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Page Dossier Guide PC Portable Gamer : Test du modèle Asus ROG Zephyrus (GX501)
Guide PC Portable Gamer : Test du modèle Asus ROG Zephyrus (GX501)

Spécifications

CPU : i7 7700HQ (2,8-3,8GHz) / GPU : GTX 1080 Max-Q 8 Go / Mémoire vive : 24 Go DDR4 2400 MHz / Chipset : Intel HM175 / Stockage : 1 x M.2 PCIe / Dalle : IPS 120Hz G-Sync / Technologie clavier : Chiclet / Rétroéclairage clavier : Oui, RGB 3 zones / Entrées / sorties' : USB 3.1 (Type-C) x1, USB 3.0 (Type-A) x4, HDMI 2.0, Combo jack audio, DC-in Jack / Communication : Intel LAN + Wireless 802.11 ac, Bluetooth V4.1 / Capacité batterie : 50 Wh / Poids : 2,25kg / Dimensions : 380x260x18 mm

Intégrer la puissance d’une GTX 1080 au sein d’un portable gaming de moins de 2 cm d’épaisseur… Jusqu’à il y a quelques mois, la chose paraissait difficile à concevoir, à moins d’apprécier de jouer dans un environnement sonore hautement agressif. Pourtant, l’Asus ROG Zephyrus, équipé de la technologie Max-Q, vient de nous prouver qu’il n’est plus nécessaire de choisir entre puissance et bruit… À condition d’y mettre le prix.

Jusqu’à présent, si vous souhaitiez acquérir un PC portable 15 ou 17 pouces, il vous fallait nécessairement faire un choix, au-delà des contraintes budgétaires : soit vous privilégiez la puissance, typiquement pour faire tourner les jeux les plus exigeants du marché, et il vous fallait alors faire avec un design relativement massif. Soit vous favorisiez l’aspect mobilité, et vous vous tourniez vers des modèles certes plus fins, mais à la capacité de calcul beaucoup plus mesurée. La promesse de vous offrir le meilleur de ces deux mondes est bien entendu revenue à de nombreuses reprises chez les différents constructeurs spécialisés, mais soyons francs : elle n’a jamais réussi à se concrétiser à travers un compromis technique idéal. Acceptable serait plutôt le terme que nous utiliserions, sachant que de notre expérience, il concerne plutôt une minorité de produits qu’une majorité.

Guide PC Portable Gamer : Test du modèle Asus ROG Zephyrus (GX501)

Aussi lorsque NVIDIA a annoncé l’arrivée de nouveaux modèles estampillés Max-Q il y a quelques mois, des modèles censés apporter enfin une réponse à cette problématique que nous venons d’énoncer, nous étions pour le moins sceptique. Qu’à cela ne tienne… Sûre d’elle, la marque nous a fait parvenir l’un de ses portables Max-Q 15’’ les plus emblématiques, l’Asus ROG Zephyrus, afin que nous le mettions à l’épreuve. Mais avant de vous dévoiler nos impressions, peut-être serait-il bon de refaire un point sur ce qui se cache exactement derrière le terme Max-Q (vous pouvez aussi passer les deux prochains paragraphes et aller à l’essentiel, on ne vous en voudra pas trop).

Guide PC Portable Gamer : Test du modèle Asus ROG Zephyrus (GX501)

