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Sujet : {fic} Le village de Yajust

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Miss-panda Miss-panda
MP
Niveau 3
11 septembre 2013 à 16:37:53

Prologue :
Le départ magique

Le coeur léger j'ouvrai les yeux, entousiasmée par la suite des événements inattendus. Étant de nature insouciante, je n'hésitai pas à donner des renseignements au conducteur de l'auto, qui me semblait curieux et très bavard. Je pense que son horloge interne était déréglée, car il ne cesse de me demander l'heure et de bailler. Il m'avoua, en séchant une larme, qu'il m'aimait bien et qu'une tortue d'eau douce ne devait pas vivre dans un coin perdu comme Yajust, mais à New-York dans un grand palace. Je fut obligée de le réconforter, puis je sortit de la voiture qui partit en trombe.

Tom Nook m'attendait devant chez moi en me proposant du travail dans sa petite boutique, et comme je n'avais rien d'autre à faire j'acceptai immédiatement. Crakos me sembla antipathique, mais c'est car il était jaloux que je traîne avec Tom Nook, lui qui n'avait jamais eu de travail rentable.
Il m'invita de suite à son anniversaire pour se changer les idées mornes à Yajust, et entre nous se tissa un fil rose, le même qu'avec tout les autres habitants comme Eloïse, Margaux, et les autres. Le fil de l'amitié.

Dites moi si vous voulez que je continue ! :cute:

Peto-sensei Peto-sensei
MP
Niveau 6
11 septembre 2013 à 16:57:32

J'aime bien ton style, mais je ne sais que penser ! :-d

Il y a quelques fautes d'orthographe et les personnages sont présentés de but en blanc, mais d'un autre côté, tu fais peut-être exprès de passer des détails pour arriver immédiatement à l'aventure ! :3

D'autre part, on ne sait même pas si le héros est une fille ou un garçon ! :noel:

Etant donné que c'est un prologue, je ne prolongerai pas mon commentaire. J'attends le chapitre Un ! :oui:

Je te souhaite une bonne continuation, et que la rémige du Pygargue soit avec toi ! :globe:

Miss-panda Miss-panda
MP
Niveau 3
12 septembre 2013 à 16:32:57

Merci beaucoup Peto de m'encourager en fait dans ce que je fait les prologues sont petits, pas très descripitifs et c'est après qu'on arrive dans le vif du sujet :desole:
Bon la suite c'est là en dessous

Chapitre 1 :
Discrimination

Des dix habitants de Yajust, un seul me détestait en prétextant que j'étais une fille avec un drôle de nom, ce qui à mon sens ne valait pas la peine de s'énerver. C'est vrai que Jahra, comme nom, est rarement porté mais je le trouve beau, alors si quelqu'un veut critiquer, eh bien ! qu'il le fasse, je m'en moque. Je ne suis pas une personne qui riposte direct aux attaques, j'attends le moment propice et j'attaque, ce qui m'a valu bien des victoires. D'ailleurs si j'étais la réincarnation d'une personne connue je serai soit Alexandre le Grand, soit Napoléon Bonaparte.

En parlant de l'animal qui me déteste... C'est un âne qui s'appelle Gorille. Je n'ai jamais critiqué son nom, bien que je le trouvai mal choisi, car je n'ai pas une âme critiqueuse et méchante. J'eu la preuve plus tard, que Gorille, lui, était méchant et sadique, car un matin chez Tom Nook pendant que j'achetai une table coeur pour l'offrir à un ami, il me fit la remarque désobligeante :
-Hih han ! C'est quoi le truc moche que t'achète ?
-Une table pour un ami si ça ne te plaît pas passe ton chemin.
-Désolé je voulais juste te dire que si t'achète ça pour ton ami il va vite partir et s'éloigner de toi...
Je ne l'écoutai pas et sortit du magasin.

La seule personne qui me réconfortait était un éléphant, Eloïse, qui me soutenait pendant les moments durs, par exemple quand je reçus une lettre de ma mère avec juste les mots :

Ton père est mort.

