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Note
au moins 18au moins 16au moins 14au moins 12au moins 10inférieure à 10
Date
moins de 1 moismoins de 3 moismoins de 6 moismoins de 1 anmoins de 24hmoins de 1 semaine
Mode
Jouable en soloMulti en ligneMulti en coopératifMulti en localMulti sur le même écranMulti en compétitif
15 années après une sortie sur PlayStation 2 et 5 ans après la HD Edition sur PS3, celui que l’on appelle communément “ZOE2” refait surface mais cette fois-ci sur PlayStation 4 et PC. Avec Zone of the Enders : The 2nd runner M∀RS, Konami fait débarquer son titre emblématique, marqué au fer rouge par l’ère Kojima, dans deux écosystèmes pleins d’opportunités. Outre la 4K qui succède au Full HD déjà proposé à 60 images par secondes il y a 5 années, on a ici droit à une compatibilité VR, de quoi donner à cette épopée une nouvelle vie, et une nouvelle dimension…
Difficile de le nier, le Battle Royale, dans sa forme traditionnelle du moins, arrive à bout de souffle, autant en raison de la simplicité de son concept que par son créneau garrotté par quelques mastodontes. C'est pourquoi Techland a choisi d'en modifier l'approche avec Dying Light : Bad Blood, un stand alone défini par les équipes du studio polonais comme officiant dans le registre du « Brutale Royale ».
Promesse d’expériences immersives pour les uns, gadgets pour les autres, la réalité virtuelle s’est démocratisée et rendue accessible au grand public. Les éditeurs majeurs ont dès lors sauté sur l’occasion pour diversifier leur catalogue et profiter de l’engouement suscité par cette nouvelle technologie. Après l’ivresse d’une aventure aérienne dans Eagle Flight, Ubisoft nous sert le thriller psychologique Transference, une oeuvre à mi-chemin entre cinéma et jeu vidéo développée en collaboration avec SpectreVision - la société de production de l’acteur Elijah Wood.
Ubisoft se fait rare dans l'horreur. Ce genre n'est que peu représenté dans le catalogue de l'éditeur breton, à l'exception de ZombiU. Pourtant, ce dernier nous sert à l'automne 2018 le thriller psychologique Transference, une oeuvre à mi-chemin entre cinéma et jeu vidéo développée en collaboration avec SpectreVision - la société de production de l’acteur Elijah Wood.
Le crissement des parquets, le claquement assourdissant d'un dunk, le doux bruit du filet quand un tir fait filoche, la grâce d'un dribble croisé... Rares sont les simulations de sport procurant autant de sensations que celles mettant le ballon orange à l'honneur. Pour séduire le grand public, EA a bien compris que capturer l'essence spectaculaire du basketball était essentiel. Alors que la franchise a retrouvé sa crédibilité l'an passé, NBA Live 19 offre une expérience encore loin d'être parfaite, mais suffisamment plaisante et complète pour mériter l'intérêt des curieux de la discipline.
Afin de se démarquer au sein d'un marché du plateformer saturé de propositions originales, The King's Bird joue la carte de l'élan, ou plutôt du maintient de l'élan à mesure que votre personnage s'élance dans les airs avec grâce entre deux séquences de plateforme où votre sens du timing sera mis à rude épreuve. Élégant dans sa proposition, le titre de Serenity Forge enferme cependant son concept derrière les barreaux d'un level design trop étouffant pour permettre au joueur de prendre son véritable envol.
Sorti en septembre 2017, Destiny 2 a connu une première année pour le moins mouvementée. Attendu non sans une certaine impatience par les fans de la première heure, ce second épisode a très rapidement déçu, la faute à un contenu maigrelet et des choix de gameplay pour le moins discutables. Et ce ne sont pas les deux extensions sorties à ce jour (La Malédiction d'Osiris et L'Esprit Tutélaire), qui sont venus calmer la grogne des joueurs, alors même qu'elles se sont vendues par camions entiers. Autant dire que Bungie se devait de réagir à l’aube de cette seconde année, sous peine de voir ses joueurs lui tourner le dos définitivement. Destiny 2 : Renégats a donc la lourde tâche de réparer les erreurs du passé, de restaurer la confiance de la fanbase de Destiny, et d’ajouter de quoi occuper tout ce beau monde pour les mois à venir. Un pari que Bungie, appuyé par High Moon Studios, semble en passe de réussir. Qui l’eut cru ?
