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Preview Army of Two : The Devil's Cartel
Profil de Rupan,  Jeuxvideo.com
Rupan - Journaliste jeuxvideo.com

En parallèle de Dead Space, leur série phare, Visceral Games s'est vu confier par Electronic Arts le développement du troisième Army of Two, sous-titré «Le Cartel du Diable». Malgré la prestigieuse renommée de ses concepteurs, ce nouvel épisode n'affiche pas de prétentions démesurées. Le discours du studio californien autour du projet s'avère même plutôt détendu. Avec ce jeu, pas de prise de tête. Le but est uniquement de proposer une expérience coopérative fun et une bonne grosse dose d'action. Le tout, en essayant tout de même de profiter du moteur Frostbite 2 et de corriger dans le même temps les quelques défauts du précédent volet.

Army of Two : The Devil's Cartel
Army of Two : The Devil's Cartel

Depuis début 2008 et l'arrivée du tout premier Army of Two, le marché a bien changé. Si à l'époque, la franchise d'Electronic Arts n'était déjà pas la seule à miser sur un aspect coopératif développé, aujourd'hui, le nombre de FPS ou de TPS offrant la possibilité à plusieurs joueurs de collaborer a carrément explosé. Difficile donc de présenter le jeu en utilisant une myriade de superlatifs, en parlant de révolution et en promettant la lune. EA aurait bien sûr pu communiquer de la sorte mais la concurrence a déjà placé la barre très haut et la chute n'en aurait donc été que plus sévère en cas de déception. Et déception il y aurait eu car «Le Cartel du Diable» est loin de pouvoir prétendre au statut de grand jeu coopératif. Du coup, il règne une certaine décontraction agréable autour du projet. Choisi pour prendre la relève d'EA Montréal, Visceral Games sait pertinemment que son titre ne constituera pas une priorité pour de nombreux joueurs. Le discours est donc clair. L'unique objectif est d'offrir une expérience aussi fun que possible, jouable de préférence à deux.

Army of Two : The Devil's Cartel
Un nouveau duo masqué composé d'Alpha et Bravo.
Histoire de rompre une hypothétique monotonie qui aurait pu s'installer, le développeur californien a choisi d'apporter quelques changements à la formule du précédent volet. Rios et Salem, les principaux protagonistes des premiers épisodes, cèdent ainsi leur place à un nouveau duo masqué composé d'Alpha et Bravo. Sur le fond, cela n'a pas un énorme impact sur le jeu. La série Army of Two n'est pas réputée pour mettre l'accent sur l'écriture des personnages. Et ce n'est toujours pas le cas dans «Le Cartel du Diable». Ce changement marque avant tout une volonté nette d'atténuer le côté kitsch qui se dégageait des autres épisodes. Terminés les «high five» en pleine action. Chez Visceral Games, on trouvait a priori cela ringard. Pour autant, le jeu ne se prend pas au sérieux. Il affiche toujours un ton léger, humoristique. L'ensemble est juste moins lourd. Côté scénario, comme l'indique le nom de ce troisième volet, les héros livrent bataille contre une organisation criminelle sévissant en Amérique Centrale. Le fameux Cartel. Le jeu prend principalement place au Mexique même si on nous promet des excursions un peu plus au sud, dans d'autres pays où les trafics de drogue sont légions.

Army of Two : The Devil's Cartel
Ce nouvel épisode n'affiche pas de prétentions démesurées.
En bon jeu d'action, ce troisième Army of Two devrait se montrer très rythmé. Le focus est mis sur la variété des situations. Pour éviter tout sentiment de redondance, les développeurs cherchent ainsi à séparer le duo, à le mettre en difficulté. Par exemple, il existe une séquence où l'un des joueurs doit canarder les ennemis à bord d'un hélico alors que son équipier doit l'aider en étant lui au sol. Le passage que nous avons pu jouer était d'ailleurs assez symptomatique de cette volonté de briser tout confort. Dès le départ de la mission, l'un des deux joueurs se retrouvent au sol, paralysé par une blessure, en plein centre d'une place à ciel ouvert. Pendant que ce dernier rampe lentement pour se mettre à couvert, son équipier doit essayer de le sauver en se frayant un chemin à travers les vagues d'ennemis. Une fois tout le monde sur pied, la grande entreprise de nettoyage de la zone peut commencer. La séquence suivante voyait s'affronter les deux personnages et un hélicoptère. Cette fois, il fallait à la fois éliminer les hommes au sol et shooter autant que possible l'engin volant. Toutefois, celui-ci ne pouvait être abattu qu'en mode Overkill.

