C'est bien connu, les joueurs n'ont pas de copin(e), pas d'amis, n'ont aucune forme d’interaction avec le vrai monde et fondent même au soleil.
Ce point précis est bien évidemment lié dans l'imaginaire collectif aux soucis d'addiction évoqués précédemment. Sauf qu'on a vu qu'un pourcentage très faible de joueurs étaient concernés par ce genre de soucis. De toute façon, 80% de la population est joueuse, et ça se saurait si 80% des Français restaient cloîtrés chez eux 24h sur 24h. Même les joueurs les plus actifs sont loin d'être repliés sur eux-mêmes, puisque les jeux les plus addictifs aujourd'hui sont ceux qui ont des dimensions multijoueurs et qui par conséquent favorisent les échanges sociaux. De nombreux joueurs arrivent ainsi à se faire des amis en ligne avant de les rencontrer en vrai. Avouez qu'on est quand même loin des clichés ?