On se marre!!!

J´aimerais bien voir Setsu ( non pas Setsugekka mais bien Setsuka ) crever dans d´atroces souffrances

Ils vont tous mourir embrochés par la Rapière de Raphael... El Fampire...

Il va en faire du fromage rapé

Exactement ^^ Le fameux Fromage Rapé del fffffffammmpirrrrooooo Raphaelo...

raphael y craint dans le 3 dans le 2 ca va

Je trouve plutôt qu´il craint dans le 2...

moi je le trouve mieu avant

Sadistic-Cupid: Je mange du pain !

Les autres : On s´en fout !

Sadistic-Cupid Mais il y a du beurre et du succre dessus ! C´est très bon !

Les autres : Tais-toi !! !!

Maintenant le mot "sucre" prend deux "c".

(J´attend un nouveau chapitre)

(J´attend encore un nouveau chapitre)

(C´est long...)

Ah mais c´est vrai ! C´est annoncé pour ce soir

Si la suite arrive pas ce soir, je créé une émeute d´une personne (moi) dans mon quartier

TIP-Ex Non tu ne seras pas seul ! Je viendrais chez toi et on fera l´émeute ensemble ! SOLIDARITÉ !!

Mdr ! Pour votre peine, à cause de vos floods, je la posterai demain cette suite !

Allez plutot flooder le topic couche tard, qu´on passe vite à une autre page...

NNNNOOOOOOOOOOOOOOOOOOOONNNNNNNNNNNN !! !!!!!!!!!

POURQUOI TANT DE HAINE ?? !!!?!!!?!?

Revelations exclusives sur le topic couche-tard !

Voilà enfin le 7ème chapitre de cette fic... ainsi que sa première scène gore.

Petite intro, elle se contente de donner le ton, mais j´aimerai votre avis avant de continuer... Trop gore, pas assez ?. ..
Dites moi tout !

Bonne lecture, fidèles amis !

Setsu´

CHAPITRE 7 : La lune en armure de sang

L’horizon s’assombrissait peu à peu. La nuit n’allait pas tarder à tomber, elle serait le coup d’envoi de la tuerie à laquelle ils étaient conviés.
Rock était prostré. Il ne voulait pas croire ce qui allait arriver. Pas question de laisser Talim et Kilik se faire tuer, il les protègerait coûte que coûte, il trouverait une solution.
Rock n’était pas un homme très intelligent, mais il était profondément doux et bon. Il ne mettrait pas sa force phénoménale au profit de la violence, il ne voulait tuer personne… le meilleur moyen de sauver ses deux nouveaux amis était de les aider à s’enfuir, et il y mettrait toute son énergie.
Les autres étaient tous très tendus, à l’exception de Taki, plongée dans une léthargie molle dont elle ne semblait pas prête de se libérer…

Des pas se firent entendre dans le couloir.
Cette fois, ça y était. Les choses allaient commencer maintenant. Ou se terminer ici.
Talim, tremblante, en avait le souffle coupé.
La silhouette grossière et imposante d’Astaroth se découpa dans la pénombre.
Sans cérémonie, il glissa la clef dans la serrure, et ouvrit la porte. Il jeta un coup d’œil
circulaire, et désigna Cassandra.
-Toi, sors. Prends ton arme et va t’en.
Cassandra, tremblante et extrêmement nerveuse se leva d’un bond. Sans lancer un seul regard à Sophitia, elle ramassa au sol une épée et un bouclier. Trois choix s’offraient alors à elle : un couloir, droit devant, s’enfonçait dans les ténèbres, tandis que deux autres, à gauche et droite, étaient éclairés. Elle prit à droite et se déroba bientôt au regard des autres.
Astaroth attendit quelques instants, puis fit signe à Talim d’y aller, cette fois. Elle se leva, dévisagea Rock, puis Kilik et sortit. Elle se saisit de petites lames de coude, et s’engagea sur la gauche.