Army of Two : The Devil's Cartel
Le but est de proposer une expérience coopérative fun et une bonne dose d'action.
Overkill ? Il s'agit tout simplement d'une sorte de mode furie dont les joueurs bénéficient simultanément et qui se déclenche manuellement une fois que l'un d'un deux protagonistes a atteint un certain nombre de points. Ces derniers s'obtiennent en réalisant diverses actions comme un headshot. Ce qu'il est important de noter, c'est que la récompense est plus importante si les joueurs coopèrent pour venir à bout de leurs opposants. Faire diversion, permettre à son équipier de prendre des ennemis à revers rapporte beaucoup plus de points qu'un simple kill. Or, outre un gain notoire de puissance et la possibilité de tirer à l'infini sans recharger, l'Overkill permet surtout de multiplier de manière importante ses gains. Et l'argent du jeu sert à débloquer de nouvelles armes et de nombreux éléments de personnalisation. Conclusion, plus on coopère, plus vite on progresse. Sur le fond, à l'exception de certains passages scénarisés, rien ne vous oblige cependant à vous entraider. Cependant, il faut aussi reconnaître qu'Alpha et Bravo ne sont pas les personnages les plus agiles de l'histoire du jeu vidéo. Il existe une certaine lourdeur dans leur déplacement. Impossible donc de faire les fanfarons, de courir à toute vitesse dans tous les sens. Il faut au moins utiliser le système de couverture à bon escient. Sans quoi, vous passerez votre temps à attendre que votre équipier vous soigne. Difficile pour le moment de vous dire si l'IA vous donnera du fil à retordre. Sur notre démo, le challenge n'était pas très représentatif de ce vous aurez au final puisque la difficulté était réglée sur facile.

Army of Two : The Devil's Cartel
Le jeu prend principalement place au Mexique.
Ce TPS bénéficie par ailleurs de l'apport du Frostbite 2. On le sait, le moteur créé par DICE est exploité par la quasi intégralité des jeux édités par Electronic Arts. Et pas forcément toujours de la meilleure des manières. Cependant, il faut admettre que le constat est différent pour Army of Two. Visceral Games s'en sort plus que bien à ce niveau. Ainsi, les décors sont réellement destructibles. Ce qui joue énormément dans le rythme du jeu. On ne peut jamais rester trop longtemps planqué. Il faut bouger sans cesse. Textures relativement fines, jeux de lumière convaincants, fluidité totale, techniquement, le jeu se montre plutôt réussi. La direction artistique donne quant à elle toujours dans le fade. Mais ce n'est pas une surprise. Par ailleurs, on a pu constater de nos propres yeux qu'Army of Two, malgré son ton humoristique, ne doit pas être placé entre toutes les mains. Visceral Games a ainsi choisi de jouer la carte de la violence décomplexée. Le joueur peut ainsi démembrer entièrement les ennemis. Tête, bras et jambes volent ainsi de concert à travers l'écran. Cela colle toutefois complètement avec le côté bourrin de ce titre prévu pour mars prochain. Terminons avec un mot sur le contenu du jeu. L'aventure pourra être parcourue en intégralité par deux joueurs en mode split screen ou en ligne. Par ailleurs, un mode de jeu offrant de courts challenges sur des portions réduites des niveaux de la campagne principale sera également proposé. En revanche, il n'y aura pas de multi compétitif.

Nos impressions

En jouant à Army of Two : Le Cartel du Diable, on ne s'attendait pas à découvrir un titre majeur. Confirmation, ce n'en est pas un. Derrière le discours détendu de Visceral Games se cache toutefois un jeu conçu avec soin, profitant de l'excellent moteur Frostbite 2. Dénué de toute ambition scénaristique et artistique, ce troisième épisode procure dès les premières minutes un plaisir brut, immédiat. Le studio américain sait comment flatter nos plus bas instincts et il le démontre. Bourrin à souhait, particulièrement sanglant, «Le Cartel du Diable» s'annonce comme un bon gros défouloir bien gras totalement assumé.

L'avis de la rédaction
Bon
PS3 Electronic Arts Action Multi en ligne Multi en coopératif
Commentaires
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[williBOSS13] [williBOSS13]
MP
Niveau 5
le 10 nov. 2012 à 21:53

sympa ce jeu :fete:

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