Bon, vu que le forum est populaire, j'ai décidé de faire le blabla.
Bon dialogues
Salut.
Wooooooo 1.000 posts ! Ca ce fête
Tennis - US Open
Federer «très relax»
Quintuple tenant du titre, Roger Federer présente le visage de la sérénité. Mais son calme et sa décontraction ne trahissent aucune démotivation. Le numéro 1 mondial se sent bien et a « toujours une grosse envie de gagner».
«Je suis très relax»
Cette année, Roger Federer arrive à New York avec les titres de Roland-Garros et Wimbledon et un nouveau rôle de papa avec la naissance de ses jumelles, Mila et Charlene. Et le Suisse apparaît très décontracté. A son arrivée en conférence de presse, les questions en anglais tardent à jaillir et le numéro 1 mondial avoue en souriant «Great» quand l'attachée de presse lance «Pas de question en anglais». Puis il revient plus sérieusement sur sa nouvelle vie et ses sensations du moment. Comme son jeu, tout baigne : «Cette année est différente. Je sens que je joue bien. J'arrive avec beaucoup de confiance et je suis très relax. Je suis frais physiquement et mentalement. Je sens que mon jeu est là où je veux qu'il soit, je ne me pose pas beaucoup de questions. J'ai moins de pression que l'an dernier où j'aurais été très déçu de ne pas gagner un Grand Chelem dans l'année.»
«Une grosse envie de gagner»
Il a beau posséder le plus beau palmarès, détenir quinze titres du Grand Chelem sur toutes les surfaces et rester sur cinq victoires consécutives à l'US Open, Roger Federer en veut toujours plus. Trois jours après la naissance de ses filles, il avait déjà repris le chemin de l'entraînement et ce n'est pas en père indigne. Il raconte en riant que ses filles dormaient tout le temps alors il pouvait s'échapper sur les courts, situés à cinq minutes de l'hôpital. Comme elles sont arrivées un peu plus tôt que prévu, il a donc décidé de disputer les tournois de Montréal et Cincinnati et il enchaîne tranquillement. Sa femme Mirka gère, toute sa famille va bien et le champion peut se concentrer sur le jeu. Personne ne vient entraver sa soif de victoires : « Pas grand-chose n'a changé. J'ai toujours une grosse envie de gagner. Cela revient toujours quand je dois affronter les meilleurs joueurs sur les tournois du Grand Chelem. C'est bien de savoir que j'ai déjà accompli beaucoup de choses en peu de temps. Cela rend les choses un peu plus faciles.» Seule petite différence, il n'ira pas au music-hall à Broadway pour rester avec sa femme et ses filles.
Son premier tour contre Devin Britton
Lundi sur le central, Roger Federer affronte un jeune de 18 ans, Devin Britton. Un match ordinaire pour le Suisse, un match extraordinaire pour l'Américain. Mais le numéro 1 mondial n'a pas la mémoire courte, il se souvient d'avoir vécu cette situation quand il avait 17 ans à Bâle chez lui face à Andre Agassi. « J'étais sous le choc, mais il faut essayer d'apprécier et livrer un beau combat. C'est un peu différent dans un Grand Chelem avec des matches en cinq sets. Britton n'a peut-être jamais vécu cela. Mais en tennis, tout le monde a sa chance quel que soit l'adversaire et le lieu. » Et Roger Federer n'a pas oublié la leçon : « Ce n'est pas parce que tu joues contre Agassi ou Federer qu'il faut changer quelque chose, il faut garder ses habitudes. Il faut se préparer comme si tu jouais contre un junior. Si tu te prépares différemment, tu commences à te poser beaucoup plus de questions, tu te demandes si c'est bien et tu ne peux pas jouer librement, tu te mets beaucoup plus de pression. Tu n'as rien à perdre, c'est une situation agréable.»
Sophie DORGAN, à New York
PS : Owiii flood sans risque de ban
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Federer «très relax»
Quintuple tenant du titre, Roger Federer présente le visage de la sérénité. Mais son calme et sa décontraction ne trahissent aucune démotivation. Le numéro 1 mondial se sent bien et a « toujours une grosse envie de gagner».
«Je suis très relax»
Cette année, Roger Federer arrive à New York avec les titres de Roland-Garros et Wimbledon et un nouveau rôle de papa avec la naissance de ses jumelles, Mila et Charlene. Et le Suisse apparaît très décontracté. A son arrivée en conférence de presse, les questions en anglais tardent à jaillir et le numéro 1 mondial avoue en souriant «Great» quand l'attachée de presse lance «Pas de question en anglais». Puis il revient plus sérieusement sur sa nouvelle vie et ses sensations du moment. Comme son jeu, tout baigne : «Cette année est différente. Je sens que je joue bien. J'arrive avec beaucoup de confiance et je suis très relax. Je suis frais physiquement et mentalement. Je sens que mon jeu est là où je veux qu'il soit, je ne me pose pas beaucoup de questions. J'ai moins de pression que l'an dernier où j'aurais été très déçu de ne pas gagner un Grand Chelem dans l'année.»
«Une grosse envie de gagner»
Il a beau posséder le plus beau palmarès, détenir quinze titres du Grand Chelem sur toutes les surfaces et rester sur cinq victoires consécutives à l'US Open, Roger Federer en veut toujours plus. Trois jours après la naissance de ses filles, il avait déjà repris le chemin de l'entraînement et ce n'est pas en père indigne. Il raconte en riant que ses filles dormaient tout le temps alors il pouvait s'échapper sur les courts, situés à cinq minutes de l'hôpital. Comme elles sont arrivées un peu plus tôt que prévu, il a donc décidé de disputer les tournois de Montréal et Cincinnati et il enchaîne tranquillement. Sa femme Mirka gère, toute sa famille va bien et le champion peut se concentrer sur le jeu. Personne ne vient entraver sa soif de victoires : « Pas grand-chose n'a changé. J'ai toujours une grosse envie de gagner. Cela revient toujours quand je dois affronter les meilleurs joueurs sur les tournois du Grand Chelem. C'est bien de savoir que j'ai déjà accompli beaucoup de choses en peu de temps. Cela rend les choses un peu plus faciles.» Seule petite différence, il n'ira pas au music-hall à Broadway pour rester avec sa femme et ses filles.
