Analyses des jeux vidéo et consoles - page 32

Il fut un temps, les FPS ou First Person Shooter étaient considérés comme des "Doom-Like", c'est à dire des jeux de tir en vue subjective inspirés par le célèbre Doom de John Carmack. À l'image de Wolfenstein 3D, ce titre nerveux a été une révolution pour bon nombre de joueurs à l'époque. Outre sa réalisation dantesque, le soft était innovant à de multiples échelles : carte de repérage, mouvement de l'arme, accessibilité du déplacement latéral et ambiance ultra immersive. Doom a véritablement mis une claque à tout le monde ! Du Doom-Like au FPS, le genre s'est renouvelé pour aller toujours plus loin dans la démesure. Aujourd'hui, en 2015, il est intéressant de faire un état des lieux des forces en présence. De Call of Duty à Battlefield en passant par Titanfall ou Destiny, quels sont les véritables atouts des licences de ces dernières années ? Tentative d'explication...

Mais au-delà du jeu, il est intéressant de se plonger dans les références et les influences de la saga. "Fallout" signifiant "retombées", elle est une image d'une réalité alternative ayant conduit le monde au bord du gouffre. Et pour fédérer un maximum de joueurs, les développeurs ont été puiser dans un très grand nombre d'œuvres, qu'elles soient littéraires, musicales, vidéoludiques, télévisuelles ou cinématographiques. Voici la rétrospective culturelle d'une série devenue culte.

Le grand jour approche et jeuxvideo.com a fait tout ce qu’il pouvait pour vous y préparer. Baignés dans l’univers de la saga, il ne vous reste plus qu’à attendre le test de Fallout 4 pour l’innénarable avis de la rédaction.

Tout le monde meurt, même moi, même vous... C’est la vie... La mort, au bout du compte, donne toujours un certain sens à notre existence, fut-il à sens unique. Au delà de ce processus linéaire, il est intéressant de le rapporter au jeu vidéo, dans son ensemble, et de certains titres en particulier... Ce n’est pas parce qu’on y meurt beaucoup, au final... En matière de surenchère du nombre de types et/ou créatures qui crèvent dans un jeu, on trouvera toujours « plus »... En revanche, ce qu’il y a d’intéressant dans certains jeux iconiques, c’est qu’on y meurt pas n’importe comment. Explications.

Au début des années 2000, le petit monde vidéo-ludique Star Wars se porte à merveille. Galvanisé par l'arrivée de trois nouveaux films au cinéma, l'engouement pour la saga de George Lucas donne naissance à de nombreux jeux-vidéo à succès qui, aujourd'hui encore, demeurent gravés dans l'inconscient collectif. Ces jeux, ce sont Jedi Outcast, Jedi Academy, les deux excellents Knights of The Old Republic, mais aussi – et surtout – ceux issus de la licence Star Wars Battlefront.

Qu'on l'aime ou qu'on la déteste, la série des Call of Duty ne laisse personne indifférent. Comme nous avons pu le voir dans un précédent dossier, l'émergence de cette licence ne s'est pas faite du jour au lendemain.