Des larmes étaient tombées sur le reste de la lettre mais l'important était lisible, me faisant une plaie au coeur.
Dans les contes de fées les parents restent vivants et soutiennent leur enfant, même quand ils sont morts et leur donnent la joie de vivre, mais la seule chose que j'avais envie là, c'était de me jeter d'une falaise et d'aller le rejoindre. J'ai essayé de le faire, mais en voyant le vide je tournai les talons devant ce qui a failli être ma mort. Je compris le message 5/5 :

Je ne devais pas mourrir.
Du moins pas encore.

Prochainement le 2ème Chapitre !

Merci encore Peto de m'encourager :merci:

Peto-sensei Peto-sensei
MP
Niveau 6
12 septembre 2013 à 20:38:25

Voilà qui n'est pas mal du tout ! :-d

Ton scénario est plus original que l'habituel "J'arrive dans un village et je raconte ma petite vie", car tu as introduit plusieurs éléments intéressants (Gorille, la mort du père). C'est d'ailleurs dommage que tu n'en parles pas plus, car on a l'impression que l'action va trop vite ! :oui:
En faisant ça, tu aurais fait d'une pierre deux coups : un chapitre plus long, et des précisions ! :3

A part ça, n'oublie pas de bien séparer tes phrases ("-Une table pour un ami si ça ne te plaît pas passe ton chemin." devient "- Une table pour un ami. Si ça ne te plaît pas, passe ton chemin."). :oui:

Au passage, on met un espace après un tiret de dialogue. :p)

Voilà ! Du reste, j'attends la sweet ! :globe:

Miss-panda Miss-panda
MP
Niveau 3
14 septembre 2013 à 07:00:16

Merci pour ces conseils Peto-sensei ( professeur en japonais ). ;)
J'ai lu tes histoires c'est comme avec un vrai roman ! :bravo:

3ème Chapitre
Ce qui ne s'achète pas

Dans la liste des choses qui ne devraient pas exister se trouveraient en première position les moustiques, qui ne servent qu'à piquer le sang des autres ( il fallait en avoir plus ! ). D'ailleurs, personne ne sait pourquoi mais la ville de Yajust a une invasion de ces bêtes-là, alors personne n'ose sortir de chez soit pour vaquer à ses occupations habituelles. Du coup en s'envoie des lettres
grâce au facteur qui rentre chez nous, prend la lettre, et va la poster dans une autre ville non-loin d'ici qui s'appelle Harglie. Nous sentons tous comme les Cro-Qargnon ( nos ancêtres dans le pays ) dans leurs grottes, ayant la crainte de l'extérieur comme pire ennemi. Sinon je range la maison et tout les meubles ( qui traînaient n'importe où ).

Je reçus pendant cette invasion trois lettres de personnes qui en avaient marre des moustiques, et qui quittaient Yajust. Je sortit de chez moi en courant sans me préoccuper des moustiques et courut à la Mairie, en espérant que mes amis ne soient pas partis. Je vis alors deux voitures partir au loin, avant de m'apercevoir que la voiture qui transportait Juliette allait partir ! Ne voulant pas rester seule à Yajust, je me mis en face de la voiture qui passa à un millimètre de me faucher. La vitre du passager claqua en descendant et en pensant que c'était Juliette je saurai au cou de la personne. Mais d'un seul coup je compris que je serrai le coup d'un bœuf. Pourtant Juliette était un canard !

- Olà ! fit une voix grave et éraillé. J'ai donc une admiratrice secrète !
- Euh, fis-je, pardon monsieur.
- Moui... Monsieur est un beau nom, et c'est le mien justement ! Il est aussi beau que moi, tant en beauté qu'en caractère ! Il est parfait !
Le bœuf me regardait de ses grands yeux marrons, et ses pattes caressaient le capot de la voiture tout doucement. Mais Monsieur ne s'occupait plus de moi, et répétai sans cesse les mots :
- Cette voiture est aussi parfaite que moi ! Cette couleur, son aspect, ses capacités ! Magnificos ! Il faut absolument que je l'ai ! Tout de suite !
Mais une voix à côté du bœuf me fit sauter de joie.
- Papa, tu parles à qui ? Dépêche-toi on doit y aller !
C'était la voix de Juliette.
- À une jeune fille brune, une Humaine, sympathique mais c'est tout.
- Jahra ! fit-elle en sautant sur les genoux de son père. Comme je suis contente de te voir !
- Moi aussi, mais j'aurai préfèré dans d'autres circonstances...
Ce qui était vrai. Et je commençait une phrase :
- Je vais être toute seule à Yajust...
- Ma pauvre, je vais rester avec toi aujourd'hui, d'accord ? Papa, je partirai demain ! Je vais jouer avec Jahra !
- Avec une Humaine ? N'as-tu pas honte !
- Non pas du tout.
- Si tu sors de la voiture tu verras ce qui t'attend !
- Je ne t'obligerai pas à faire un choix, promis-je. Si tu veux partir...
- Non je ne veux pas partir, on m'a obligé ! Par ce bœuf, mon beau-père !

