Le jeu est déjà sorti à l'heure où vous lirez cet article. Sa promesse à l'époque nous avait paru fade. Mais plus le temps avançait et plus nos sessions de jeu nous ont confortés dans l'attente très élevée du soft. Far Cry Primal a réussi à immerger les joueurs dans son univers en monde ouvert. Constellé d'animaux, de dangers, le monde sauvage de Primal nous a offert une expérience des plus réussies. Pour un guide des FPS de 2016, surtout si vous tombez sur ce dernier par hasard. N'hésitez pas.
Far Cry Primal
Vous rêviez d'incarner l'homme de Cro Magnon ou l'homo Sapiens Sapientis, Far Cry est certainement fait pour vous. Rendez-vous aux pieds des mammouths, la lance au silex taillé sur mesure pour abattre le tigre à dent de sabre. Far Cry se décline à la manière d'un Assassin's Creed, sauf que sur l'autoroute du temps la DeLorean d'Ubisoft a préféré la sortie : Préhistoire.
Les amateurs de la série le savent, il était finalement plus dangereux de croiser la route d'un blaireau ou d'un poisson démon que d'affronter 50 mobs à un poste de contrôle. Far Cry Primal joue de cette mécanique pour rendre le monde que parcourront les joueurs, hostile. S'il est difficile de considérer le jeu comme un FPS au sens propre du terme, certains segments de gameplay abondent en ce sens. Le jeu a juste troqué les Kalash pour les remplacer par des arcs et des flèches. Primitivement fun.