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Page Dossier Je meurs donc je suis
Je meurs donc je suis

Autant oser toute de suite la question idiote : « pourquoi meurt-on dans le jeu vidéo ? ». La première réponse que l’on doit tenir c’est : non, on ne meurt pas dans le jeu vidéo… On a juste une représentation de la mort qui peut arriver dans un jeu, et pas dans tous, et lorsqu’elle arrive, il s’agit d’une mise en scène dans laquelle un avatar, une représentation virtuelle d’un être QUI N’EXISTE PAS, passe de vie à trépas. Si on part du principe que l’on meurt dans le jeu vidéo, on accrédite les idées stupides selon lesquelles les jeux vidéo violent les conventions de Genève (ne riez pas, il y a des gens qui pensent ça.)

Je meurs donc je suis
Gunfight 1975

Pourquoi cette représentation de la mort, alors ? Historiquement parlant, il faut attendre 1975 pour que la mort ait une utilité dans les codes nécessaires à ce qu’on peut attendre d’un jeu vidéo. C’est en effet dans le jeu d’arcade « Gunfight » que l’on verra une première mise en scène de la mort dans un jeu vidéo. Ce dernier développé par Midway (réédité par Taito en 1976) mettait en scène un duel de cow-boys qui se tiraient dessus à coups de revolver. Le jeu se jouait à deux joueurs (à l’époque, pas de bot !), et le but était d’abattre son adversaire… C’était ni plus ni moins le principe du pong inversé, puisque dans ce cas, il fallait éviter la balle. La raquette, elle, avait été remplacée par une tentative de modélisation de personnage monochrome, blanche, ou jaune, sur fond noir. La partie était chronométrée, et c’est au bout de 60 ou 90 secondes selon le réglage des consoles que la fin du jeu était sifflée. Là, un décompte des victoires désignait le vainqueur des duels, et en cas d’égalité, un dernier point était discuté en « mort subite ». Certes, la mort existe déjà en 1962 avec Spacewar !, mais ce qu’on voit à l’écran, c’est l’explosion d’un vaisseau spatial, et pas vraiment la mort, à proprement parler, d’un personnage.

Je meurs donc je suis
Spacewar

Ce qu’il y a d’intéressant, dans ce jeu, c’est qu’on assiste vraiment à une première représentation de la mort pour illustrer une condition de victoire (pour le vainqueur) net une condition d’échec (pour le vaincu). On voyait très clairement à l’écran la représentation d’un personnage humain qui, une fois atteint par une balle, s’écroulait, raide mort. Certes, on était très loin d’une simulation dramatique comme celles que l’on peut voir dans les jeux vidéo actuels super perfectionnés, et le ton s’inspirait plus des productions hollywoodienne de western des années 50 que de n’importe quel autre film Western Spaghetti, mais c’était bien là : la mort venait d’entrer dans le jeu vidéo.

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Commentaires
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vorchen vorchen
MP
Niveau 3
le 20 mars 2017 à 00:31

Il est possible que je comprenne pas bien la phrase, mais vous semblez insinuer à la fois que la mort est moins dramatique dans le western des années 50 que dans le western spaghetti, ce qui est faux hein !

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Sommaire Dossier
  • Je meurs donc je suis
  • Tant que j’ai une vie, je joue
  • La jubilation pixellisée
  • Le paradoxe Fallout III
  • La fin de tout ?
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