Son premier tour contre Devin Britton
Lundi sur le central, Roger Federer affronte un jeune de 18 ans, Devin Britton. Un match ordinaire pour le Suisse, un match extraordinaire pour l'Américain. Mais le numéro 1 mondial n'a pas la mémoire courte, il se souvient d'avoir vécu cette situation quand il avait 17 ans à Bâle chez lui face à Andre Agassi. « J'étais sous le choc, mais il faut essayer d'apprécier et livrer un beau combat. C'est un peu différent dans un Grand Chelem avec des matches en cinq sets. Britton n'a peut-être jamais vécu cela. Mais en tennis, tout le monde a sa chance quel que soit l'adversaire et le lieu. » Et Roger Federer n'a pas oublié la leçon : « Ce n'est pas parce que tu joues contre Agassi ou Federer qu'il faut changer quelque chose, il faut garder ses habitudes. Il faut se préparer comme si tu jouais contre un junior. Si tu te prépares différemment, tu commences à te poser beaucoup plus de questions, tu te demandes si c'est bien et tu ne peux pas jouer librement, tu te mets beaucoup plus de pression. Tu n'as rien à perdre, c'est une situation agréable.»
Sophie DORGAN, à New York
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«Je suis très relax»
Cette année, Roger Federer arrive à New York avec les titres de Roland-Garros et Wimbledon et un nouveau rôle de papa avec la naissance de ses jumelles, Mila et Charlene. Et le Suisse apparaît très décontracté. A son arrivée en conférence de presse, les questions en anglais tardent à jaillir et le numéro 1 mondial avoue en souriant «Great» quand l'attachée de presse lance «Pas de question en anglais». Puis il revient plus sérieusement sur sa nouvelle vie et ses sensations du moment. Comme son jeu, tout baigne : «Cette année est différente. Je sens que je joue bien. J'arrive avec beaucoup de confiance et je suis très relax. Je suis frais physiquement et mentalement. Je sens que mon jeu est là où je veux qu'il soit, je ne me pose pas beaucoup de questions. J'ai moins de pression que l'an dernier où j'aurais été très déçu de ne pas gagner un Grand Chelem dans l'année.»
«Une grosse envie de gagner»
Il a beau posséder le plus beau palmarès, détenir quinze titres du Grand Chelem sur toutes les surfaces et rester sur cinq victoires consécutives à l'US Open, Roger Federer en veut toujours plus. Trois jours après la naissance de ses filles, il avait déjà repris le chemin de l'entraînement et ce n'est pas en père indigne. Il raconte en riant que ses filles dormaient tout le temps alors il pouvait s'échapper sur les courts, situés à cinq minutes de l'hôpital. Comme elles sont arrivées un peu plus tôt que prévu, il a donc décidé de disputer les tournois de Montréal et Cincinnati et il enchaîne tranquillement. Sa femme Mirka gère, toute sa famille va bien et le champion peut se concentrer sur le jeu. Personne ne vient entraver sa soif de victoires : « Pas grand-chose n'a changé. J'ai toujours une grosse envie de gagner. Cela revient toujours quand je dois affronter les meilleurs joueurs sur les tournois du Grand Chelem. C'est bien de savoir que j'ai déjà accompli beaucoup de choses en peu de temps. Cela rend les choses un peu plus faciles.» Seule petite différence, il n'ira pas au music-hall à Broadway pour rester avec sa femme et ses filles.
Son premier tour contre Devin Britton
Lundi sur le central, Roger Federer affronte un jeune de 18 ans, Devin Britton. Un match ordinaire pour le Suisse, un match extraordinaire pour l'Américain. Mais le numéro 1 mondial n'a pas la mémoire courte, il se souvient d'avoir vécu cette situation quand il avait 17 ans à Bâle chez lui face à Andre Agassi. « J'étais sous le choc, mais il faut essayer d'apprécier et livrer un beau combat. C'est un peu différent dans un Grand Chelem avec des matches en cinq sets. Britton n'a peut-être jamais vécu cela. Mais en tennis, tout le monde a sa chance quel que soit l'adversaire et le lieu. » Et Roger Federer n'a pas oublié la leçon : « Ce n'est pas parce que tu joues contre Agassi ou Federer qu'il faut changer quelque chose, il faut garder ses habitudes. Il faut se préparer comme si tu jouais contre un junior. Si tu te prépares différemment, tu commences à te poser beaucoup plus de questions, tu te demandes si c'est bien et tu ne peux pas jouer librement, tu te mets beaucoup plus de pression. Tu n'as rien à perdre, c'est une situation agréable.»
Sophie DORGAN, à New York
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Quintuple tenant du titre, Roger Federer présente le visage de la sérénité. Mais son calme et sa décontraction ne trahissent aucune démotivation. Le numéro 1 mondial se sent bien et a « toujours une grosse envie de gagner».
