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Preview Call of Juarez : The Cartel
Profil de Rupan,  Jeuxvideo.com
Rupan - Journaliste jeuxvideo.com

C'est une certitude, Call of Juarez ne fait pas partie des séries majeures du catalogue d'Ubisoft. Et ce, en dépit du fait qu'elle appartient à un genre très prisé de nos jours : le FPS. Néanmoins, les deux premiers épisodes développés par les Polonais de Techland avaient eu le mérite de se démarquer de la concurrence en proposant notamment une ambiance western rafraîchissante avec une histoire ancrée en plein XIXe siècle. Un contexte que les développeurs ont choisi d'abandonner avec le troisième Call of Juarez, sous-titré The Cartel, le scénario du jeu prenant place cette fois dans un cadre contemporain.

Call of Juarez : The Cartel
Call of Juarez : The Cartel

Terminé le charme aride des Call of Juarez version western. Avec The Cartel, le troisième épisode de la série, Techland a décidé de tourner une page en plaçant le joueur au centre d'une histoire se déroulant à notre époque. Red Dead Redemption avait pourtant prouvé récemment que le public ne nourrissait aucune réticence à l'idée de se lancer dans des chevauchées endiablées au cœur des étendues désertiques du Grand Ouest américain du XIXe siècle. Entre les deux premiers Call of Juarez, on avait en prime noté une certaine progression qui nous laissait à penser que le studio polonais possédait la capacité de concevoir une aventure cohérente et immersive dans ce contexte singulier. Mais au final, Techland en a décidé autrement avec ce saut dans le temps qui s'accompagne en plus de changements majeurs au niveau des mécaniques de jeu.

Call of Juarez : The Cartel
Le jeu se déroule entre Los Angeles et Juarez à notre époque.
L'aventure a ainsi été conçue pour être parcourue à trois, en coopération et il ne sera d'ailleurs pas possible de faire autrement. Au passage, aucun mode split-screen n'est prévu. Evidemment, si le jeu ne prend toute sa dimension qu'avec deux amis, il sera aussi possible d'être accompagné de bots. En toute logique, The Cartel dispose de trois personnages principaux possédant chacun un background distinct écrit, nous a-t-on dit, avec soin. Tous œuvrent du côté des flics au sein de branches différentes. Ben McCall, descendant de Ray, l'un des héros des précédents volets, est un vétéran de la fameuse LAPD, la police de Los Angeles. Une maturité qui ne l'empêche pas de dépasser régulièrement le cadre de la loi pour parvenir à ses fins. De son côté, le trentenaire Eddie Guerra fait partie de la DEA (Drug Enforcement Administration), un service qui a pour vocation de lutter contre les trafics de drogue. Conditionné par une enfance difficile au cœur des quartiers malfamés de LA, lui non plus ne lésine pas sur les moyens pour arrêter ses cibles, quitte souvent à outrepasser ses fonctions. Quant à la plus jeune du groupe, Kim Evans, elle n'est pas en reste. Si elle sert aujourd'hui le FBI avec un talent certain, son passé au sein d'un gang et la mort de ses deux frères aînés ont plus qu'endurci sa personnalité. Une joyeuse troupe qui va être amenée à faire équipe donc, pour mettre à mal un cartel mexicain particulièrement virulent. Une quête qui va les faire voyager de Los Angeles à Juarez, au Mexique, une ville souvent considérée comme l'une des plus dangereuses du monde.