Et sur ces mots elle sortit.

Prochainement le 4ème Chapitre
:merci:

Peto-sensei Peto-sensei
MP
Niveau 6
14 septembre 2013 à 12:56:54

Je suis enchanté que tu les aies lues et appréciées ! :rouge: (même si elle commence à dater, je vais actualiser un peu tout ça ! :oui: ).

Concernant le chapitre... c'est dommage, l'action va toujours aussi vite ! Même pour des détails (comme l'invasion de moustique), tu peux approfondir et y rendre intéressant ! :cool:

A part ça, un dernier petit conseil : après et avant un dialogue, passe une ligne, ça rendra le tout plus clair et plus aéré ! :oui:

Voilà ! Sweet ! :globe:

Miss-panda Miss-panda
MP
Niveau 3
15 septembre 2013 à 07:46:27

3ème Chapitre
Le prof Petoche

Le maire Tortimer se tournait les pouces en se lissant la barbe sur la place de la Mairie. C'était le jour de la pêche, et il devait attendre sagement que les cinq habitants viennent lui montrer leurs prises, comme s'il n'avait que ça à faire. Sa carapace se soulevait à chaque soupir, car il avait l'impression de ne servir à rien. Mais il espérait ardemment que ce n'était qu'une impression.
"En même temps, se dit-il, Yajust est un trou perdu par rapport à la magnifique New-York, Tokyo et Bordeaux, jamais je ne m'amuserai véritablement."
Et il sombrait.

Mais un jour quel fut son entonnement en voyant une grosse Merdedes s'arrêter devant ses pieds !
"C'est la voiture de la mort, je vais mourir, se répéta-t-il."
La Merdedes klaxonna, d'un bruit fort et puissant, puis une portière jais s'ouvrit à l'arrière aérien. La créature qui sortait de la voiture ne ressemblait a aucune chose qu'il avait vu, et chez nous on appelle ça un hippocampe doré. L'ippocampe était habillé en costard, et de sa voix mélodieuse et grave, il se présenta en effectuant une courbette.
- Je me nomme Petoche, monsieur le maire. Enchanté. Je viens habiter ici.
- Mais... Euh... Yajust est un coin perdu, sire Petoche. Pourquoi pas...
- Oui, pourquoi pas... Comment expliquer...
Petoche resta immobile pendant deux minutes.
- Hum, disons qu'au lieu d'essayer d'agrandir des villes déjà grandes, ma fiancé et moi voulons agrandir des petites villes, n'est-ce pas chérie ?
- Oh oui ! fit une voix douce de nulle part. C'est comme une maison de poupées !

Et la fiancé apparut dans toute sa splendeur, et on la reconnut.
- Vous êtes Humaine ! m'ecriai-je. Vous êtes alors Marilyn Mordeau !
- En personne, fit-elle en se bombant les seins.
- Vous êtes actrice ! Dans le film du "Milan royal" j'ai trouvé que vous...
- Oui, j'ai très mal joué par rapport à mon potentiel, dit-elle cette fois en bombant les fesses, lui donnant l'air nunuche. J'étai r-i-d-i-c-u-l-e !
- Mais non chérie, fit l'hippocame en l'embrassant.

