La puissance du multijoueur au coeur de l'expérience. Overwatch est un soft destiné aux convaincus du jeu en ligne. Avec des alpha et bêta convaincantes, Overwatch a plus que séduit et rassuré, il s'annonce comme une petite tuerie, bien léchée, et bien mise en forme par Blizzard.
Overwatch
Le FPS version Blizzard. On a toujours vis à vis de Blizzard cette double lecture de leurs productions. D'abord cette impression de facilité quand ils exploitent de manière prolixe leurs licences, usant à l'infini le concept de DLC et d'Add On , mais toujours cette impatience à l'annonce d'un de leurs nouveaux softs. Pourquoi ? Parce qu'il y a ce label Blibli qui va bien. Cette prise en main directe, ce calibrage qui permet cette prise en main, et cette manière d'amener le gameplay où ils veulent grâce à un travail léché en terme de gamedesign. Et Overwatch a répondu à cette attente.
Avec son système de classes, sa précision, son design et sa colorimétrie, on est tout de suite bien. Fluide, avec ses ajustements nombreux au niveau de chacun de ses personnages, Blizzard introduit l'univers du MOBA dans les FPS à sa manière. Chaque joueur pourra ainsi développer son jeu, selon ses dispositions à incarner un héros au profil attaquant, fufu ou encore défenseur. Avec son caractère de jeu taillé sur mesure, son identité, son jeu en ligne fluide et convivial, Overwatch soigne sa présentation. Typiquement le jeu qu'on ressort tout le temps sans savoir pourquoi ou plutôt si, les bonbeks sur un coin du bureau, un pote sur mumble qui vous demande de passer parce qu'il a trouvé un nouveau glitch avec sa petite Farrah, bref entre pop corn et compétition, on se prend pour des vrais et on aime ça.
Dans notre vidéo nous avons demandé à Strenx, le célèbre joueur de Quake, de nous accompagner pour nous montrer un peu les persos d'attaquants sur le jeu. La vidéo date un peu, pardonnez donc les petits accrocs et les persos que nous ne maîtrisons pas encore au niveau de leur Q. Ce n'est pas sale. Des bisous.