Petit retour en arrière : depuis quelque temps déjà, NVIDIA a fait le choix d’unifier ses gammes de GPU desktop et mobile, avec à la clé un double avantage : apporter aux utilisateurs des deux plateformes les mêmes performances en jeu. Et permettre au constructeur de faire de substantielles économies sur le plan industriel, puisqu’il n’avait plus besoin de développer ou de produire des puces dédiées pour chaque usage. Malheureusement, cette transition ne s’est pas tout à fait déroulée sans heurt, pour la simple et bonne raison qu’un bon GPU ne peut être bon que s’il est accompagné d’un système de refroidissement adéquat. Or, d’une part, cet aspect n’est pas maitrisé de la même manière par tous les fabricants de PC portables, et d’autre part, cette montée en gamme des GPU mobile est intervenue en même temps qu’une volonté de ces mêmes fabricants de proposer des designs plus fins et plus légers à leurs clients joueurs. Conséquence logique : depuis l’arrivée des GPU série 10 sur portable, les nuisances sonores et les problèmes de throttling (baisse de la fréquence de fonctionnement du GPU imposée par les limites d’un système de refroidissement sous-dimensionné) se sont multipliés. Et cette situation a bien entendu légèrement agacé NVIDIA, qui comme Hannibal Smith, préfère les plans qui se déroulent sans accroc. Aussi le fabricant a travaillé sur une solution baptisée Max-Q, que l’on peut voir autant comme une volonté de résoudre un problème global, que comme celle de recadrer les choses quant aux conditions d’intégration de ses GPU.

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Voilà pour la petite histoire, mais qu’est-ce que le macaron Max-Q va impliquer sur les portables qui vont l’arborer ? Tout simplement la garantie d’une solution globale qui aura été pensée pour intégrer au mieux un GPU puissant dans un environnement confiné comme celui d’un châssis ultra fin, le but étant d’offrir les meilleures performances pour le minimum de nuisances environnementales. Et on utilise le terme « global » parce que NVIDIA va s’appuyer sur plusieurs leviers techniques pour parvenir à ses fins : par exemple, d’un point de vue fabrication, une puce GTX 1080 Max-Q sera identique à une puce GTX 1080 desktop. Toutefois, ses variables de fonctionnement (fréquences) auront été revues de manière à privilégier une efficacité énergétique maximale, plutôt que des performances maximales (la nuance est subtile, mais elle n’est pas anodine). Dans le même ordre d’idée, Max-Q s’appuie sur un design optimisé du système de refroidissement et du système d’alimentation associés, afin d’améliorer l’efficacité du premier, et le rendement du second. Enfin, Max-Q implique également des éléments de gestion logicielle, intégrés à GeForce Experience, mais sur lesquels nous ne nous étendrons pas, puisque ces outils n’étaient pas encore disponibles à l’heure de notre test.

Guide PC Portable Gamer : Test du modèle Asus ROG Zephyrus (GX501)Guide PC Portable Gamer : Test du modèle Asus ROG Zephyrus (GX501)

Tout cela est évidemment bien joli sur le papier, mais une fois encore, c’est un discours que l’on a souvent entendu, le fameux « Ze best cooling system ever »… Oui, sauf que cette fois, ça marche ! Et pourtant, l’Asus ROG Zephyrus (nom de code : GX501) a mis la barre assez haute en matière de contrainte. Une fois complètement fermé, l’appareil fait à peine 17 mm d’épaisseur, pour 38 cm de large et 26 cm de profondeur, un volume restreint qui accueille une configuration bien musclée : i7-7700HQ côté processeur, GTX 1080 Max-Q côté circuit graphique, et 24 Go de mémoire DDR4 2400 MHz. Et malgré tout cela, le niveau de nuisance sonore dégagé par l’ensemble reste étonnamment bas : en travail bureautique, l’appareil émettra un souffle léger, et peu perceptible au final. Et lorsqu’il est fortement sollicité, sous The Witcher 3 ou sous The Division, l’Asus ROG Zephyrus dégagera entre 46 et 47 dBA… Pour vous donner des éléments de comparaison, c’est équivalent à ce que l’on mesurait sur le GS73 de MSI, qui n’embarquait qu’une GTX 1060. C’est inférieur aux résultats que nous avions obtenus sur le Predator 17X (50 dBA), équipé de la même puce mais nettement plus massif. Et c’est infiniment mieux que les prestations du Razer Blade Pro, qui culmine à 58 dBA en charge. En résumé, le Zephyrus ne sera pas silencieux (il faudrait pour cela qu’il soit en gros en dessous des 42 dBA en charge) mais les nuisances qu’ils produira seront particulièrement contenues, surtout au regard de la puissance graphique déployée. Un constat que l’on peut étendre aux températures de fonctionnement, avec un GPU qui ne dépasse pas les 82°C, et un châssis qui présente un point chaud à 51°C, mais dont la base oscillera entre 35 et 45°C. Dans ce tableau, seul le CPU fait office de mauvais élève, avec une température qui monte régulièrement à 95°C.