Une autre voiture, rouge vif, s'arrêta devant eux. Marilyn manifesta sa jalousie devant cette voiture plus belle que la leur en rougissant et en serrant les poings. Elle n'eut pas le temps de taper sur la carroserie impeccable de la voiture, car un cri de rage les fit tous sursauter. C'était la voix de Carla, la styliste professionnelle ! La styliste claqua la porte en sortant.
- AH ! JE SAIS MAINTENANT QUE TU ME TROMPES !
- Mais non mais je ne vous connais pas à part dans les magazines ! protesta Petoche.
- TU DISAIS ÊTRE LE PROF PETOCHE, QUAND JE T'AI SIGNÉ UN AUTOGRAPHE ! ET TU ES REVENU EN DISANT QUE TU M'AIMAIS ! AU NEZ ET A LA BARBE DE MES GARDES ! JE VEUX QUE TU MEURES ! TU M'AS TRAHIE !

Elle sortit un petit pistolet et tira une fois. Le maire s'élança et reçut la balle dans le dos, qui ricocha sur Carla qui l'esquiva rapidement. Elle chargea une deuxième fois et Petoche s'élança.
- MEURS !
Petoche reçut la balle en pleine poitrine. Il mourut sur le coup.
- Oh non, gémit Carla. Non !
Et elle se tira dessus.

PetoIine PetoIine
MP
Niveau 10
15 septembre 2013 à 14:00:09

Wow, j'ai même droit à une apparition dans la fic ! Trop classe ! :-d

... et quelle apparition ! Je m'adonne à la zoophilie depuis mon corps de cheval de mer, drague une styliste et une actrice célèbre avant de mourir avec style ! :cool: (quoique, le dernier point est discutable)

Bref, j'ai bien ri, mais d'un autre côté... ce chapitre est presque un HS humoristique comparé au reste. J'ai l'impression que tu n'as pas de direction dans laquelle faire avancer ton histoire et que tu improvises, je me trompe ? :3

Et puis tu n'as pas appliqué mon conseil qui était de passer une ligne avant et après une réplique/série de répliques ! :o

Je veux dire, au lieu de :
"- Oui, pourquoi pas... Comment expliquer...
Petoche resta immobile pendant deux minutes.
- Hum, disons qu'au lieu d'essayer d'agrandir des villes déjà grandes, ma fiancé et moi voulons agrandir des petites villes, n'est-ce pas chérie ?"

Je propose de faire :
"- Oui, pourquoi pas... Comment expliquer...

Petoche resta immobile pendant deux minutes.

- Hum, disons qu'au lieu d'essayer d'agrandir des villes déjà grandes, ma fiancé et moi voulons agrandir des petites villes, n'est-ce pas chérie ?"

Voilà voilà ! Sur ce, je veux bien une sweet ! :hap: /

PetoIine PetoIine
MP
Niveau 10
15 septembre 2013 à 14:00:58

(Hey, je voulais poster avec Peto-sensei, pourquoi est-ce ça ne l'a pas fait ? D: :hap: )

Miss-panda Miss-panda
MP
Niveau 3
20 septembre 2013 à 18:43:46

En fait oui j'improvise désolé :desole:

Chapitre 4 :
Deuil interminable

La semaine après ce drame nous nous réunirent pour décider vers quel bâtiment nous enterreront ces célébrités, mais aucun ne parla, si bien qu'on le fit à côté de la ville en campagne pour "ne pas attirer les mauvais esprits". Mes amis sanglotaient, d'autres se mouchaient avec un mouchoir, ce qui faisait un orchestre de tristesse. Certains étaient les fans des morts et regrettaient de ne pas avoir pu enmpêcher ce drame horrible. C'est ce que me dit Eloïse, le lendemain :

"-J'adorai Petoche, j'étais sa plus grande fan ! Et voilà, pour une fois qu'il vient et que je peux le voir... Bouh... Il est mort ! C'est de ma faute ! Si j'avais été là, j'aurai calmé les choses, et peut-être que...
-Peut-être qu'il y aurait trois mort, lui confiai-je, et ne t'inquiète pas, il est dans des grandes plaines nimbées de lumière et heureux, alors respire..."