«Je suis très relax»
Cette année, Roger Federer arrive à New York avec les titres de Roland-Garros et Wimbledon et un nouveau rôle de papa avec la naissance de ses jumelles, Mila et Charlene. Et le Suisse apparaît très décontracté. A son arrivée en conférence de presse, les questions en anglais tardent à jaillir et le numéro 1 mondial avoue en souriant «Great» quand l'attachée de presse lance «Pas de question en anglais». Puis il revient plus sérieusement sur sa nouvelle vie et ses sensations du moment. Comme son jeu, tout baigne : «Cette année est différente. Je sens que je joue bien. J'arrive avec beaucoup de confiance et je suis très relax. Je suis frais physiquement et mentalement. Je sens que mon jeu est là où je veux qu'il soit, je ne me pose pas beaucoup de questions. J'ai moins de pression que l'an dernier où j'aurais été très déçu de ne pas gagner un Grand Chelem dans l'année.»
«Une grosse envie de gagner»
Il a beau posséder le plus beau palmarès, détenir quinze titres du Grand Chelem sur toutes les surfaces et rester sur cinq victoires consécutives à l'US Open, Roger Federer en veut toujours plus. Trois jours après la naissance de ses filles, il avait déjà repris le chemin de l'entraînement et ce n'est pas en père indigne. Il raconte en riant que ses filles dormaient tout le temps alors il pouvait s'échapper sur les courts, situés à cinq minutes de l'hôpital. Comme elles sont arrivées un peu plus tôt que prévu, il a donc décidé de disputer les tournois de Montréal et Cincinnati et il enchaîne tranquillement. Sa femme Mirka gère, toute sa famille va bien et le champion peut se concentrer sur le jeu. Personne ne vient entraver sa soif de victoires : « Pas grand-chose n'a changé. J'ai toujours une grosse envie de gagner. Cela revient toujours quand je dois affronter les meilleurs joueurs sur les tournois du Grand Chelem. C'est bien de savoir que j'ai déjà accompli beaucoup de choses en peu de temps. Cela rend les choses un peu plus faciles.» Seule petite différence, il n'ira pas au music-hall à Broadway pour rester avec sa femme et ses filles.
Son premier tour contre Devin Britton
Lundi sur le central, Roger Federer affronte un jeune de 18 ans, Devin Britton. Un match ordinaire pour le Suisse, un match extraordinaire pour l'Américain. Mais le numéro 1 mondial n'a pas la mémoire courte, il se souvient d'avoir vécu cette situation quand il avait 17 ans à Bâle chez lui face à Andre Agassi. « J'étais sous le choc, mais il faut essayer d'apprécier et livrer un beau combat. C'est un peu différent dans un Grand Chelem avec des matches en cinq sets. Britton n'a peut-être jamais vécu cela. Mais en tennis, tout le monde a sa chance quel que soit l'adversaire et le lieu. » Et Roger Federer n'a pas oublié la leçon : « Ce n'est pas parce que tu joues contre Agassi ou Federer qu'il faut changer quelque chose, il faut garder ses habitudes. Il faut se préparer comme si tu jouais contre un junior. Si tu te prépares différemment, tu commences à te poser beaucoup plus de questions, tu te demandes si c'est bien et tu ne peux pas jouer librement, tu te mets beaucoup plus de pression. Tu n'as rien à perdre, c'est une situation agréable.»
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Quintuple tenant du titre, Roger Federer présente le visage de la sérénité. Mais son calme et sa décontraction ne trahissent aucune démotivation. Le numéro 1 mondial se sent bien et a « toujours une grosse envie de gagner».
«Je suis très relax»
Cette année, Roger Federer arrive à New York avec les titres de Roland-Garros et Wimbledon et un nouveau rôle de papa avec la naissance de ses jumelles, Mila et Charlene. Et le Suisse apparaît très décontracté. A son arrivée en conférence de presse, les questions en anglais tardent à jaillir et le numéro 1 mondial avoue en souriant «Great» quand l'attachée de presse lance «Pas de question en anglais». Puis il revient plus sérieusement sur sa nouvelle vie et ses sensations du moment. Comme son jeu, tout baigne : «Cette année est différente. Je sens que je joue bien. J'arrive avec beaucoup de confiance et je suis très relax. Je suis frais physiquement et mentalement. Je sens que mon jeu est là où je veux qu'il soit, je ne me pose pas beaucoup de questions. J'ai moins de pression que l'an dernier où j'aurais été très déçu de ne pas gagner un Grand Chelem dans l'année.»
«Une grosse envie de gagner»
Il a beau posséder le plus beau palmarès, détenir quinze titres du Grand Chelem sur toutes les surfaces et rester sur cinq victoires consécutives à l'US Open, Roger Federer en veut toujours plus. Trois jours après la naissance de ses filles, il avait déjà repris le chemin de l'entraînement et ce n'est pas en père indigne. Il raconte en riant que ses filles dormaient tout le temps alors il pouvait s'échapper sur les courts, situés à cinq minutes de l'hôpital. Comme elles sont arrivées un peu plus tôt que prévu, il a donc décidé de disputer les tournois de Montréal et Cincinnati et il enchaîne tranquillement. Sa femme Mirka gère, toute sa famille va bien et le champion peut se concentrer sur le jeu. Personne ne vient entraver sa soif de victoires : « Pas grand-chose n'a changé. J'ai toujours une grosse envie de gagner. Cela revient toujours quand je dois affronter les meilleurs joueurs sur les tournois du Grand Chelem. C'est bien de savoir que j'ai déjà accompli beaucoup de choses en peu de temps. Cela rend les choses un peu plus faciles.» Seule petite différence, il n'ira pas au music-hall à Broadway pour rester avec sa femme et ses filles.