Call of Juarez : The Cartel
Chaque personnage doit remplir des objectifs personnels en plus de lutter contre le cartel.
The Cartel se veut donc orienté coopération. Inutile du coup d'essayer de foncer tête baissée dans la mêlée, il faudra impérativement compter sur l'aide de ses équipiers pour s'en sortir. A ce propos, nous n'avons essayé le jeu qu'avec des alliés humains. Nous sommes donc dans l'incapacité de vous dire si les bots seront suffisamment réactifs pour vous donner un coup de main. Ce qui est rassurant en revanche, c'est que l'IA des ennemis semble convenable puisque ces derniers ont tendance à être assez précis dans leurs tirs. On regrette juste pour le moment quelques égarement durant lesquels les trafiquants quittent imprudemment leur planque pour essayer de vous débusquer. Sur les deux missions essayées, la progression semblait très linéaire. On ne s'attendait pas à un monde ouvert, bien sûr, mais aucun écart n'est permis. En même temps, à trois, cela aurait pu vite tourner au grand n'importe quoi. Pour continuer à avancer, il suffisait donc le plus souvent d'avancer jusqu'à un point précis sur la map pour déclencher le script suivant. Classique. Un système qui permet à Call of Juarez d'offrir son lot de scènes spectaculaires. On sait déjà qu'il y aura des fusillades en pagaille dans des endroits variés (Night Club, Parc, Port...), quelques empoignades musclées au ralenti façon Call of Duty et des courses-poursuites en voitures. On espère maintenant que le rythme restera haletant du début jusqu'à la fin.

Call of Juarez : The Cartel
En multi, on joue du côté de la police ou des mafieux. Un grand classique.
Si l'ensemble apparaît assez classique puisque l'on s'est finalement contenté de shooter les ennemis tout en essayant de relever les équipiers sur le point de mourir, quelques bonnes idées sont tout de même venues pimenter l'expérience. On pense essentiellement aux objectifs secondaires à caractère illégal que chaque joueur se doit de remplir à l'insu de ses équipiers. Des missions alternatives qui permettent d'en apprendre plus sur le background des personnages. Eddie Guerra est par exemple un joueur pathologique qui a accumulé les dettes au fur et à mesure des années. De l'argent que ses créanciers comptent bien récupérer. Le flic de la DEA devra donc se plier aux exigences de ceux qui le manipulent dans l'ombre. Via des appels téléphoniques ou des SMS, il se verra ainsi attribuer des objectifs secrets, comme voler de la drogue par exemple, pour rattraper ses errances passées. Des ordres dont vous seul aurez connaissance, sauf dans le cas précis ou d'autres joueurs viendraient à entendre ce qui se dit au téléphone en s'approchant suffisamment près de vous. Se cacher devient donc crucial car vous ne devez en aucun cas être vu en train de voler les stupéfiants, matérialisés en jeu par des paquets disséminés un peu partout sur votre chemin. La mini-map devient du coup une alliée particulièrement importante dans votre quête de furtivité. Une mécanique (appels téléphoniques, SMS et vol en toute discrétion) qui est exactement la même pour Kim et Ben ayant tous deux des comptes à régler liés à chaque fois à leur passé. Une belle brochette de ripoux en somme.

Call of Juarez : The Cartel
Et la lutte est sans pitié !
Du coup, ce petit jeu de cache-cache donne souvent lieu à des scènes cocasses au cours desquelles les joueurs se battent contre un ennemi commun tout en essayant de voler ou de surprendre leurs équipiers en train de le faire. Un principe que les développeurs ont baptisé "co-opétition" pour nommer le mélange entre coopération et compétition. Evidemment, on ne fera pas tout cela pour la beauté du geste. Parvenir à remplir les objectifs fixés ou prendre ses équipiers en flagrant délit permet de gagner des points. Ces derniers donnent tout simplement accès à de meilleures armes au début de chaque niveau. On nous a promis que l'arsenal serait dense. De notre côté, on a dû se contenter de guns basiques, d'automatiques, de fusils de précision et de grenades. L'occasion, déjà, de remarquer le manque global de sensations une fois la détente pressée. Le score influe aussi sur la scénario puisque quatre fins différentes seront disponibles en fonction de vos agissements. Cette compétition, les joueurs vont également se la livrer à travers des challenges apparaîssant aléatoirement au milieu d'un niveau. Il sera par exemple demandé aux protagonistes de faire trois headshots ou encore de tuer un certain nombre d'ennemis au couteau, le tout, dans un temps imparti. Là encore, le premier qui satisfait aux exigences du jeu remporte ces fameux points. Toutefois, on ne vous demandera pas non plus d'être en perpétuelle concurrence avec vos équipiers. Tout est une histoire de dosage. Le jeu vous encourage aussi à coopérer. Ainsi, lorsque deux personnages restent à proximité, l'un d'entre eux pourra faire passer le jeu en mode ralenti dans le but d'éliminer plus facilement les adversaires.