Mais Eloïse répliquait en disant qu'elle serait heureuse d'être morte en protégeant son idole, si bien qu'a la fin elle m'énerva et sortit de la maison en prétextant une excuse quelconque. Ah, les éléphants ! Mais je ne dit rien. Ce n'était pas la peine de parler et si je l'avais fait on m'aurai regardé comme une étrangère. Pour me changer les idées je sortit de chez moi et organisa une opération : Enlever les mauvaises herbes, qui fut un succès total ! Heureusement d'ailleurs, moi qui n'est pas douée pour ces choses là.

Le maire prononça un discours émouvant le jour du deuil, et je le vis pour la première fois essuyer une larme et déposer son mouchoir sur la tombe de Carla, ce qui me fit penser qu'il l'aimait secrètement... Mais non, ce n'est pas possible, vu qu'il a une femme qualifiée de merveilleuse ! À moins que...
Mes pensées furent soudainement arrêtées par le maire qui toussota et prit la parole dans le silence.

"-Nous faisons à présent le deuil de deux célébrités connues et bonnes, qui malheureusement moururent sous notre toit déjà vieux. Si elles vivaient encore, nous leur ferions une fête digne d'eux et de leurs talents, mais là nous ferons un deuil. Mais consolons-nous en pensant que ces deux personnes vivent dans des plaines de lumière dignes des dieux et qu'il vivent une deuxième vie plus joyeuse, si c'est possible ! Ce que j'en doute fort... Madame, avancez..."

Tortimer fit signe à l'épouse de Petoche de s'avancer, et en même temps recula. Marilyn Mordeau s'écroula sur la tombe en lui parlant en anglais ( sa langue natale ) et nous l'écoutâmes en silence respetueux.

Des fleurs posées, le temps d'un deuil, et l'âme en peine nous repartîmes dans nos maisons.

Peto-sensei Peto-sensei
MP
Niveau 6
21 septembre 2013 à 00:08:29

Un chapitre sérieux après un chapitre comique... il y en a pour tous les goûts ! :noel:

Sinon, écrire une fic c'est bien, surtout que tu te débrouilles bien, mais... encore faut-il l'engager dans une direction ! Il faut un fil conducteur qui relie les chapitres entre eux ! Là, par exemple, il pourrait y avoir... un objet top secret trouvé dans la poche de Petoche qui déboucherait sur une enquête policière, ou bien même une simple romance entre l'héroïne et quelqu'un d'autre ! :3

Voilà, à toi de trouver ce que tu veux faire de ta fic ! :-d

Sinon, maintenant qu'elle est relativement développée, tu peux l'inscrire dans l'annuaire des fictions du forum ! :oui: https://www.jeuxvideo.com/forums/1-11372-4284781-1-0-1-0-annuaire-mise-a-jour-du-sujet.htm

Miss-panda Miss-panda
MP
Niveau 3
29 septembre 2013 à 16:48:15

Chapitre 5:
La dent en or

Mr Ernest Grando était un policier très grand et admirable, dont on disait qu'il avait les mêmes cellules grises d'Hercule Poirot. C'est grâce à elles qu'il coinça un homme qui avait commit six meurtres, mais son idole n'était point Hercule Poirot : c'était le grand Petoche. Ainsi quand il apprit sa mort il se précipita à Yajust pour voir la tombe du mort en se désolant d'une si grande perte. Mais pour lui, c'était impossible que Carla ai tiré : Elle était avec lui le moment venu de la mort de Petoche... Bien qu'après elle ai disparu.

- Bonjour, fit-il d'une voix autoritaire à ma personne. C'est la tombe de Petoche, n'est-ce pas ? C'est une grande perte pour nous tous... Comment est-il mort ? Vous étiez là ?
- Oui, fis-je doucement, j'étais là lorsque... qu'il est mort. Triste événement...
- C'est Carla qui a tiré sur cette inestimable personne ?
- Oui, à ce qu'il paraît...
- Vous l'aviez déjà vue ?
- Non mais elle ressemblait à ce que j'avais entendu, déclarai-je cette fois en haussant le ton. Tout le monde dit qu'elle est brune avec des boucles reflétant un ton ocre.... Et elle était comme ça !!!
- Ah ! s'écria Ernest, l'air triomphant. Elle lui ressemblait, mais ce n'était pas elle ! Et je le sais, car au moment du meurtre elle était avec moi !