Son premier tour contre Devin Britton
Lundi sur le central, Roger Federer affronte un jeune de 18 ans, Devin Britton. Un match ordinaire pour le Suisse, un match extraordinaire pour l'Américain. Mais le numéro 1 mondial n'a pas la mémoire courte, il se souvient d'avoir vécu cette situation quand il avait 17 ans à Bâle chez lui face à Andre Agassi. « J'étais sous le choc, mais il faut essayer d'apprécier et livrer un beau combat. C'est un peu différent dans un Grand Chelem avec des matches en cinq sets. Britton n'a peut-être jamais vécu cela. Mais en tennis, tout le monde a sa chance quel que soit l'adversaire et le lieu. » Et Roger Federer n'a pas oublié la leçon : « Ce n'est pas parce que tu joues contre Agassi ou Federer qu'il faut changer quelque chose, il faut garder ses habitudes. Il faut se préparer comme si tu jouais contre un junior. Si tu te prépares différemment, tu commences à te poser beaucoup plus de questions, tu te demandes si c'est bien et tu ne peux pas jouer librement, tu te mets beaucoup plus de pression. Tu n'as rien à perdre, c'est une situation agréable.»
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Quintuple tenant du titre, Roger Federer présente le visage de la sérénité. Mais son calme et sa décontraction ne trahissent aucune démotivation. Le numéro 1 mondial se sent bien et a « toujours une grosse envie de gagner».
«Je suis très relax»
Cette année, Roger Federer arrive à New York avec les titres de Roland-Garros et Wimbledon et un nouveau rôle de papa avec la naissance de ses jumelles, Mila et Charlene. Et le Suisse apparaît très décontracté. A son arrivée en conférence de presse, les questions en anglais tardent à jaillir et le numéro 1 mondial avoue en souriant «Great» quand l'attachée de presse lance «Pas de question en anglais». Puis il revient plus sérieusement sur sa nouvelle vie et ses sensations du moment. Comme son jeu, tout baigne : «Cette année est différente. Je sens que je joue bien. J'arrive avec beaucoup de confiance et je suis très relax. Je suis frais physiquement et mentalement. Je sens que mon jeu est là où je veux qu'il soit, je ne me pose pas beaucoup de questions. J'ai moins de pression que l'an dernier où j'aurais été très déçu de ne pas gagner un Grand Chelem dans l'année.»
«Une grosse envie de gagner»
Il a beau posséder le plus beau palmarès, détenir quinze titres du Grand Chelem sur toutes les surfaces et rester sur cinq victoires consécutives à l'US Open, Roger Federer en veut toujours plus. Trois jours après la naissance de ses filles, il avait déjà repris le chemin de l'entraînement et ce n'est pas en père indigne. Il raconte en riant que ses filles dormaient tout le temps alors il pouvait s'échapper sur les courts, situés à cinq minutes de l'hôpital. Comme elles sont arrivées un peu plus tôt que prévu, il a donc décidé de disputer les tournois de Montréal et Cincinnati et il enchaîne tranquillement. Sa femme Mirka gère, toute sa famille va bien et le champion peut se concentrer sur le jeu. Personne ne vient entraver sa soif de victoires : « Pas grand-chose n'a changé. J'ai toujours une grosse envie de gagner. Cela revient toujours quand je dois affronter les meilleurs joueurs sur les tournois du Grand Chelem. C'est bien de savoir que j'ai déjà accompli beaucoup de choses en peu de temps. Cela rend les choses un peu plus faciles.» Seule petite différence, il n'ira pas au music-hall à Broadway pour rester avec sa femme et ses filles.
Son premier tour contre Devin Britton
Lundi sur le central, Roger Federer affronte un jeune de 18 ans, Devin Britton. Un match ordinaire pour le Suisse, un match extraordinaire pour l'Américain. Mais le numéro 1 mondial n'a pas la mémoire courte, il se souvient d'avoir vécu cette situation quand il avait 17 ans à Bâle chez lui face à Andre Agassi. « J'étais sous le choc, mais il faut essayer d'apprécier et livrer un beau combat. C'est un peu différent dans un Grand Chelem avec des matches en cinq sets. Britton n'a peut-être jamais vécu cela. Mais en tennis, tout le monde a sa chance quel que soit l'adversaire et le lieu. » Et Roger Federer n'a pas oublié la leçon : « Ce n'est pas parce que tu joues contre Agassi ou Federer qu'il faut changer quelque chose, il faut garder ses habitudes. Il faut se préparer comme si tu jouais contre un junior. Si tu te prépares différemment, tu commences à te poser beaucoup plus de questions, tu te demandes si c'est bien et tu ne peux pas jouer librement, tu te mets beaucoup plus de pression. Tu n'as rien à perdre, c'est une situation agréable.»
Sophie DORGAN, à New York
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Quintuple tenant du titre, Roger Federer présente le visage de la sérénité. Mais son calme et sa décontraction ne trahissent aucune démotivation. Le numéro 1 mondial se sent bien et a « toujours une grosse envie de gagner».
«Je suis très relax»
Cette année, Roger Federer arrive à New York avec les titres de Roland-Garros et Wimbledon et un nouveau rôle de papa avec la naissance de ses jumelles, Mila et Charlene. Et le Suisse apparaît très décontracté. A son arrivée en conférence de presse, les questions en anglais tardent à jaillir et le numéro 1 mondial avoue en souriant «Great» quand l'attachée de presse lance «Pas de question en anglais». Puis il revient plus sérieusement sur sa nouvelle vie et ses sensations du moment. Comme son jeu, tout baigne : «Cette année est différente. Je sens que je joue bien. J'arrive avec beaucoup de confiance et je suis très relax. Je suis frais physiquement et mentalement. Je sens que mon jeu est là où je veux qu'il soit, je ne me pose pas beaucoup de questions. J'ai moins de pression que l'an dernier où j'aurais été très déçu de ne pas gagner un Grand Chelem dans l'année.»
