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Page Dossier Battlefront, bienvenue dans Star Wars
Battlefront, bienvenue dans Star Wars

Les hasards du calendrier font que Star Wars Battlefront sort le 20 septembre 2004, quasiment 2 ans jour pour jour après Battlefield 1942. Grande surprise également, son gameplay principal repose quasi-intégralement sur le mode « conquête » caractéristique du titre de DICE. Un mal pour un bien dans le secteur du FPS de plus en plus bouché. Heureusement pour lui, Battlefront, c'est aussi l'incarnation d'une franchise extrêmement puissante.

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En dehors du fait qu'il s'agit à la fois d'un First et Third Person Shooter, quiconque dit que Battlefront n'est pas un clone de Battlefield 1942 fait preuve de mauvaise foi. Que ce soit en ligne ou sur les modes solos (campagne ou conquête galactique), le jeu n'est en fait qu'un immense mode conquête, tout simplement arrangé en space-opéra, où les unités sont des stormtroopers, des clones, des droïds et des soldats rebelles. Chaque faction est subdivisée en 4 classes de base (soldat, soldat lourd, pilote et sniper), auxquelles vient s'ajouter une classe spéciale (jet trooper clone, Dark Trooper impérial, contrebandier Wookiee et droïdeka). L'objectif des parties est de prendre possession des points de spawn répartis un peu partout sur la map et d'éliminer l'équipe adverse.

Battlefront, bienvenue dans Star WarsBattlefront, bienvenue dans Star WarsBattlefront, bienvenue dans Star Wars

Un peu trop proche de Battlefield ?

Or, si adapter les recettes qui fonctionnent bien est monnaie courante dans les productions vidéo-ludiques Star Wars (on se souvient par exemple des Galactic Battlegrounds, développés par Ensemble Studios sur la base de leur très populaire Age of Empire), le fait de sortir un fac-similé de BF1942 n'est pas nécessairement salvateur pour LucasArts et Pandemic.

Battlefront, bienvenue dans Star Wars
Là, les clones vont tous mourir, parce que Tyrannus est quasi-immortel.

Car il faut bien l'avouer, le jeu souffre d'un cruel manque d'équilibrage : les véhicules sont beaucoup trop puissants par rapport à l'infanterie, la différenciation entre les classes est trop faible, les chasseurs tournent en rond dans des arènes trop petites, l'IA, omniprésente, est suffisamment débile pour lancer des grenades là où il n'y a aucun ennemi, les armes manquent de punch, certaines map sont mal pensées (dédicace à Bespin et son goulet d'étranglement infranchissable) et, pour couronner le tout, le titre est rempli de bugs (traversée de murs à gogo).

Accessoirement, les 4 héros présents dans le jeu (Dark Vador, Luke Skywalker, le Comte Dooku et Mace Windu) ne peuvent être contrôlés que par l'IA, et s'avèrent extrêmement difficiles à tuer, puisque leur sabre-laser leur permet de parer tous les tirs et de tuer n'importe qui en un coup. Fort heureusement, ils sont désactivables.

« — Personne ne peut tuer un Jedi ! — Si seulement tu disais vrai... »

S'il est impossible de tuer les héros à la régulière, il tout de même possible de s'en débarasser grâce à un certain nombre de techniques détournées. Placer des mines ou toute sorte d'explosif afin de les faire s'envoler vers un lieu mortel (une fosse, ou le Sarlacc, par exemple) ou encore foncer sur eux avec une motospeeder sont autant de moyens plutôt efficaces de mener à bien un mini-Ordre 66.

En dépit de cela, le jeu reste évidemment très fun, mais il s'agit clairement d'un titre destiné aux fans de Star Wars, qui lasse rapidement les joueurs de FPS/TPS à la recherche d'une expérience de jeu approfondie. Sur PC, le premier Battlefront ne tient pas vraiment la concurrence et peine à s'imposer comme une référence du genre, surtout en face de la première extension de BF1942 : Battlefield Vietnam.

Les consoles à la rescousse

Heureusement, le tableau est beaucoup moins noir du côté des consoles, où le secteur n'est pas du tout concurrentiel. Et si les problèmes cités plus haut existent aussi sur les plate-formes de salon, l'absence d'autres titres du genre font très vite de Battlefront un quasi-incontournable. Rapidement, le titre peut s'enorgueillir d'être « le jeu Star Wars plus vendu de tous les temps », avec plus de 1 million de copies distribuées à la fois sur PS2 et sur Xbox.

Séquence de gameplay sur Tatooine : Mer des Dunes (Xbox)

Une galaxie plus si lointaine

Heureusement pour lui, Battlefront possède un atout de taille qui va permettre de marquer les esprits : la licence Star Wars. Car au-delà des défauts évoqués ci-dessus, l'immersion dans la saga vendue par ses concepteurs est clairement au rendez-vous.