Je méditai ces paroles mystérieuses en fermant les yeux. Si ce n'était pas Carla, alors qui ?

- Vous connaissez les magazines people, non ?
- Oui, répondis-je à l'interrogatoire. Mais je ne les lis jamais...
- Dommage, car vous auriez su qu'elle avait une soeur jumelle lui ressemblant en tout point !

Cette fois je ne cachai pas mon étonnement.

Bip bip, fit le portable d'Ernest, qui l'ouvrit. Après l'appel il répondit d'une voix calme et posée à ma question silencieuse.

- Oui, c'était Carla au téléphone.

PetoIine PetoIine
MP
Niveau 10
30 septembre 2013 à 21:30:24

Intéressant, intéressant ! :content:

J'attends de voir la suite, ce n'est que le début de l'enquête ! :oui:

Yoshi088 Yoshi088
MP
Niveau 10
30 septembre 2013 à 23:10:31

Pas mal ! :o))

Miss-panda Miss-panda
MP
Niveau 3
06 octobre 2013 à 11:10:43

Merci, Yoshi et Petoline ( alias Peto-seinsei ) pour votre soutien :merci: c'est très encourageant. Et donc sans attendre le Chapitre 6 ! :cool:

Chapitre 6
Étonnement

Je ne cachai pas ma surprise tant la nouvelle m'étonnait. Ainsi c'était la soeur jumelle de Carla qui avait tiré sur Petoche ! Et non la célébrissime couturière Carla ? Pour moi les infos furent dures à digérer, et il me fallut longtemps pour que j'ai le courage de dire une phrase.

- Mais alors, on a enterré la soeur de Carla ?

Immédiatement Ernest répondit :

- Il le semblerait, oui... Mais vous devriez plutôt poser la question : Pourquoi est-ce ELLE qui a tiré sur Petoche ? Tout le monde connaissait la relation de l'acteur avec Carla, mais jamais avec sa soeur ! Malheureusement, mon esprit est tout embrouillé avec ces histoires et voilà le jour qui se couche.

En murmurant ces mots il pointa le ciel qui s'assombrissait de minute en minute, et ne pouvant repartir chez lui, à Harglye, je le conviai chez moi afin qu'il ne dorme dehors.
"Tiens, pensai-je en le regardant discrètement, il a la même couleur d'yeux que Petoche... Le même bronze... C'est drôle !" Mais au bout de quelques minutes, étant très sportif, Grando me demanda un plan de la ville ainsi que la position de ma maison, il me l'arracha des mains et courut sous la pluie battante en direction de chez moi.

De mon côté, je préférai marcher tranquillement avec un parapluie de chez Cause toujours, la nouvelle boutique de vêtements et d'accessoires, dont les seul problème était le nom ( selon mon avis ). Priant pour que le lendemain soit mieux qu'aujourd'hui j'allai recevoir les lettres de la poste, dont mon journal favori, Marie Christine Claire. Je notai que le "meurtre de Petoche et Carla" n'avait pas dépassé la région car la nouvelle n'était pas écrite.

A la maison, je fus envaillie par une bouffée d'odeurs toutes plus alléchantes les une que les autres. Ainsi, le fan de Petoche sait cuisiner ! Moi qui pensait qu'il ne savait rien faire à part imiter Hercule Poirot... Je le trouvai en effet dans la cuisine en train de préparer du crabe royal à la mayonnaise. Comme voulant me sermonner il commença sa conversation distraite par :

- La porte n'était pas fermée à clé.
- Et ? demandai-je, piquée.
- Des bandits pourraient facilement entrer ici. Maigres précautions, autant dire aucune.
- A Yajust, personne n'est un voleur.
- Il y a des touristes qui viennent ici... J'aurai pu vous voler beaucoup d'argent sans que vous le remarquiez.
- Tout est à la banque.
- Mais le code d'aacès est ici, derrière le placard à balai.
- Comment le savez-vous ?
- Tout le monde le met là.

Je soupirai et, afin de cesser cette discution ridicule, entreprit de préparer le couvert. Et je dois bien dire, malgré moi presque, que le crabe qu'avais fait ce Ernest ( je le trouvai arrogant ) était la meilleur plat que j'ai mangé.

