CONNEXION
  • RetourJeux
    • Tests
    • Soluces
    • Previews
    • Sorties
    • Hit Parade
    • Les + attendus
    • Tous les Jeux
  • RetourActu
    • Culture Geek
    • Astuces
    • Réalité Virtuelle
    • Rétrogaming
    • Toutes les actus
  • RetourHigh-Tech
    • Actus JVTECH
    • Bons plans
    • Tutoriels
    • Tests produits High-Tech
    • Guides d'achat High-Tech
    • JVTECH
  • RetourVidéos
    • A la une
    • Gaming Live
    • Vidéos Tests
    • Vidéos Previews
    • Gameplay
    • Trailers
    • Chroniques
    • Replay Web TV
    • Toutes les vidéos
  • RetourForums
    • Hardware PC
    • PS5
    • Switch
    • Xbox Series
    • Overwatch 2
    • FUT 23
    • League of Legends
    • Genshin Impact
    • Tous les Forums
  • PC
  • PS5
  • Xbox Series
  • PS4
  • One
  • Switch
  • Wii U
  • iOS
  • Android
  • MMO
  • RPG
  • FPS
En ce moment Genshin Impact Valhalla Breath of the wild Animal Crossing GTA 5 Red dead 2
Créer un contenu
Tests
  • Accueil
  • Actus
  • Tests
  • Vidéos
  • Images
  • Soluces
  • Forum
Preview Bulletstorm
Profil de Rupan,  Jeuxvideo.com
Rupan - Journaliste jeuxvideo.com

Devant le flot de FPS aux ressorts classiques qui envahit le marché, People Can Fly et Epic Games ont décidé de proposer une alternative aux joueurs. Cette variante, c'est Bulletstorm, un jeu brutal, sanglant, virant même parfois au cruel mais qui ne se prend pas au sérieux. Armes délirantes, univers fantasque et humour gras sont au programme de ce gigantesque défouloir aux accents futuristes, dont nous avons pu tester récemment la partie multijoueur.

Bulletstorm
Bulletstorm

Visiblement, People Can Fly aime à bousculer les habitudes des joueurs. Après avoir développé le violent et nerveux Painkiller, le studio polonais, qui appartient en partie à Epic Games, revient aux affaires avec un nouveau titre qui ne donne pas vraiment dans la finesse. A mille lieues des FPS sérieux qui pullulent sur le marché, Bulletstorm impose sa différence d'emblée. Le jeu ne s'embarrasse pas d'un quelconque contexte historique réel et propose une aventure rythmée, agrémentée d'un gameplay sanglant qui flatte les plus bas instincts des joueurs. Écarteler, décapiter, éviscérer... en un mot tuer, tel sera votre objectif premier. Mais là où le tout devient original, c'est que les développeurs vous encouragent à le faire avec talent. Et ce, que ce soit en solo ou en multi.

Bulletstorm
Les environnements sont passablement désolés.
Contrairement à ce que l'on aurait pu penser au regard du gameplay quelque peu bourrin du jeu, People Can Fly a pris soin d'élaborer les contours d'un scénario avant d'en confier l'écriture à l'auteur de comics Rick Remender, déjà à l'œuvre sur Dead Space. Bulletstorm vous plonge dans la peau de Grayson Hunt, membre de Dead Echo, une organisation regroupant des mercenaires chargés d'assurer la protection de l'importante Confédération des Planètes. Enfin, c'est ce que pensait notre cher héros, jusqu'à ce qu'il se rende compte de la supercherie. Ses collègues ont en effet la fâcheuse tendance à abuser de leurs forces à des fins personnelles. Suite à cette triste découverte, Grayson est trahi par son commandant et se retrouve exilé dans l'espace avec pour seul compagnon de route un cyborg répondant au nom d'Ishi Sato. Après plusieurs années d'errance, son voyage prend brutalement fin lorsqu'il s'écrase sur la planète Stygia. Particulièrement inhospitalière, celle-ci a vu ses installations luxueuses être petit à petit grignotées par une végétation locale particulièrement agressive. En plus de devoir lutter contre cette flore peu accueillante, les deux compagnons doivent également faire face à des hordes de psychopathes sanguinaires. Votre quête sera donc double. D'une part, vous évader, vivant si possible, de cette planète occupée par des furieux. Et d'autre part, vous venger de Dead Echo et de son chef, responsables de votre lente descente aux enfers.

Bulletstorm
Burn da witch... et pas seulement.
Porté par l'Unreal Engine 3, notamment utilisé pour Gears of War, Bulletstorm affiche des décors fourmillant de détails. Et c'est avec plaisir que l'on s'en va donc joyeusement gambader dans cette jungle urbaine afin d'exploser le crâne de tous nos assaillants. Le principe du jeu se résume en effet à du frag massif. Mais tout est mis en place pour que vous le fassiez de manière originale. Grayson possède ainsi à sa disposition un arsenal très varié allant de la sulfateuse ultra violente au lance-grenades extrêmement destructeur, en passant par l'éternel fusil à pompe. Difficile également d'occulter l'arme balançant deux grenades reliées par une chaîne. Celle-ci s'enroule autour de l'ennemi et laisse l'explosion terminer le travail. Et comme les dégâts sont localisés, attendez-vous à voir des bras, des jambes et des têtes voler dans tous les sens.