«Une grosse envie de gagner»
Il a beau posséder le plus beau palmarès, détenir quinze titres du Grand Chelem sur toutes les surfaces et rester sur cinq victoires consécutives à l'US Open, Roger Federer en veut toujours plus. Trois jours après la naissance de ses filles, il avait déjà repris le chemin de l'entraînement et ce n'est pas en père indigne. Il raconte en riant que ses filles dormaient tout le temps alors il pouvait s'échapper sur les courts, situés à cinq minutes de l'hôpital. Comme elles sont arrivées un peu plus tôt que prévu, il a donc décidé de disputer les tournois de Montréal et Cincinnati et il enchaîne tranquillement. Sa femme Mirka gère, toute sa famille va bien et le champion peut se concentrer sur le jeu. Personne ne vient entraver sa soif de victoires : « Pas grand-chose n'a changé. J'ai toujours une grosse envie de gagner. Cela revient toujours quand je dois affronter les meilleurs joueurs sur les tournois du Grand Chelem. C'est bien de savoir que j'ai déjà accompli beaucoup de choses en peu de temps. Cela rend les choses un peu plus faciles.» Seule petite différence, il n'ira pas au music-hall à Broadway pour rester avec sa femme et ses filles.
Son premier tour contre Devin Britton
Lundi sur le central, Roger Federer affronte un jeune de 18 ans, Devin Britton. Un match ordinaire pour le Suisse, un match extraordinaire pour l'Américain. Mais le numéro 1 mondial n'a pas la mémoire courte, il se souvient d'avoir vécu cette situation quand il avait 17 ans à Bâle chez lui face à Andre Agassi. « J'étais sous le choc, mais il faut essayer d'apprécier et livrer un beau combat. C'est un peu différent dans un Grand Chelem avec des matches en cinq sets. Britton n'a peut-être jamais vécu cela. Mais en tennis, tout le monde a sa chance quel que soit l'adversaire et le lieu. » Et Roger Federer n'a pas oublié la leçon : « Ce n'est pas parce que tu joues contre Agassi ou Federer qu'il faut changer quelque chose, il faut garder ses habitudes. Il faut se préparer comme si tu jouais contre un junior. Si tu te prépares différemment, tu commences à te poser beaucoup plus de questions, tu te demandes si c'est bien et tu ne peux pas jouer librement, tu te mets beaucoup plus de pression. Tu n'as rien à perdre, c'est une situation agréable.»
Sophie DORGAN, à New York
©2009
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Federer «très relax»
Quintuple tenant du titre, Roger Federer présente le visage de la sérénité. Mais son calme et sa décontraction ne trahissent aucune démotivation. Le numéro 1 mondial se sent bien et a « toujours une grosse envie de gagner».
«Je suis très relax»
Cette année, Roger Federer arrive à New York avec les titres de Roland-Garros et Wimbledon et un nouveau rôle de papa avec la naissance de ses jumelles, Mila et Charlene. Et le Suisse apparaît très décontracté. A son arrivée en conférence de presse, les questions en anglais tardent à jaillir et le numéro 1 mondial avoue en souriant «Great» quand l'attachée de presse lance «Pas de question en anglais». Puis il revient plus sérieusement sur sa nouvelle vie et ses sensations du moment. Comme son jeu, tout baigne : «Cette année est différente. Je sens que je joue bien. J'arrive avec beaucoup de confiance et je suis très relax. Je suis frais physiquement et mentalement. Je sens que mon jeu est là où je veux qu'il soit, je ne me pose pas beaucoup de questions. J'ai moins de pression que l'an dernier où j'aurais été très déçu de ne pas gagner un Grand Chelem dans l'année.»
«Une grosse envie de gagner»
Il a beau posséder le plus beau palmarès, détenir quinze titres du Grand Chelem sur toutes les surfaces et rester sur cinq victoires consécutives à l'US Open, Roger Federer en veut toujours plus. Trois jours après la naissance de ses filles, il avait déjà repris le chemin de l'entraînement et ce n'est pas en père indigne. Il raconte en riant que ses filles dormaient tout le temps alors il pouvait s'échapper sur les courts, situés à cinq minutes de l'hôpital. Comme elles sont arrivées un peu plus tôt que prévu, il a donc décidé de disputer les tournois de Montréal et Cincinnati et il enchaîne tranquillement. Sa femme Mirka gère, toute sa famille va bien et le champion peut se concentrer sur le jeu. Personne ne vient entraver sa soif de victoires : « Pas grand-chose n'a changé. J'ai toujours une grosse envie de gagner. Cela revient toujours quand je dois affronter les meilleurs joueurs sur les tournois du Grand Chelem. C'est bien de savoir que j'ai déjà accompli beaucoup de choses en peu de temps. Cela rend les choses un peu plus faciles.» Seule petite différence, il n'ira pas au music-hall à Broadway pour rester avec sa femme et ses filles.
Son premier tour contre Devin Britton
Lundi sur le central, Roger Federer affronte un jeune de 18 ans, Devin Britton. Un match ordinaire pour le Suisse, un match extraordinaire pour l'Américain. Mais le numéro 1 mondial n'a pas la mémoire courte, il se souvient d'avoir vécu cette situation quand il avait 17 ans à Bâle chez lui face à Andre Agassi. « J'étais sous le choc, mais il faut essayer d'apprécier et livrer un beau combat. C'est un peu différent dans un Grand Chelem avec des matches en cinq sets. Britton n'a peut-être jamais vécu cela. Mais en tennis, tout le monde a sa chance quel que soit l'adversaire et le lieu. » Et Roger Federer n'a pas oublié la leçon : « Ce n'est pas parce que tu joues contre Agassi ou Federer qu'il faut changer quelque chose, il faut garder ses habitudes. Il faut se préparer comme si tu jouais contre un junior. Si tu te prépares différemment, tu commences à te poser beaucoup plus de questions, tu te demandes si c'est bien et tu ne peux pas jouer librement, tu te mets beaucoup plus de pression. Tu n'as rien à perdre, c'est une situation agréable.»