Du cinéma au jeu-vidéo

Depuis les quatre factions disponibles (Empire, Alliance Rebelle, Confédération des Systèmes Indépendants et République Galactique), tout – absolument tout, sans exception – transpire Star Wars. Scout troopers, pilotes de l'Empire, droïds araignées, chevauchée de Tauntaun, cyclotank "Hellfire", chasseurs géonosiens, A-wing, TB-TT... le moindre élément de la saga susceptible de servir de modèle est utilisé. Sur l'une des maps, les développeurs vont même jusqu'à reproduire des sculptures de la civilisation Naboo, qui n'apparaissent pourtant que quelques secondes dans La Menace Fantôme !

Bien qu'il n'y aura jamais aucune bataille ici.

Le jeu tient tellement à coller aux films qu'il existe une limitation de taille dans les affrontements : si vous imaginiez pouvoir démembrer du droïde de combat avec un stormtrooper, vous allez être déçu. Il n'est en effet pas question de mélanger les époques : l'Empire ne combat que la Rébellion, la CSI n'affronte que la République. Un point, c'est tout.

Plus que tout, la force de Battlefront, c'est aussi d'immerger le joueur bien au-delà du Star Wars cinématographique. Le jeu est, en effet, un tremplin efficace vers des horizons un peu moins connus du commun des spectateurs.

Les campagnes solo : l'occasion de compléter les films

Battlefront, bienvenue dans Star Wars
Star Wars – Republic, une des nombreuses références présentes dans le jeu.

Au moment où j'écris ce titre, j'en vois déjà certains sourire derrière leur écran, et à raison : parler de « campagnes » au sujet de Battlefront est assez présomptueux compte tenu de la pauvreté du mode en question.

Dans les faits, ces fameuses « campagnes » (une par trilogie de films) sont en réalité de simples missions conquêtes légèrement scénarisées destinées à contenter les joueurs peu adeptes des parties en ligne. Or, avec l'IA absolument déplorable des bots qui nous font face, on se retrouve bien vite à parcourir une succession d'étapes sans grand intérêt, si ce n'est de lire deux ou trois phrases contextuelles au début et à la fin de chaque partie.

Cet intérêt limité s'explique bien sûr par le jeu en lui-même, qui avant tout axé sur le multijoueur.

Star Wars, un univers vaste, propice à la créativité

En fait, ce n'est pas vraiment le mode campagne en lui-même qui va nous intéresser, mais plutôt le background qui l'accompagne. C'est ainsi l'occasion de vous parler un peu de l'ancien Univers Étendu de Star Wars, au sein duquel évoluent tous les vieux Battlefront, exception faite du titre de DICE.

« Ancien » Univers Étendu ? Gné ?

Au cas où vous ne le sauriez pas, la saga Star Wars n'est pas uniquement cinématographique. Toutes les œuvres qui ne sont pas des films, et particulièrement les jeux-vidéo, font partie de ce qu'on appelle « l'Univers Étendu », qui existe depuis 1978. Cependant, lors du rachat de la saga par la Walt Disney Company en 2012, cet Univers Étendu a été en quelque sorte « détruit » afin de laisser le champ libre aux scénaristes des futurs films et des futures productions Star Wars. Nous y reviendrons lorsqu'il s'agira d'aborder le nouveau Battlefront de DICE.

L'avantage de travailler sur une licence comme Star Wars, c'est qu'on dispose d'une myriade de possibilités pour inventer des histoires et des environnements. Si Battlefront est d'abord vendu comme l'occasion de plonger au cœur des batailles vues dans les films, ce n'est pas pour autant que les développeurs chez Pandemic se sont restreints aux cinq longs-métrages sortis jusqu'à présent, bien au contraire.

Ainsi, en plus des cartes "classiques" telles que Naboo, Géonosis, Yavin IV, Tatooine, Hoth ou Endor, les joueurs peuvent découvrir deux nouvelles planètes :

La présence des ces mondes, déjà mentionnées dans des romans ou dans d'autres jeux bien avant leur apparition dans Battlefront, prouve une chose : le jeu n'est pas qu'un bête copié-collé des films, il va au-delà.

Battlefront, bienvenue dans Star Wars
Un tank TX-130 "Sabre" dans The Clone Wars

Ce constat ne s'arrête pas simplement aux environnements : les véhicules aussi sortent tout droit de l'Univers Étendu. Ainsi, l'Alliance Rebelle possède un speeder de combat issu de Galactic Battlegrounds ; la République Galactique un TX-130 (apparu pour la première fois dans un roman junior, Boba Fett : Tirs croisés) et l'Empire un équivalent, le TX-130T, version modifiée du véhicule déjà présent dans The Clone Wars. Il en va de même pour quelques unités d'infanterie, notamment le Dark Trooper impérial, jamais vu dans les films (mais bien connu des fans de Dark Forces).

