Trés trés bon comme d'habitude
Ca RoXx ta fic, en general j'aime pas trop en lire...trop de défauts a mon gout

c'est de mieux en mieux, et c'était déjà super au début

moi j'adore le personnage de lomdère

et dire que t'as hésité à poster ce chapitre

Ouais, moi aussi je l'adore Lomdère . C'est le personnage dont j'aime le plus raconter l'histoire pour le moment .
Mais pourquoi tu dis que j'ai hésité à poster le chapitre ?
Merci en tout cas .

Upupup .

ah scuse j'avais mal compris la derniere phrase du post juste avant le chapitre

m'enfin je m'y suis pas attardé vu que j'ai vu le chapitre en dessous

LeRoi --> T'avais compris quoi ?

(Up camouflé . )

pas camouflé ^^

je reponds pas à la question puisque c'était qu'une façade

C'était pas une façade du tout. Ta réponse m'intéresse . Allez, réponds-moi, boude pas .

beh j'avais compris que t'avais hésité à poster ce chapitre xD

petit up au passage

m'enfin ^^

Prochain chapitre Mercredi aprèm .

AAAHHHH

une bonne nouvelle

CooooOOOOOOOOOOOooooooooool !!!!

et le chapitre

joli!! j'ai hate de voir la suite!

Ah désolé, la suite sera plus vers ce soir, tard ou pas tard. En tout cas je vais tout faire pour la poster aujourd'hui ^^.

ok c'est bon alors

_ O... Olswar ?
_ Oui. Olswar.
_ Mais... Pourquoi nous a-t-il proposé de nous aider ?
_ Tu veux bien laisser le Chef parler, Paul ? Intervint Lomdère. T’es saoulant, là.
Le Chef les regarda tous les deux d’un air indéchiffrable. Puis il reprit, toujours aussi calme :
_ Comme je le disais donc, Olswar est nous voir. Laissez-moi continuer, fit il sèchement, à l’adresse de Paul qui ouvrait la bouche. Il voulait nous suggérer un échange. Il désirait que l’on travaille pour lui à la construction d’un certain bâtiment. Il nous a demandé ce que l’on voulait en retour. Je ne lui ai, bien sûr, pas dit le principal objectif de notre organisation, j’ai juste fait en sorte qu’il comprenne qu’on voulait aider l’Albion. Je lui ai demandé des canalisateurs. Il m’a répondu, qu’il m’en donnerait plein. Autant que je voudrais. Pourvu que je l’aide. Il m’a dit qu’il manquait cruellement de main d’oeuvre.
Le chef jeta un regard circulaire et dévisagea chacun d’entre nous.
_ Nous voilà donc avec quelques dizaines de milliers de canalisateurs.
Il y eut un grand silence. Les souffles furent coupés. Puis soudains les acclamations fusèrent dans la salle. Cris de joie, rires.
_ Mon dieu ! Mais c’est formidable ! Cria l’un des membres.
_ Nous allons enfin pouvoir mener l’offensive ! Clama un autre.
Paul se contenta d’un simple sourire. Il joignit les mains et leva la tête au ciel. Il murmura des paroles de remerciement.

Lomdère, quant à lui, restait immobile, pensif, au milieu des ovations et des cris en tous genres. Il n’avait même pas envie de critiquer l’attitude de Paul. D’ordinaire son côté religieux l’agaçait sérieusement. Mais là non. La nouvelle lui avait jeté un froid. Il avait l’impression qu’une pierre s’était logée dans son ventre et le faisait s’enfoncer de plus en plus, sous la terre. Des canalisateurs, par Avo ! Mais qu’est ce que le chef croyait !? Lomdère était d’accord pour défaire la Guilde. Mais pas par la magie ! Pas pas leur force. Il ne voulait pas se souiller les mains de cela. Ce serait comme tenir la main gauche du diable alors que leurs adversaires tenaient la droite. Non... Non ! Il ne voulait pas avoir un contact avec cette... cette chose, cette énergie, cette horreur de la nature. Devenir des héros pour vaincre les héros ? Non merci ! Lui se battrait sans foutus canalisateurs. Des armes seraient bien plus efficaces pour vaincre ces salauds imbus de leur personne. Lomdère serra le poing. Il faudrait bien. C’était ça ou il quittait les infieurs. La magie lui avait détruit sa vie. Il refusait d’y être lié, d’une quelconque manière que ce soit. Autour de lui les acclamations et les bravos continuaient de s’élever. Bien sûr. C’était un grand pas pour l’organisation. Ils avaient enfin une chance de défaire ceux qu’ils haïssaient le plus au monde.

Mais pour lui c’était une régression. Ca le faisait revenir loin, très loin en arrière. Quand il avait encore une vie prospère. Ses pensées remontèrent le long de sa mémoire. Il pensa à Lyla. A la maison. Et au papillon. Ce papillon qui avait gâché sa vie. Lyla, la maison, le papillon. Lomdère tenta de chasser tout ça de sa tête. Mais il fut bien vite tiré de ses souvenirs par une sensation humide sur le poignet. Il se rendit compte que c’était son sang. A force de serrer le poing. A force de contenir ses émotions. Il enfonça ses ongles encore plus profondément dans sa paume. Qu'est ce qu’il détestait ces moments là... Ces moments où tout lui revenait à l’esprit. Mais ça allait. Il avait trouvé une solution. Au lieu de pleurer des larmes, il pleurait du sang. Il serrait ses deux poings, et la douleur chassait finalement tous ces souvenirs ridicules. Alors, sous les échanges de sourires de ses compagnons, sous leurs embrassades ravies, Lomdère se leva. Il s’en alla. En emportant ses regrets avec lui.

