Grâce à l'aide de sa voisine Eileen Galvin, notre héros découvre que les évènements paranormaux dont il est témoin, ainsi que ces meurtres en série ont finalement un but précis. Les victimes sont toutes familières du meurtrier, Walter Sullivan de son vrai nom. Cet homme est en fait en quête d'une vengeance qui remonte maintenant à bien des années. Etant bébé, il a été abandonné par ses parents, condamné à mourir dans l'appartement 302, là où vit Henry à présent. Franck Sunderland, le concierge, l'a heureusement trouvé et l'a emmené dans un orphelinat (oui, c'est bel et bien le père de James Sunderland !). Durant l'enfance de Walter, une certaine Dahlia Gillespie (qu'elle est vile !) lui a régulièrement parlé d'un rituel qui pourrait lui ramener sa mère. Pour le réaliser, il fallait être prêt à sacrifier vingt-et-une personnes. Mais Dahlia lui cachait ses vrais desseins, à savoir utiliser ces sacrifices pour réincarner son dieu. Elle lui faisait même miroiter que la chambre 302 était sa « mère temporaire », en attendant qu'il accomplisse le rituel. Le pauvre Walter la croyait et allait ainsi régulièrement rendre visite à sa mère, en frappant à la porte du 302. Lorsqu'il grandit, Walter décida de suivre les conseils de Dahlia. Il tua donc plusieurs personnes, en inscrivant à chaque fois le numéro du meurtre, allant du numéro 1 jusqu'au numéro 21. C'est ainsi que le tueur en série naquit. Désormais, le tueur s'apprête à réserver le même sort pour Henry et Eileen, afin de terminer le rituel et faire revenir sa mère. Malgré tout, les deux voisins arrivent à renverser de justesse les plans machiavéliques de Walter Sullivan, en lui ôtant la vie. L'histoire se termine sur la triste mort de cet enfant abandonné, dont le fantôme ne cherchait qu'un simple amour maternel.