L'étrange Dark Trooper de ''Battlefront''

Les connaisseurs de Star Wars s'étonneront peut-être de constater que les Dark Troopers de Battlefront poussent des petits « aargh » quand ils sont tués, alors qu'ils sont censé être... des droïds. La justification trouvée par les responsables de la continuité de Star Wars de l'époque est la suivante : ces Dark Troopers sont en « Phase 0 ». Il s'agit en fait de prototypes humains, qui donneront par la suite naissance aux vrais Dark Troopers.

Vous avez dit "bancal" ?

Un minimum de scénario

Battlefront, bienvenue dans Star Wars
Rhen Var, une planète issue de l'Univers Étendu

LucasArts ayant présenté le jeu comme un « action multijoueur », on n'attend évidemment pas de Battlefront une campagne scénarisée digne de Jedi Outcast. Pourtant, comme Battlefield 1942 qui propose de revivre des batailles historiques avérées (Koursk, El Alamein, Omaha Beach...), les deux campagnes de Battlefront offrent au joueur la possibilité de découvrir quelques éléments contextuels étrangers aux films Star Wars.

Campagne 1 : la Guerre des Clones

Battlefront est sorti en septembre 2004, c'est-à-dire bien avant La Revanche des Sith au cinéma. Or, pour un jeu qui prétend vouloir retracer l'histoire de la saga au travers de ses batailles épiques, c'est tout de même légèrement problématique, surtout quand le film à venir est celui qui propose le plus de combat.

Fort heureusement, grâce au support de LucasArts, cette difficulté est habilement contournée : il suffit de se servir de l'Univers Étendu !

Ainsi, la campagne débute avec la bataille de Naboo (l'acte final de la Menace Fantôme) qui oppose la Fédération du Commerce aux autochtones de la verdoyante planète. Et dès la deuxième mission, l'Univers Étendu prend le relais : Battlefront invente une crise opposant cette même Fédération du Commerce à la Guilde du Commerce Wookiee – prélude des tensions qui animent la galaxie à l'aube de la création de la Confédération des Systèmes Indépendants.

CSI vs Fédération du Commerce

Cette première campagne de Battlefront a un peu plus accentué une confusion fréquente au sujet des factions dans Star Wars : celle qui consiste à mélanger Confédération des Systèmes Indépendants (CSI) et Fédération du Commerce.

La CSI est créée par le Comte Dooku dans l'''Attaque des Clones''. Il s'agit d'un mouvement sépératiste qui n'est plus d'accord avec la politique de la République. Ce mouvement regroupe un certain nombre de systèmes, mais également des sociétés commerciales, comme par exemple l'Alliance Intercorporation, le TechnoSyndicat, ou encore... la Fédération du Commerce.

La "Confédération du Commerce", ça n'existe donc pas, et c'est assez affreux à lire.

Le conflit fait ensuite un bond de quelques années dans le futur avec la bataille de Géonosis (acte final de l'Attaque des Clones) qui voit s'affronter la Grande Armée de la République et la toute nouvelle CSI. Le joueur se voit ensuite transporté sur un front issu tout droit d'un comic de 2003 : la première bataille de Kamino, bataille qui sera par la suite mentionnée dans plusieurs romans Star Wars. On poursuit avec la bataille de Rhen Var, une pure création de Pandemic, tirée de leur précédent jeu, The Clone Wars.

Enfin, la campagne s'achève sur une bataille qui fait office de véritable avant-première : la bataille de Kashyyyk, que l'on pourra admirer l'année suivante dans La Revanche des Sith.

Et comme le dit si bien Attichitcuk : Mrwwwaaaaarrr !

Campagne 2 : La Guerre Civile Galactique

Maintenant que la Guerre des Clones est terminée, il est temps de s'attaquer à la Guerre Civile Galactique, période qui correspond aux films de la Trilogie Originale. Et là, il y a encore un problème : si on s'attache uniquement à ce que l'on peut voir dans les Épisodes IV, V et VI, le constat est simple : il n'y a que deux batailles terrestres sur cette période – Hoth et Endor.

Vous en conviendrez, deux batailles, ce n'est pas terrible pour faire une campagne, si petite soit-elle. Encore un fois, Pandemic va appeler l'Univers Étendu à la rescousse.

Battlefront, bienvenue dans Star Wars
Supprimez-les tous, jusqu'au dernier !

Pas de bataille terrestre dans Un Nouvel Espoir ? Qu'à cela ne tienne, les développeurs inventent une mission où les légions de l'Empereur découvrent et exterminent une cellule rebelle sur Tatooine, ainsi que les autochtones présents sur place.