Guide PC Portable Gamer : Test du modèle Asus ROG Zephyrus (GX501)
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Comment Asus et NVIDIA ont-ils réussi cet exploit ? En repensant le système de refroidissement, par exemple. Ce dernier prend ainsi une place considérable, ce qui n’est d’ailleurs pas sans conséquence sur le positionnement du clavier (mais nous y reviendrons). On notera également qu’Asus a mis en œuvre une astuce technique plutôt bien pensée : lorsque l’écran du Zephyrus se déploie, la partie inférieure du châssis s’entrouvre également sur l’arrière, afin de proposer une plus large zone d’aération. Les autres leviers utilisés pour gérer les dégagements de chaleur concernent le GPU : si la puce graphique intégrée est bien de type GTX 1080, elle fonctionnera à des fréquences moindres que les modèles non Max-Q. Par ailleurs, la fonctionnalité GPU Boost qui adapte en temps réel la fréquence du GPU en fonction de la charge se voudra plus sensible qu’auparavant : nous estimons sa plage de fonctionnement sur 200 MHz environ, contre 50 à 100 MHz auparavant. Des éléments qui permettent de mieux maitriser les nuisances sonores, mais qui influeront évidemment sur les performances : la GTX 1080 MaxQ du Zephyrus offre ainsi des valeurs de framerate en jeux qui se situent entre une GTX 1070 et une GTX 1080 (lorsqu’elles sont intégrées dans des PC portables).

Vous l’aurez compris, sur la question de la gestion des composants et de leurs performances, le Zephyrus tabasse, et se place sans conteste comme le meilleur compromis actuellement disponible sur le marché. Un compromis qui ne fait cependant pas tout, un PC portable de qualité se devant aussi d’assurer un bon affichage et une bonne ergonomie générale. Et ça tombe bien : le Zephyrus ne démérite pas non plus sur ces aspects. Pour commencer, sa dalle de 15,6 pouces affiche des caractéristiques aussi complètes que prestigieuses : au programme, technologie IPS, finition mate, compatibilité G-Sync, et fréquence de rafraîchissement maximale de 120 Hz. Difficile de faire mieux, sachant que le rendu des couleurs est en prime équilibré, et s’accompagne de bonnes valeurs de contraste et de luminosité max : 353 cd/m2 et 912 :1. Derrière l’affichage, la partie stockage sera tout aussi performante : l’utilisateur pourra compter sur un SSD M.2 sur lien PCIe synonyme de temps de chargement minimum, que l’on parle d’un jeu ou de toute autre application Windows. Par contre, il faut souligner que contraintes d’encombrement et d’intégration obligent, ce sera la seule unité de stockage disponible (1 To en ce qui concerne notre exemplaire de test) et la remplacer s’annonce hautement périlleux. Il faudra être outillé (plusieurs formes de vis), patient, et adroit, le Zephyrus n’étant clairement pas pensé pour être facilement démontable.

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Continuons avec l’interface de saisie, où Asus affiche cette fois quelques points plus litigieux : les positionnements du clavier et du touchpad apparaitront ainsi comme assez atypiques. Le premier est très en avant de l’appareil, tandis que le second est complètement à droite. L’utilisateur n’aura donc pas d’espace pour reposer ses paumes, de même que les gauchers trouveront l’emplacement du touchpad peu à leur goût. Cependant, il faut noter que le touchpad reste agréable au toucher et à l’emploi, avec la présence de deux vrais boutons, et qu’il disposera d’une double fonction bien utile : sur simple pression d’un raccourci, il pourra se transformer en pavé numérique. D’autre part, le clavier offrira un retour sec et précis, caractéristique des systèmes chiclet, et proposera de nombreux accès directs aux différentes fonctionnalités du PC : mode avion, intensité du rétroéclairage, gestion de l’affichage, ou du volume sonore, et on en oublie… Et comme Asus a anticipé que le positionnement des touches pourrait choquer, le fabricant fournit un repose-poignets avec sa machine. L’idée peut paraitre étrange de prime abord, mais cela améliore le confort de frappe, et l’accessoire reste suffisamment peu encombrant pour accompagner le PC dans un sac.