PetoIine PetoIine
MP
Niveau 10
07 octobre 2013 à 17:26:49

C'est bien sympa tout ça ! :-d

Tu arrives à donner un caractère à chaque personnage tout en trouvant quelques jolies astuces de style ! (j'ai bien aimé la discussion à la fin) :oui:

Sweet ! :oui:

Miss-panda Miss-panda
MP
Niveau 3
10 octobre 2013 à 17:46:02

Chapitre 7
Adepte de la MODE ?

Je n'arrivai pas dormir tant des centaines de questions tournaient dans ma tête. Dehors, il pleuvait si fort que je craignis que mon hôte n'ai pas réussi à dormir, alors, saisissant une chandelle, j'allai à pas de loup dans sa chambre. Mon intuition était bonne, puisque je le vis penché sur un livre tellement intéressant qu'il ne leva pas les yeux pour m'accueillir. Seul un clignement des paupières m'indiqua qu'il était vivant, car il ressemblait à un mort tant il était immobile... Et ses vêtements ! Tous déchirés les uns que les autres ! Si il y a bien une chose que je déteste c'est ceux qui ne respectent pas les lois de la MODE.

- Bonne nuit, fis-je doucement.
- Merci, répondit Ernest en claquant des dents.

Tiens ? Il claquait des dents. On non, dites-moi pas qi'il avait froid... Manquai plus que je me retrouve avec un policier malade ! La honte assurée, en plus je me ferai monter du doigt par les autres habitants.

- Oh non ! criai-je, faisant sursauter mon hôte.
- Quoi ? J'ai fais quelque chose de mal ?
- Vos vêtements ! C'est affreux ! ça ne vous tiens même pas chaud ! Mais comment...
- J'ai le poil de l'ours, coupa-t-il en souriant.
- Mon oeil ! Vous grelottez ! Vous ne dormirez pas comme ça ! Debout ! R-E-L-O-O-K-I-N-G !!!

Je fronçai les sourcils à la manière de ma mère pour qu'il m'obéisse et ça eu l'effet escompté. Il se leva d'un seul coup car j'avais crié tellement fort que ses tympans étaient en état critique. Me maudissant intérieurement il s'habilla en policier et...

- Non ! Pas en policier ! En look CITADIN ! éructai-je. Sinon ça fait beaucoup trop MOCHE !
- Mais j'ai que ça ! J'ai pas apporté mes vêtements, juste un pyjama au cas où ! Et en plus...
- Je m'en MOQUE ! Bon, venez en pyjama avec vos vielles godasses et suivez moi ! ordonnai-je.

Nous sortîmes dans la rue et je priai pour que personne ne nous vis. Ma prière eu l'effet escompté. Nous arrivâmes bientôt devant la boutique Cause toujours et je le poussao à l'intérieur.

- Bonjour chérie, fit Ornette, la conseillère.
- Bonjour, j'ai besoin d'un relooking pour LUI.

Ernest, sachant qu'on parlait de lui, se raidit brusquement.

- Non, maugréa-t-il. Non.
- Allez, tu vas être sublime ! incita Ornette. Allez !
- Allez tu vas avec Ornette et FISSA ! ordonnai-je.

Il partit avec la consillère dans un large couloir de vêtements tandis que je m'asseyai, comptant mon argent.

Pour la premièrefois, je me demandai si je n'avais pas été trop brusque.

PetoIine PetoIine
MP
Niveau 10
10 octobre 2013 à 20:16:40

Pas mal ! :noel:
J'aime bien la direction comique/policière que prend l'histoire ! :3

Par contre, attention aux fautes de frappe ("poussao" par exemple) ! :content:

Sweet ! :globe:

Miss-panda Miss-panda
MP
Niveau 3
12 octobre 2013 à 12:54:04

Poussao ? C'est où ?

Chapitre 7
Relooking

J'attendis trois heures et enfin j'entendis la porte de la boutique s'ouvrir. De là en sortit Ornette et un homme ( mannequin sûrement ) qui riaient aux éclats, de là je me demandais si elle n'avait pas oublié Ernest quelque part.

