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Test A World of Keflings

A World of Keflings : DLC The Curse of the Zombiesaurus

4 094 vues
Profil de pixelpirate,  Jeuxvideo.com
pixelpirate - Journaliste jeuxvideo.com

City-builder grand public au design mignon et coloré, A Kingdom for Keflings bénéficiait d'un gameplay original hélas desservi par un manque de finalité et de challenge. Deux ans plus tard, le studio Ninja Bee remet le couvert avec une suite au concept inchangé, qui corrige quelques défauts et apporte quelques améliorations. A première vue, tout ça semble bien léger : A World of Keflings serait-il un attrape-nigaud à 800 MS Points ?

A World of Keflings

Le principe n'a pas bougé : vous incarnez toujours un géant qui s'est mis dans la tête d'aider des sortes de petits lutins, les Keflings, à bâtir leur royaume. Contrairement aux city-builders traditionnels, où vous effectuez toutes vos actions par l'intermédiaire d'une interface et de quelques menus, c'est ici votre alter ego virtuel (votre avatar Xbox 360) qui tient le rôle de maître d'œuvre : vous le déplacez à l'aide du stick analogique droit et quelques boutons lui suffisent à passer ses ordres auprès des Keflings. Pour cela, rien de plus simple : saisissez un de ces petits êtres dociles et placez-le à l'endroit où il doit travailler (ressources à récolter, bâtiment à faire fonctionner), sachant que votre géant paiera lui aussi de sa personne lorsque la main-d'œuvre viendra à manquer. Cela se complique un petit peu lorsqu'il s'agit de faire comprendre à un Kefling qu'il doit stocker quelque part le fruit de son labeur : il faut d'abord l'attraper, le poser sur la ressource, puis le saisir à nouveau et aller lui montrer le bâtiment voulu. Amusant au début, ce principe devient un tantinet pesant lorsque vous avez une pléthore de Keflings à gérer, d'autant qu'aucun écran ne résume les taches affectées à chacun de ces besogneux petits êtres.

A World of Keflings
C'est en tapant sur la tête de vos Keflings que vous leur permettez de passer au niveau supérieur.
La jouabilité a tout de même été améliorée depuis le premier volet, notamment en ce qui concerne les phases de construction, désormais bien plus ergonomiques. Le système consiste toujours à sélectionner un blueprint (sur un arbre de construction particulièrement étoffé) et à commander auprès des différents ateliers les éléments qui, une fois assemblés, vous permettront d'ériger le bâtiment. Les blueprints sont moins complexes que dans le premier volet, ce qui rend l'assemblage d'autant moins douloureux. Qui plus est, vous bénéficiez désormais parmi les Keflings de plusieurs assistants permanents qui vous apportent automatiquement les éléments commandés afin de vous éviter de fastidieux allers-retours. Sachez enfin qu'une fois le bâtiment construit, une option bien pratique vous permet de le pousser dans n'importe quelle direction pour le déplacer à loisir. Toutes ces fonctionnalités, qui ont l'air de petits détails, rendent le gameplay bien plus agréable. Et si les bâtiments restent trop proches sur le plan du design pour pouvoir être distingués facilement, le centre artistique vous permet toujours de les peindre d'une couleur particulière pour vous aider à vous repérer.

A World of Keflings
Le mode deux joueurs s'appuie sur un écran splitté pour que chacun puisse agir à sa guise.
Ce second volet propose également quelques nouvelles fonctionnalités sympathiques – mais assez accessoires, il faut bien le dire – comme la possibilité de donner un nom à chacun de vos Keflings, d'utiliser des emotes pour interagir avec eux ou d'échanger des objets à collectionner avec vos contacts Xbox Live. A ce sujet, s'il est toujours possible de coopérer avec trois autres joueurs sur le Live, rappelons que cette option ne nous avait que moyennement convaincus étant donné qu'il semble difficile de réunir des partenaires en ligne sur de longues sessions de jeu (la durée d'une partie complète oscille toujours entre 7 et 8 heures). Heureusement, A World of Keflings permet désormais de jouer à deux en local. Voilà un ajout bien plus pertinent puisqu'il vous permet de coopérer avec un(e) ami(e) ou un membre de votre famille pour bâtir votre royaume, puis de sauvegarder votre partie et de la reprendre à l'occasion pour y ajouter quelques bâtiments. Ce mode multijoueur en local est bien fichu puisque chaque joueur est libre de ses mouvements et de ses actions : si votre géant s'éloigne trop de celui dirigé par votre comparse, l'écran se scinde en deux afin que chacun puisse laisser l'autre vaquer où il veut.