Guide PC Portable Gamer : Test du modèle Asus ROG Zephyrus (GX501)Guide PC Portable Gamer : Test du modèle Asus ROG Zephyrus (GX501)

Enfin, il suffit d’observer les contours du Zephyrus pour réaliser que la marque taiwanaise n’a pas non plus lésiné sur la connectique ou la qualité de fabrication. On a clairement à faire un produit de grande classe, que ce soit du côté des finitions ou des matériaux utilisés (le châssis en aluminium brossé est du plus bel effet, même s’il gardera régulièrement les traces de doigts). Et chaque tranche accueillera ce qu’il faut de ports USB 3.0 et 3.1 type C (avec support Thunderbolt 3), de connecteurs audio ou vidéo. On notera l’absence de lecteur de cartes SD, ou de port RJ45, mais un adaptateur USB est fourni pour remplacer ce dernier. Un geste que Razer n’avait pas daigné faire sur son Razer Blade.

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Vous l’aurez compris, le Zephyrus nous a séduits sur bien des points, et représente actuellement et à nos yeux l’une des plus belles machines portables dédiées aux joueurs. Attention toutefois : cela ne signifie qu’elle est sans défaut. Outre la capacité de stockage un peu limitée, l’autonomie ne sera pas à la fête : à peine 1H40 en mode bureautique (connectivité sans fil allumé), et un peu plus de 2H en lecture vidéo. C’est peu, mais cela s’explique par l’absence d’une gestion Optimus (incompatible avec le support de G-Sync) et par la finesse du produit, qui oblige à une batterie de taille réduite. L’autre point noir à notre sens sera à décerner au support logiciel : bien que complet sur le papier, avec une suite pour la gestion des composants, une pour la partie audio, et une pour… disons pour un peu tout le reste, elle s’avèrera peu ergonomique et parfois buggée. Deux exemples : le système ROG Gaming Center laisse imaginer que l’on puisse personnaliser les profils de fonctionnement du couple CPU / GPU, mais il n’en est rien, les boutons de profils ne menant à aucun changement. Et côté audio, le système Sonic Radar, qui ajoute à vos jeux un overlay sous forme de radar, et qui analyse les sons produits par le moteur audio et indique la provenance des explosions ou des tirs n’est vraiment pas intuitif dans sa mise en œuvre.

Quoi qu’il en soit, redisons-le : l’Asus ROG Zephyrus est une belle démonstration technique de ce qu'un système Max-Q est capable d’offrir, et une très belle machine dans l’absolue, même si pour le moment, son prix (3200€ minimum) la réserve à une clientèle particulièrement bourgeoise. Reste à espérer que des déclinaisons moins onéreuses, à base de GTX 1070 feront leur apparition bientôt.

Points forts

  • Design très réussi : fin, élégant, et facile à transporter
  • Dalle IPS 120 Hz G-Sync... What else ?
  • De la puissance à revendre
  • Une parfaite maitrise du refroidissement et des nuisances sonores
  • L'idée du châssis qui s'ouvre pour plus d'aération : efficace et génial

Points faibles

  • Positionnement clavier et touchpad atypique
  • Pas de lecteur de cartes SD
  • Faible autonomie
  • Support logiciel largement perfectible
  • Un seul emplacement de stockage, non accessible qui plus est
  • 3200€ quand même
Commentaires
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Icedarkos Icedarkos
MP
Niveau 10
le 29 juil. 2017 à 18:35

Ok mais est ce que paint marche sans laguer dessus ou pas?

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