Les troupes de Dark Vador doivent ensuite fouiller la ville de Mos Eisley à la recherche de C-3PO et R2-D2, tout en liquidant les sympathisants rebelles.

Le joueur est ensuite envoyé défendre l'avant-poste impérial de Rhen Var (citadelle), une mission créée spécifiquement pour le jeu. La campagne se poursuit sur Yavin IV : on est alors en plein milieu de l’Épisode IV, et l'Empire cherche à savoir si la base des Rebelles se trouve bel et bien sur la lune de Yavin, avant d'y envoyer sa station spatiale. Il s'agit encore une fois d'un chapitre inédit dans Star Wars.

La mission suivante, cependant, est « un classique de l'Univers Etendu », référencée dans de nombreuses œuvres (par exemple Galactic Battlegrounds). Après la destruction de l’Étoile Noire, l'Empire se venge en attaquant directement la base rebelle de Yavin.

Battlefront fait alors un bon de trois ans dans le futur pour nous plonger en pleine Bataille de Hoth (l'Empire Contre-Attaque), avant de dépasser les événements du film et inventer un assaut rebelle destiné à libérer la cité des Nuages du joug impérial. Enfin, la campagne s'achève sur la retentissante victoire rebelle sur Endor, point final du Retour du Jedi.

Et au moins une antenne radio.

La réussite de Battlefront : lier la saga à l'univers

Indépendamment de ses modes de jeu et de son gameplay, la réussite du premier Battlefront s'explique en partie parce que le jeu réussit à plonger un grand nombre de joueurs dans Star Wars et son gargantuesque Univers Étendu. Le mode campagne en est l'exemple parfait : sur 16 missions, 6 seulement sont visibles dans les films : les 10 restantes sont soit des références à l'Univers Étendu (pour 3 d'entre-elles), soit des créations pures et simple (les 7 restantes). A cela s'ajoute de nombreux clins d'oeils à la saga, comme la présence du Sarlacc sur Tatooine ou les corridors sombres de la Cité des Nuages, ainsi, bien sûr, que la dimension sonore d'excellente facture, qui combine les bruitages si caractéristiques du space-opéra de Lucas avec la musique magistrale de John Williams.

Inspecteur Jaquette, ep.1

Battlefront, bienvenue dans Star Wars
En 2004, la dématérialisation n'est pas aussi répandue qu'aujourd'hui – les jaquettes font encore partie intégrante de la stratégie de vente.

Si on s'arrête un instant sur celle de Battlefront, on peut être surpris par l'absence quasi-totale de référence à la nouvelle trilogie. A part deux soldats clones à l'arrière de la boite (dont un en tout petit), la jaquette n'a d'yeux que pour la Rébellion et l'Empire.

Pourquoi donc ne pas communiquer sur la Guerre des Clones alors qu'en 2004, on est en plein dedans ? La réponse est simple : le jour de sortie de Battlefront est aussi le jour de sortie du coffret 4 DVD de la Trilogie originale... Comme quoi, avec Star Wars, rien n'est dû au hasard.

Une nouvelle licence vient de naître

Battlefront, bienvenue dans Star Wars

L'efficacité de son gameplay et à la puissance du médium Star Wars font naturellement de Battlefront un succès considérable. Il ne faudra dès-lors pas longtemps pour voir apparaître sa suite, qui va définitivement faire passer la licence au panthéon Star Warsien : Star Wars Battlefront II.

Crédits images
  • Star Wars Épisode I : La Menace Fantôme – Lucasfilm Ltd., 1999
  • Star Wars Republic #50, couverture par Patrick Blaine et Matt Banning – Dark Horse Comics, 2003
  • Star Wars Épisode VI : Le Retour du Jedi – Lucasfilm Ltd., 1983
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Commentaires
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jaksparrowhll jaksparrowhll
MP
Niveau 8
le 22 oct. 2015 à 16:02

J'adorais le goulot d'étranglement de Bespin, justement :D Y avait de la tension, il fallait tenir une position difficile, y avait de l'enjeu. Et en plus on pouvait tuer des Jedi. Bon après, le mieux restait d'y jouer à plusieurs, soit dans le même camp et dans ce cas là, on a un bon jeu de scoring (vue l'IA), soit dans les camps opposés et là y avait de quoi bien s'éclater (littéralement, à coups de grenades)

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Sommaire Dossier
    • La genèse de Battlefront : de débuter, vient juste la Guerre des Clones
    • Battlefront, bienvenue dans Star Wars
    • Battlefront II : l'émancipation
    • Renegade Squadron : l'exclusivité PSP oubliée
    • Les jeux mobiles
    • Battlefront III : l'Arlésienne
    • Elite Squadron : le spectre de Battlefront III
    • Battlefront Online et First Assault, fausses couches
    • La remise à plat de l'univers Star Wars et la nouvelle licence Battlefront
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