Sophie DORGAN, à New York
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Quintuple tenant du titre, Roger Federer présente le visage de la sérénité. Mais son calme et sa décontraction ne trahissent aucune démotivation. Le numéro 1 mondial se sent bien et a « toujours une grosse envie de gagner».
«Je suis très relax»
Cette année, Roger Federer arrive à New York avec les titres de Roland-Garros et Wimbledon et un nouveau rôle de papa avec la naissance de ses jumelles, Mila et Charlene. Et le Suisse apparaît très décontracté. A son arrivée en conférence de presse, les questions en anglais tardent à jaillir et le numéro 1 mondial avoue en souriant «Great» quand l'attachée de presse lance «Pas de question en anglais». Puis il revient plus sérieusement sur sa nouvelle vie et ses sensations du moment. Comme son jeu, tout baigne : «Cette année est différente. Je sens que je joue bien. J'arrive avec beaucoup de confiance et je suis très relax. Je suis frais physiquement et mentalement. Je sens que mon jeu est là où je veux qu'il soit, je ne me pose pas beaucoup de questions. J'ai moins de pression que l'an dernier où j'aurais été très déçu de ne pas gagner un Grand Chelem dans l'année.»
«Une grosse envie de gagner»
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Son premier tour contre Devin Britton
Lundi sur le central, Roger Federer affronte un jeune de 18 ans, Devin Britton. Un match ordinaire pour le Suisse, un match extraordinaire pour l'Américain. Mais le numéro 1 mondial n'a pas la mémoire courte, il se souvient d'avoir vécu cette situation quand il avait 17 ans à Bâle chez lui face à Andre Agassi. « J'étais sous le choc, mais il faut essayer d'apprécier et livrer un beau combat. C'est un peu différent dans un Grand Chelem avec des matches en cinq sets. Britton n'a peut-être jamais vécu cela. Mais en tennis, tout le monde a sa chance quel que soit l'adversaire et le lieu. » Et Roger Federer n'a pas oublié la leçon : « Ce n'est pas parce que tu joues contre Agassi ou Federer qu'il faut changer quelque chose, il faut garder ses habitudes. Il faut se préparer comme si tu jouais contre un junior. Si tu te prépares différemment, tu commences à te poser beaucoup plus de questions, tu te demandes si c'est bien et tu ne peux pas jouer librement, tu te mets beaucoup plus de pression. Tu n'as rien à perdre, c'est une situation agréable.»
Sophie DORGAN, à New York
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Federer «très relax»
Quintuple tenant du titre, Roger Federer présente le visage de la sérénité. Mais son calme et sa décontraction ne trahissent aucune démotivation. Le numéro 1 mondial se sent bien et a « toujours une grosse envie de gagner».
«Je suis très relax»
Cette année, Roger Federer arrive à New York avec les titres de Roland-Garros et Wimbledon et un nouveau rôle de papa avec la naissance de ses jumelles, Mila et Charlene. Et le Suisse apparaît très décontracté. A son arrivée en conférence de presse, les questions en anglais tardent à jaillir et le numéro 1 mondial avoue en souriant «Great» quand l'attachée de presse lance «Pas de question en anglais». Puis il revient plus sérieusement sur sa nouvelle vie et ses sensations du moment. Comme son jeu, tout baigne : «Cette année est différente. Je sens que je joue bien. J'arrive avec beaucoup de confiance et je suis très relax. Je suis frais physiquement et mentalement. Je sens que mon jeu est là où je veux qu'il soit, je ne me pose pas beaucoup de questions. J'ai moins de pression que l'an dernier où j'aurais été très déçu de ne pas gagner un Grand Chelem dans l'année.»
«Une grosse envie de gagner»
Il a beau posséder le plus beau palmarès, détenir quinze titres du Grand Chelem sur toutes les surfaces et rester sur cinq victoires consécutives à l'US Open, Roger Federer en veut toujours plus. Trois jours après la naissance de ses filles, il avait déjà repris le chemin de l'entraînement et ce n'est pas en père indigne. Il raconte en riant que ses filles dormaient tout le temps alors il pouvait s'échapper sur les courts, situés à cinq minutes de l'hôpital. Comme elles sont arrivées un peu plus tôt que prévu, il a donc décidé de disputer les tournois de Montréal et Cincinnati et il enchaîne tranquillement. Sa femme Mirka gère, toute sa famille va bien et le champion peut se concentrer sur le jeu. Personne ne vient entraver sa soif de victoires : « Pas grand-chose n'a changé. J'ai toujours une grosse envie de gagner. Cela revient toujours quand je dois affronter les meilleurs joueurs sur les tournois du Grand Chelem. C'est bien de savoir que j'ai déjà accompli beaucoup de choses en peu de temps. Cela rend les choses un peu plus faciles.» Seule petite différence, il n'ira pas au music-hall à Broadway pour rester avec sa femme et ses filles.
Son premier tour contre Devin Britton
Lundi sur le central, Roger Federer affronte un jeune de 18 ans, Devin Britton. Un match ordinaire pour le Suisse, un match extraordinaire pour l'Américain. Mais le numéro 1 mondial n'a pas la mémoire courte, il se souvient d'avoir vécu cette situation quand il avait 17 ans à Bâle chez lui face à Andre Agassi. « J'étais sous le choc, mais il faut essayer d'apprécier et livrer un beau combat. C'est un peu différent dans un Grand Chelem avec des matches en cinq sets. Britton n'a peut-être jamais vécu cela. Mais en tennis, tout le monde a sa chance quel que soit l'adversaire et le lieu. » Et Roger Federer n'a pas oublié la leçon : « Ce n'est pas parce que tu joues contre Agassi ou Federer qu'il faut changer quelque chose, il faut garder ses habitudes. Il faut se préparer comme si tu jouais contre un junior. Si tu te prépares différemment, tu commences à te poser beaucoup plus de questions, tu te demandes si c'est bien et tu ne peux pas jouer librement, tu te mets beaucoup plus de pression. Tu n'as rien à perdre, c'est une situation agréable.»