"Finalement je n’aurais jamais dû retourner à Bowerstone. Comme ça rien ne serait arrivé. Je n’aurais pas été au courant. J’aurais dû rester avec le gros marchand et sa petite fille. J’aurais dû. Seulement je ne l’ai pas fait. Et je m’y suis rendu, à la capitale. "

Les tours des grandes bâtisses se profilaient devant moi. Je voyais les petits points qui formaient les maisons. J’imaginais des points encore plus petits s’agiter dans la ville, à commercer, construire, parler. J’entendais déjà les voix des marchands. Je sentais déjà l’agitation ambiante. Et je me voyais déjà tousser à cause de la lourde poussière du chantier. Pourtant Bowerstone était encore à quelques kilomètres. Mais c’était mon foyer. C’était là où j’avais vécu toute ma vie. J’étais imprégné de son odeur, de son ambiance. Malsaine, diront certains. Mais moi je m’en fichais bien. J’avais dix ans, et je voyais ce que je voulais voir. Je voyais ces rues couvertes de poussière comme des terrains pour jouer au loup, je voyais ces mendiants comme des personnes normales, qui avait comme travail de récolter des sous. Je voyais la construction du pont comme quelque chose d’incroyable, de surnaturel. Qui donnait un nouvel espoir aux gens. Comme l’a dit la mairie. Il n’y avait rien de malsain là dedans.

La roulotte s’ébranla. Je fis la grimace. Encore un caillou, pensai-je. Je relevai les yeux vers la capitale. Les grands bâtiments des banlieues se distinguaient de plus en plus.
_ Pourquoi tu restes à cette fenêtre ? Ca va rien changer, on va y arriver de toutes façons, à Bowerstone.
Je me retournai. Eleor. Qu’est ce qu’elle voulait encore ?
_ J’aime bien regarder Bowerstone de loin, fis-je simplement.
_ C’est moche.
Je haussai les sourcils, presque choqué.
_ De quoi ?
_ La ville. Elle est moche.
Je fis la moue.
_ Tu penses ce que tu veux.
_ Encore heureux ! Rit-elle.
Puis elle s’éloigna. Elle était venue simplement pour me provoquer ? Pour me dire que c’était moche ? Je serrai la mâchoire. Il ne fallait pas que je m’énerve. C’était sans importance. Dans quelques minutes j’allais retrouver ma mère. En pensant à elle, je ressentis un pincement au coeur. Qu’allait-elle dire quand elle verrait que papa avait disparu ? Et quand je lui confirmerais qu’il était mort ? Je préférais ne pas y penser. Me concentrer sur les retrouvailles. Pas de petite cabane, pas de père mort. Seulement le sourire de maman.

_ On arrive à Bowerstone ! Cria Gorgu à l’avant de la caravane.
Ma poitrine tambourina d’excitation. Enfin ! Je jetai un énième coup d’oeil par la fenêtre. Des murs craquelés et sales défilaient à présent devant moi. On était en plein dedans ! La roulotte s’arrêta brusquement. Quelques secondes plus tard, Gorgu pénétra à l’intérieur de la caravane. Il me fixa un moment.
_ On s’arrête ici, gamin, dit-il simplement.
Je le dévisageai. Il n’avait pas l’air très triste. C’était normal. On n’avait passé que trois jours ensemble. Je me levai.
_ D’accord.
_ Tu sauras t’y retrouver ?
Bonne question. Je ne connaissais absolument pas Bowerstone et ses ruelles. Mais avec les panneaux, ce ne serait sans doute pas bien difficile. J'acquiesçai.
Je passai devant lui et sortis de la caravane. Il me suivit du regard tout le long.
_ Bon. Eh bien bonne chance, mon garçon.
_ Oui. A vous aussi.
Je me sentais un peu oppressé. Gorgu me fixait intensément, je ne savais pas pourquoi. Pour échapper à ce regard soutenu, je me dirigeai vers une rue au hasard. La poussière voltigea à mes pieds quand je me mis à marcher. Je fis un pas après l’autre, le plus loin possible, sans me retourner, avec pour seul objectif d’être seul. J’avais toujours l’impression qu’il m’observai avec attention. Enfin, je tournai au coin d’une rue. Ca y est. Plus de regard. Je m’adossai contre un mur et tournai la tête d’où je venais. Gorgu ne m’avait pas suivi. C’était idiot. Pourquoi l’aurait-il fait ? Je souris. Après tout je n’étais qu’un simple gamin à ses yeux.
Une ombre surgit devant mes yeux. J’eus un faible sursaut.
_ Salut, fit Eleor.

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Et voilà la suite . J'espère qu'elle vous plaira.

Mouhahahahahahahahahahahahahaha ça déchire !!!

On apprend plein de choses , le fin de chapitre en ouvre un nouveau , c'est du grand art

Donc fic de mieux en mieux , à conseiller à tous et à toutes , vraiment félicitations pour ton boulot

et surtout t'arrêtes pas

Merci beaucoup .
Je tenais à préciser que c'est la fin du chapitre 1 (sur mon fichier word j'ai marqué le chapitre, mais j'ai oublié de le mettre là :/). Il s'intitulait "la tempête" (nannnn sérieux oO ?) .