Call of Juarez : The Cartel
"Passe devant si tu es un homme."
En plus de sa campagne coop, Call of Juarez : The Cartel proposera également deux modes multi pouvant accueillir jusqu'à 12 joueurs. On aura droit à du Team Deathmatch d'un côté et à un mode Objectif de l'autre. C'est ce dernier que nous avons pu essayer. Il mettra systématiquement aux prises les flics et les trafiquants. En fonction du camp pour lequel vous aurez opté, vous serez à tour de rôle attaquant ou défenseur. L'équipe gagnante est celle qui parvient à accomplir deux objectifs sur les trois proposés successivement lors de chaque partie. Dans notre cas de figure, il a par exemple fallu empêcher les trafiquants de s'emparer d'une cargaison de drogue. Puis, dans un second temps, nous avons dû faire sauter une sorte de citerne à un autre endroit de la map avant de poser un engin explosif pour faire sauter le repaire de nos ennemis. A noter que la suite de missions peut varier en fonction du vainqueur de chaque étape. En gros, si les flics l'emportent lors du premier match, le deuxième objectif ne sera pas le même que si la victoire revient aux mafieux. Il existe en tout huit scénarios différents, de quoi s'amuser. Car si l'action se résume à un dispositif attaque/défense tout bête, le plaisir de jeu est bien présent. Pas de quoi s'extasier non plus mais le mode apparaît très efficace. Sur les différentes rencontres disputées, le petit bémol à émettre concernait l'utilisation des grenades flash. Si par malheur, ces dernières venaient à exploser sous vos yeux, l'écran devenait immédiatement d'un blanc opaque ne laissant filtrer aucun brin de lumière. Et ce, pendant près de dix secondes. Un laps de temps plus que long qui conduisait à coup sûr à la mort. Côté contenu, le multi comptera en tout quatre grands environnements desquels seront tirées une vingtaine de cartes servant pour les différents modes. En fonction des performances, il sera aussi possible de débloquer de nombreux éléments comme des armes et de l'équipement. Enfin, la personnalisation de l'apparence de son avatar se limitera à un choix de skins prédéfinies. A priori, 44 looks seront disponibles soit 22 pour chaque camp.

Nos impressions

Si on était au départ plutôt enthousiaste à l'idée de retrouver la licence Call of Juarez, ce contact avec le troisième volet et son fameux cartel nous a un peu refroidis. La déception provient tout d'abord de ce bond dans le temps qui fait indéniablement perdre de sa saveur à la série en rendant l'expérience très générique, notamment en termes d'ambiance. Ensuite, visuellement, le titre accusait sur la version de démonstration un retard important. Pour tout dire, il semblait même moins beau que Bound in Blood, l'épisode précédent. Etrange ! Tout cela est bien dommage car le jeu propose tout de même des personnages au premier abord intéressants ainsi que quelques bonnes idées (l'aspect "co-opétition") égayant des mécaniques de gameplay généralement très convenues. Le succès de Call of Juarez : The Cartel dépendra aussi très certainement de la fréquentation du titre online, cet épisode n'ayant réellement d'intérêt qu'à plusieurs. A ce jour, le mot d'ordre demeure donc : prudence.

L'avis de la rédaction
Moyen
360 Techland Ubisoft FPS Multi en coopératif Multi en compétitif
Commentaires
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Assasins75 Assasins75
MP
Niveau 1
le 01 août 2011 à 11:37

Pas mal!!

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