Sophie DORGAN, à New York
Tennis - US Open
Federer «très relax»
Quintuple tenant du titre, Roger Federer présente le visage de la sérénité. Mais son calme et sa décontraction ne trahissent aucune démotivation. Le numéro 1 mondial se sent bien et a « toujours une grosse envie de gagner».
«Je suis très relax»
Cette année, Roger Federer arrive à New York avec les titres de Roland-Garros et Wimbledon et un nouveau rôle de papa avec la naissance de ses jumelles, Mila et Charlene. Et le Suisse apparaît très décontracté. A son arrivée en conférence de presse, les questions en anglais tardent à jaillir et le numéro 1 mondial avoue en souriant «Great» quand l'attachée de presse lance «Pas de question en anglais». Puis il revient plus sérieusement sur sa nouvelle vie et ses sensations du moment. Comme son jeu, tout baigne : «Cette année est différente. Je sens que je joue bien. J'arrive avec beaucoup de confiance et je suis très relax. Je suis frais physiquement et mentalement. Je sens que mon jeu est là où je veux qu'il soit, je ne me pose pas beaucoup de questions. J'ai moins de pression que l'an dernier où j'aurais été très déçu de ne pas gagner un Grand Chelem dans l'année.»
«Une grosse envie de gagner»
Il a beau posséder le plus beau palmarès, détenir quinze titres du Grand Chelem sur toutes les surfaces et rester sur cinq victoires consécutives à l'US Open, Roger Federer en veut toujours plus. Trois jours après la naissance de ses filles, il avait déjà repris le chemin de l'entraînement et ce n'est pas en père indigne. Il raconte en riant que ses filles dormaient tout le temps alors il pouvait s'échapper sur les courts, situés à cinq minutes de l'hôpital. Comme elles sont arrivées un peu plus tôt que prévu, il a donc décidé de disputer les tournois de Montréal et Cincinnati et il enchaîne tranquillement. Sa femme Mirka gère, toute sa famille va bien et le champion peut se concentrer sur le jeu. Personne ne vient entraver sa soif de victoires : « Pas grand-chose n'a changé. J'ai toujours une grosse envie de gagner. Cela revient toujours quand je dois affronter les meilleurs joueurs sur les tournois du Grand Chelem. C'est bien de savoir que j'ai déjà accompli beaucoup de choses en peu de temps. Cela rend les choses un peu plus faciles.» Seule petite différence, il n'ira pas au music-hall à Broadway pour rester avec sa femme et ses filles.
Son premier tour contre Devin Britton
Lundi sur le central, Roger Federer affronte un jeune de 18 ans, Devin Britton. Un match ordinaire pour le Suisse, un match extraordinaire pour l'Américain. Mais le numéro 1 mondial n'a pas la mémoire courte, il se souvient d'avoir vécu cette situation quand il avait 17 ans à Bâle chez lui face à Andre Agassi. « J'étais sous le choc, mais il faut essayer d'apprécier et livrer un beau combat. C'est un peu différent dans un Grand Chelem avec des matches en cinq sets. Britton n'a peut-être jamais vécu cela. Mais en tennis, tout le monde a sa chance quel que soit l'adversaire et le lieu. » Et Roger Federer n'a pas oublié la leçon : « Ce n'est pas parce que tu joues contre Agassi ou Federer qu'il faut changer quelque chose, il faut garder ses habitudes. Il faut se préparer comme si tu jouais contre un junior. Si tu te prépares différemment, tu commences à te poser beaucoup plus de questions, tu te demandes si c'est bien et tu ne peux pas jouer librement, tu te mets beaucoup plus de pression. Tu n'as rien à perdre, c'est une situation agréable.»
Sophie DORGAN, à New York
Federer «très relax»
Quintuple tenant du titre, Roger Federer présente le visage de la sérénité. Mais son calme et sa décontraction ne trahissent aucune démotivation. Le numéro 1 mondial se sent bien et a « toujours une grosse envie de gagner».
«Je suis très relax»
Cette année, Roger Federer arrive à New York avec les titres de Roland-Garros et Wimbledon et un nouveau rôle de papa avec la naissance de ses jumelles, Mila et Charlene. Et le Suisse apparaît très décontracté. A son arrivée en conférence de presse, les questions en anglais tardent à jaillir et le numéro 1 mondial avoue en souriant «Great» quand l'attachée de presse lance «Pas de question en anglais». Puis il revient plus sérieusement sur sa nouvelle vie et ses sensations du moment. Comme son jeu, tout baigne : «Cette année est différente. Je sens que je joue bien. J'arrive avec beaucoup de confiance et je suis très relax. Je suis frais physiquement et mentalement. Je sens que mon jeu est là où je veux qu'il soit, je ne me pose pas beaucoup de questions. J'ai moins de pression que l'an dernier où j'aurais été très déçu de ne pas gagner un Grand Chelem dans l'année.»
