Comment peut on en être allergique?

C'est la matin dont j'ai rêvé
Que je ne vois que cette journée
Car plus tôt je n'ai pas freiné