- Oh là là, chérie, fit-elle en me voyant. Il est sublime, non ? Regarde moi ça ! Un chef-d'oeuvre !
- N'en rajoutez pas trop...

L'homme, l'air gêné, me dévisagea.

- Finalement c'était moins pire que ce que je pensais...

Un éclair de compréhension me réveilla de ma torpeur.

- Vous ! Ernest ! m'écriai-je. Non !
- Oui, MOI, appuya-t-il.

C'était logiquement impossible, tellement il dégageai une confiance en soi et du charme. Tiens, suis-je devenue amoureuse de ce policier brun d'une heure à l'autre ? Non, je me suis trompé : ce n'est pas lui. C'est obligé ! Il est aussi beau qu'un dieu quand il a des bons vêtements... Et une bonne coiffure ?

- Ornette, l'appelai-je, la coiffure ?
- Oui oui ! ça lui va mieux, ébouriffée comme ça, non ? Allez, dites oui, chérie ! Il est magnifique, sublime !
- N'en dites pas trop, murmura Ernest en rougissant.
- Voilà ! fis-je, triomphale, quand on veut être beau, on peut ! Sans souffrir !
- Eh mais dites donc ! protesta-t-il soudain. C'est VOUS qui m'avez obligée ce relooking ! Je n'ai pas pu dormir !

Pour moi, dormir était secondaire, le look était AVANT le dodo, alors je ne compris pas.

- Vous êtes plus beau qu'un dieu !
- Mais merci, hein, ajouta le policier. Vous aussi, vous êtes très belle quand vous le voulez...

Je rougis violemment, et pour cacher cette honte je lui donnai une grosse claque dans le dos.

- Petit farceur, va !

Ornette, qui n'avait perdu aucune miette de la conversation, proposa du thé apaisant, tout en ajoutant qu'il "était fait par la mère Roserta elle-même !". La mère Roserta était l'icône du thé et du vin, et j'eu la certitude qu'Ornette n'avait pas mentit en buvant ce breuvage couleur vert.

- BRAVO ! m'écriai-je, faisant sursauter les autres. Ce thé est excellent ! Où l'avez-vous acheté ?
- Euh... à Paris. Si vous aimez, je vais vous apporter une autre bouteille... Celle-ci est vide.
- Merci beaucoup !

Une fois Ornette partie, Ernest me chuchota dans l'oreille :

- Quand vous'avez ordonné cette séance de relooking... Dans votre maison... Je lisais le journal.
- Et ? lançai-je d'un ton désinvolte.
- Il avait un article très trèèèès intéressant sur la magie.
- Vous croyez à ces sornettes, vous ?

Ernest fit une grimace.

- Moi non, mais... Je connais des personnes qui croient à tout ce que l'on dit. La magie, la réincarnation... Si on leur disait que le chien des voisins était la réincarnation du père de la famille, elles y croiraient tout de suite !
- Il faut être cinglé pour y croire !
- Pourtant, chaque jour... Chaque jour, quelque part, un mensonge fait perdre la vie à des innocents...

C'est là qu'Ornette re-apparut devant nous, avec le thé demandé. Elle nous dévisagea longuement puis déposa la bouteille sur la table de bois, à l'arrière de la boutique.

- Alors, c'est pour quand ? demanda-t-elle.
- De quoi ? fis-je.
- Les fiançailles ! Le mariage ! ET tout le toutim !
- Euh, bégaillai-je en rougissant. Vous ne comprenez pas, il est chez moi car il...
- C'est fou comme les âmes soeurs se retrouvent, n'est-ce pas ? D'un certain côté, c'est grâce à Petoche !

La vendeuse sourit et repartit à l'avant de la boutique.

- Voilà un exemple de cas crédule, murmura Ernest. Je vais essayer quelque chose avec elle, surtout ne faites rien. Mais que je vous explique : les cas crédules croient tout, même que leur mari les trompe... Et croient les mensonges des "maris". Dans le cas de Petoche, c'était un amant, mais elle pensait que c'était un simple célibataire...

Il ricana.

Miss-panda Miss-panda
MP
Niveau 3
12 octobre 2013 à 12:56:19

Oups en fait c'était le chapitre 8

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