«Une grosse envie de gagner»
Il a beau posséder le plus beau palmarès, détenir quinze titres du Grand Chelem sur toutes les surfaces et rester sur cinq victoires consécutives à l'US Open, Roger Federer en veut toujours plus. Trois jours après la naissance de ses filles, il avait déjà repris le chemin de l'entraînement et ce n'est pas en père indigne. Il raconte en riant que ses filles dormaient tout le temps alors il pouvait s'échapper sur les courts, situés à cinq minutes de l'hôpital. Comme elles sont arrivées un peu plus tôt que prévu, il a donc décidé de disputer les tournois de Montréal et Cincinnati et il enchaîne tranquillement. Sa femme Mirka gère, toute sa famille va bien et le champion peut se concentrer sur le jeu. Personne ne vient entraver sa soif de victoires : « Pas grand-chose n'a changé. J'ai toujours une grosse envie de gagner. Cela revient toujours quand je dois affronter les meilleurs joueurs sur les tournois du Grand Chelem. C'est bien de savoir que j'ai déjà accompli beaucoup de choses en peu de temps. Cela rend les choses un peu plus faciles.» Seule petite différence, il n'ira pas au music-hall à Broadway pour rester avec sa femme et ses filles.
Son premier tour contre Devin Britton
Lundi sur le central, Roger Federer affronte un jeune de 18 ans, Devin Britton. Un match ordinaire pour le Suisse, un match extraordinaire pour l'Américain. Mais le numéro 1 mondial n'a pas la mémoire courte, il se souvient d'avoir vécu cette situation quand il avait 17 ans à Bâle chez lui face à Andre Agassi. « J'étais sous le choc, mais il faut essayer d'apprécier et livrer un beau combat. C'est un peu différent dans un Grand Chelem avec des matches en cinq sets. Britton n'a peut-être jamais vécu cela. Mais en tennis, tout le monde a sa chance quel que soit l'adversaire et le lieu. » Et Roger Federer n'a pas oublié la leçon : « Ce n'est pas parce que tu joues contre Agassi ou Federer qu'il faut changer quelque chose, il faut garder ses habitudes. Il faut se préparer comme si tu jouais contre un junior. Si tu te prépares différemment, tu commences à te poser beaucoup plus de questions, tu te demandes si c'est bien et tu ne peux pas jouer librement, tu te mets beaucoup plus de pression. Tu n'as rien à perdre, c'est une situation agréable.»
Sophie DORGAN, à New York
Federer «très relax»
Quintuple tenant du titre, Roger Federer présente le visage de la sérénité. Mais son calme et sa décontraction ne trahissent aucune démotivation. Le numéro 1 mondial se sent bien et a « toujours une grosse envie de gagner».
«Je suis très relax»
Cette année, Roger Federer arrive à New York avec les titres de Roland-Garros et Wimbledon et un nouveau rôle de papa avec la naissance de ses jumelles, Mila et Charlene. Et le Suisse apparaît très décontracté. A son arrivée en conférence de presse, les questions en anglais tardent à jaillir et le numéro 1 mondial avoue en souriant «Great» quand l'attachée de presse lance «Pas de question en anglais». Puis il revient plus sérieusement sur sa nouvelle vie et ses sensations du moment. Comme son jeu, tout baigne : «Cette année est différente. Je sens que je joue bien. J'arrive avec beaucoup de confiance et je suis très relax. Je suis frais physiquement et mentalement. Je sens que mon jeu est là où je veux qu'il soit, je ne me pose pas beaucoup de questions. J'ai moins de pression que l'an dernier où j'aurais été très déçu de ne pas gagner un Grand Chelem dans l'année.»
«Une grosse envie de gagner»
Il a beau posséder le plus beau palmarès, détenir quinze titres du Grand Chelem sur toutes les surfaces et rester sur cinq victoires consécutives à l'US Open, Roger Federer en veut toujours plus. Trois jours après la naissance de ses filles, il avait déjà repris le chemin de l'entraînement et ce n'est pas en père indigne. Il raconte en riant que ses filles dormaient tout le temps alors il pouvait s'échapper sur les courts, situés à cinq minutes de l'hôpital. Comme elles sont arrivées un peu plus tôt que prévu, il a donc décidé de disputer les tournois de Montréal et Cincinnati et il enchaîne tranquillement. Sa femme Mirka gère, toute sa famille va bien et le champion peut se concentrer sur le jeu. Personne ne vient entraver sa soif de victoires : « Pas grand-chose n'a changé. J'ai toujours une grosse envie de gagner. Cela revient toujours quand je dois affronter les meilleurs joueurs sur les tournois du Grand Chelem. C'est bien de savoir que j'ai déjà accompli beaucoup de choses en peu de temps. Cela rend les choses un peu plus faciles.» Seule petite différence, il n'ira pas au music-hall à Broadway pour rester avec sa femme et ses filles.
Son premier tour contre Devin Britton
Lundi sur le central, Roger Federer affronte un jeune de 18 ans, Devin Britton. Un match ordinaire pour le Suisse, un match extraordinaire pour l'Américain. Mais le numéro 1 mondial n'a pas la mémoire courte, il se souvient d'avoir vécu cette situation quand il avait 17 ans à Bâle chez lui face à Andre Agassi. « J'étais sous le choc, mais il faut essayer d'apprécier et livrer un beau combat. C'est un peu différent dans un Grand Chelem avec des matches en cinq sets. Britton n'a peut-être jamais vécu cela. Mais en tennis, tout le monde a sa chance quel que soit l'adversaire et le lieu. » Et Roger Federer n'a pas oublié la leçon : « Ce n'est pas parce que tu joues contre Agassi ou Federer qu'il faut changer quelque chose, il faut garder ses habitudes. Il faut se préparer comme si tu jouais contre un junior. Si tu te prépares différemment, tu commences à te poser beaucoup plus de questions, tu te demandes si c'est bien et tu ne peux pas jouer librement, tu te mets beaucoup plus de pression. Tu n'as rien à perdre, c'est une situation agréable.»
Sophie DORGAN, à New York
Un petit [b]Test[/b]
Marche pas du tout
salut vous allez bien ?