Bulletstorm
Gogo Gadget à la main qui pique
Mais dans Bulletstorm, il ne suffit pas de shooter bêtement. Outre l'insulte facile, Grayson possède surtout une sorte de fouet qui lui permet de choper des ennemis à distance et de les ramener à lui. Lorsque ceux-ci sont en approche, un effet de ralentissement se déclenche pour vous laisser le temps de décider de ce que vous allez faire du corps. Plusieurs options s'offrent toujours à vous, en particulier parce qu'il vous est demandé de jouer avec les environnements. Dans le niveau qui nous était proposé lors de la présentation, trois interactions étaient par exemple possibles. Embrocher l'ennemi sur un énorme cactus aux épines acérées, le laisser se faire manger par une plante carnivore affamée ou encore, le balancer contre un amoncellement de câbles électriques promettant une décharge mortelle. Après avoir ramené à soi la pauvre victime, il suffisait alors de lui asséner un coup de pied bien violent en prenant soin de viser la direction souhaitée.

Bulletstorm
Des flammes sur le canon, c'est ça la classe.
Pour cette session de jeu, People Can Fly avait décidé de nous faire essayer un mode multi assez classique qui demande à quatre joueurs d'éliminer des vagues successives d'ennemis. Et ce, toujours dans le même environnement, soit dit en passant assez fermé et ne permettant aucune fuite. Evidemment, à mesure que les parties s'enchaînent, les ennemis gagnent en puissance. Ce qui est également votre cas puisqu'en éradiquant des adversaires, vous accumulez des points qui vous permettent ensuite de booster vos capacités. Au choix, vous pourrez par exemple augmenter la force et la résistance de votre personnage ou encore opter pour l'amélioration de vos armes. Elles pourront contenir plus de balles ou se recharger plus vite en combat. La particularité du multi, c'est que vous devrez impérativement coopérer pour récolter plus de points. Les développeurs ont prévu de nombreuses mises à mort à effectuer à plusieurs. Lorsque deux joueurs lancent simultanément leur fouet sur un ennemi, celui-ci se voit éparpillé en mille morceaux sur la map dans une gerbe de sang des plus gore. Une action récompensée par une inscription au milieu de l'écran du type « Brotherhood » et qui vous confère un bonus de score non négligeable. D'autant plus que le niveau global de votre avatar dépend de vos performances.

Bulletstorm
A ta façon de te tenir toi, je sais ou je vais te cogner.
Parfois, les développeurs imposent même la sentence que vous devrez infliger à votre opposant. Il existe en effet une sorte de mini-boss à tuer d'une manière bien précise à la fin de chaque partie. On vous demandera parfois de ne pas utiliser d'arme ou encore d'achever l'ennemi uniquement avec des coups de pied glissés. Car oui, Grayson peut s'élancer et flirter avec le sol tel Faith de Mirror's Edge. Il est à noter également que plus vous variez vos attaques, plus votre score augmentera. Si une même attaque est utilisée plusieurs fois, il semble que le nombre de points distribués diminue assez nettement à chaque fois. L'objectif est bien sûr de vous pousser à expérimenter, à découvrir toutes les possibilités offertes par le jeu. Des tonnes de combinaisons seront a priori possibles, de quoi vous permettre de laisser libre cours à votre imagination.

Bulletstorm
Bulletstorm ne fait pas dans la demi-mesure.
En fait, le seul problème, finalement assez prévisible avec Bulletstorm, se situe au niveau de la variété de l'action. Certes, son aspect bourrin se révèle jouissif lors des premières minutes mais on se retrouve très vite à effectuer systématiquement le même type de combinaison, à savoir ramener l'ennemi à soi puis balancer un coup de pied et observer le résultat. Même à plusieurs, ce principe a des limites. D'autant plus lorsque l'intelligence artificielle des ennemis apparaît aussi limitée. Dommage toutefois que l'on n'ait pu se faire la main que sur une unique map. Bulletstorm tiendra-t-il la route sur le long terme ? Telle est la principale interrogation soulevée par le titre. Pour le reste, le passé vidéoludique du duo People Can Fly/Epic Games nous incite à la confiance.

Nos impressions

Bulletstorm, dont la sortie est calée en début d'année prochaine, fait incontestablement partie des titres à suivre. Déjà parce qu'il demeure visuellement très abouti. Le jeu n'affichait en effet aucune faute technique majeure. Ensuite parce que son gameplay procure un plaisir intense, brut, presque primaire. Les possibilités d'évolution semblent en plus assez vastes, tout comme le nombre d'armes. Il reste maintenant à voir si tout cela tient au corps, si l'expérience vaut toujours le coup après plusieurs heures.

L'avis de la rédaction
Bon
360 People Can Fly Epic Games Action FPS Aventure Jouable en solo Multi en ligne
Commentaires
Vous devez être connecté pour poster un commentaire.
fred31210 fred31210
MP
Niveau 2
le 21 févr. 2011 à 18:51

démo: parfait, video: jouissif, résumé de jeuxvideo.com: comprend pas
cé décider jmachète l'épic edition !!!!

Lire la suite...
Meilleures offres
Achetez vos jeux au meilleur prix :
- Dispo sur PC - 33.19€
360 14.23€ PS3 25.85€
Marchand
Supports
Prix
A lire aussi
Derniers tests
15
TestRise of the RoninSur PS5
16
TestPrincess Peach : Showtime!Sur Switch
17
TestWWE 2K24
PC PS5 Xbox Series
Les jeux attendus
1
Grand Theft Auto VI
2025
2
Stellar Blade
26 avr. 2024
3
SAND LAND
26 avr. 2024
La vidéo du moment