A World of Keflings
La princesse Kefling est un des personnages les plus barrés et les plus attachants qu'on ait vu !
Mais là où cette suite marque le plus de points, c'est qu'elle introduit une progression digne de ce nom. Si A Kingdom for Keflings n'était finalement qu'un gigantesque bac à sable sans autre finalité que de parvenir à construire un château pour vos petits protégés, ce second volet propose une véritable campagne scénarisée, découpée en plusieurs chapitres, qui vous permet de visiter plusieurs mondes différents (nordique, médiéval, oriental), entre lesquels vous pouvez naviguer au moyen de portes qu'il vous faudra trouver le moyen d'ouvrir. Qui plus est, si les missions principales ne sont pas d'un intérêt spectaculaire, elles ont le mérite d'être particulièrement drôles et décalées. Vous vous en rendrez compte en entendant l'irrésistible petite princesse Kefling, convaincue des bienfaits de la déforestation, déclarer que « si les arbres n'étaient pas faits pour fabriquer des meubles, pourquoi seraient-ils en bois ? ». Au final, malgré un concept qui n'a pas vraiment bougé et une réalisation inchangée, les améliorations dont bénéficie A World of Keflings rendent le jeu bien plus accrocheur que son prédécesseur. Reste à savoir si elles suffiront à convaincre les possesseurs du premier volet de débourser à nouveau les 800 MS Points requis.

Les notes
  • Graphismes10/20

    Le design naïf et coloré est toujours aussi agréable à l'oeil, mais l'aspect technique décevant (modélisation anguleuse, animation robotique, chutes de framerate...) aurait mérité d'être amélioré.

  • Jouabilité16/20

    Le gameplay, qui consiste à passer ses ordres par l'intermédiaire du géant en l'absence quasi totale de menus, fait toujours son petit effet. Et même si la jouabilité n'est toujours pas optimale, l'ergonomie a été suffisamment revue pour se montrer bien plus convaincante.

  • Durée de vie9/20

    Il faut toujours 7 à 8 heures de jeu pour ériger un château pour ses Keflings. Et si cette suite s'étoffe d'un sympathique mode multijoueur en local, son potentiel de rejouabilité reste bien maigre étant donné l'absence d'opposition et d'événements aléatoires.

  • Bande son8/20

    Si les bruitages ont été renforcés, on déplore l'absence de nouveau thème musical : bien que plaisants et variés (musique traditionnelle, country...), ces derniers tournent toujours en boucle jusqu'à l'écœurement.

  • Scénario14/20

    A World of Kefling bénéficie d'une légère scénarisation qui induit une réelle progression. Les personnages sont variés et attachants et les quêtes qu'ils vous confient regorgent d'humour.

Plus drôle, plus agréable à jouer et plus accrocheur, A World of Keflings relègue son prédécesseur à l'état de simple ébauche. En repensant l'ergonomie des phases de construction, en introduisant une progression scénarisée et en étoffant le gameplay d'un mode multijoueur en local plus pertinent que l'option online déjà disponible, Ninja Bee permet à son bébé d'évoluer du statut de simple passe-temps à celui de vrai jeu. Il est toutefois regrettable que la réalisation ne bénéficie pas des mêmes améliorations et que les possesseurs de A Kingdom for Keflings doivent à nouveau débourser 800 points pour profiter d'une suite qui ne fait finalement que corriger les erreurs manifestes de son aîné.

Note de la rédaction

14
16.1

L'avis des lecteurs (15)

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