Astaroth hésita un peu. Il devait laisser sortir ceux qui semblaient les plus faibles en premier, mais il était bien en mal de choisir… Le samouraï, la ninja et la plus âgée des deux blondes étaient les plus doués, Nightmare l’avait prévenu. Il soupira et finit par faire signe au jeune garçon : il avait l’air très proche de la fille précédemment sortie mais tant pis…
Kilik se leva rapidement, ramassa un long bâton de combat, et courut rejoindre Talim.

Puis ce fut le tour de Raphaël. Il se leva calmement, prit le temps d’épousseter son costume, et passa la porte, un léger sourire au coin des lèvres. Il se saisit de son arme, une fine rapière. Il la leva à hauteur de ses yeux et, du bout des doigts, en suivit la courbe, caressant délicatement la lame.
-Va t’en maintenant, lui ordonna Astaroth.
Raphaël se tourna alors vers lui et le fixa intensément. Son sourire s’élargit, dévoilant ses dents blanches en une grimace carnassière.
-M’accorderas tu une danse, stupide géant ? souffla-t’il.
Il se mit en garde et, avant même qu’Astaroth n’ai trouvé le temps de réagir efficacement, il avait franchi d’un bond la distance qui les séparait. Un bruit râpeux et sec se fit entendre. Puis le temps fut comme suspendu.
Raphaël se tenait face à Astaroth, le bras droit tendu vers son visage. Dans le prolongement de son bras, la rapière, plantée de plusieurs centimètres entre les deux yeux du géant. Ce dernier se tenait immobile, les bras ballants : on aurait dit une marionnette grotesque, corps monstrueux de chiffons et de papiers sans vie.
Raphaël, lentement, retira enfin sa rapière du crâne, dans un bruit de frottement spongieux, écoeurant. D’un geste sec, il débarrassa sa lame des morceaux de matière grise et des gouttelettes de sang qui s’y étaient collés. Un mince filet de ce même sang dévala le visage figé d’Astaroth : il cligna des yeux, comme abasourdi, avant de s’écrouler sur le sol. Mort.
Raphaël sortit un mouchoir de sa poche : l’air indifférent, il débarrassa son épée des dernières taches qui la jonchaient.
Puis, sans se départir de son sourire narquois habituel, il adressa une majestueuse révérence aux derniers occupants de la prison.
-Au plaisir de vous revoir, mes chers, dit-il avant de s’éclipser dans le couloir obscurci.

Sophitia déglutit difficilement.
La partie allait être rude, à n’en pas douter. Celui qu’elle avait jusque là pris pour un fanfaron stupide et égoïste s’avérait être un adversaire redoutable, aussi vif et rapide qu’il était précis. Et manifestement très motivé… Mais elle n’avait pas de temps à perdre à rêvasser : une mission lui était proprement réservée, pas question de laisser un autre s’en charger. Elle récupéra ses armes, une épée et un bouclier, et emprunta le couloir de gauche, courant sur les traces de sa sœur.

De sa démarche lourde mais relativement souple pour un homme de sa carrure, Rock sortit à son tour. Se saisissant de sa grosse hache, il suivit la direction qu’avaient empruntée ses deux amis auparavant.

Mitsurugi se retrouva alors seul dans la cellule. Seul avec Taki.
Il jeta un bref coup d’œil à la jeune femme : l’air hébété, le regard perdu dans le vide, elle restait prostrée, incapable de réagir.
Il haussa les épaules et récupéra son arme à son tour. Mais au lieu d’emprunter un couloir comme les autres, il se rassit dans la cellule, en tailleur, son katana sur ses genoux.
« Qu’ils s’entretuent si cela les amuse… je n’ai pas envie de jouer au chat et à la souris. Que ceux qui désirent m’affronter viennent jusqu’ici me défier. »
Il regarda pensivement par une des ouvertures, creusée dans le mur épais de la prison : au dehors, la lune se levait, paresseusement. Mitsurugi ne fut pas surpris par sa couleur : la lune était pleine, et elle était rousse.
« La lune du démon… Cette nuit sera un véritable bain de sang. »
Et, comme pour l’approuver, un nuage passa, dessinant un visage ricanant sur cette face ronde et malfaisante.

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