Teasé dès 2016 sur YouTube, Scum s'est depuis attiré la curiosité du public, notamment lors de l’E3 2018, avec un trailer dont beaucoup ont retenu qu’il s’agissait là d’un jeu PVP avec “une prise en compte réaliste du système digestif”, histoire de rester poli… Derrière cette feature, amusante car rare sont les jeux où il est possible de déféquer, uriner et vomir, se cache en réalité la promesse de jouer au jeu de survie le plus réaliste à ce jour en matière de gestion du métabolisme. Enrobé d'un très sympathique écrin de survie mêlant PVP et PVE, Scum se positionnait alors, en sortie de salon, comme le digne successeur de DayZ, en plus réussi. Rien que ça. Tâchons donc de voir si les ambitions sont concrétisées par ce début d’Early Access...
Nous sommes au milieu des années ’90. John Carmack développe toujours des moteurs graphiques incroyables et John Romero n’a pas encore la réputation de clown qu’il possède aujourd’hui. Tous deux travaillent pour id Software, le studio qui a quasiment créé le FPS à lui tout seul et l’une de ses variantes, le fast-FPS. Plus rapide, grisant et exigeant, ce genre est incarné par la série Quake et notamment, Quake 3 Arena. Aujourd’hui, plus aucun de ces deux héros du jeu vidéo ne traine dans les couloirs du studio texan, mais cela ne l’aura pas empêché de rendre un fier hommage à cette grande époque.
Entre nous, qui n’a jamais rêvé d’être un jour gardien de cimetière ? Personne ? Certes, une telle profession n’est sans doute pas la plus glamour des options, mais elle fait tout de même l’objet d’une attention prononcée dans Graveyard Keeper. Le nouveau poulain des équipes de Lazy Bear Games (Punch Club) vous permet en effet de plonger dans la dure vie d’un gardien de cimetière au moyen-âge, qui devra tout faire pour aider son entreprise morbide à prospérer.
Du jeu de tir en réalité virtuelle, ce n’est pas une nouveauté. Il y en a eu par le passé et un certain Bravo Team s’est même glissé jusqu’au PlayStation VR tout récemment. Malheureusement, on ne peut pas dire ce sous-Time Crisis ait laissé de grands souvenirs à Carnbee. C’est donc avec un certain apriori que votre serviteur s’est lancé dans le grand bain de Firewall : Zero Hour. Calqué sur le concept de Rainbow Six, ce FPS tactique affichait de belles promesses depuis son annonce. Eh bien, celles-ci ont été respectées !
Autrefois géant incontesté dominant de tout son poids un NBA Live qui revient tout juste sous le feu des projecteurs, NBA 2K adopte désormais une position pour le moins inhabituelle. D'un côté, 2K18 a plus que jamais attiré les foules, en atteste son titre d'opus le plus vendu de la licence, grâce à son gameplay pointu et son réalisme exacerbé. De l'autre, l'incitation à l'achat des controversés points VC (Virtual Currency) et la lourdeur de ses modes de jeux scénarisés ont divisé les amoureux du ballon orange. Pour réaffirmer le statut de la licence, le cru 2019 se devait de rebondir afin d'éviter une nouvelle bâche. Ça tombe bien, c'est justement la marque des plus grands de revenir encore plus fort après un coup dur.
La fièvre du Battle Royale n’en finit plus d’enfler et l’opportunité de plaire à une large audience sonne comme une aubaine pour bon nombre d'éditeurs. Ces derniers prennent volontiers le train en cours de route sur un secteur dominé par l'indétrônable poule aux oeufs d’or d’Epic Games, Fortnite, et marqué au fer rouge par la finesse et l'immersion du jeu de BlueHole, PUBG. Parmi ces nouveaux arrivants, on remarque le géant français Focus qui, il y a 6 mois, annonçait Fear The Wolves, un “BR par les développeurs de S.T.A.L.K.E.R.” dont le pitch donnait alors furieusement envie. Radiations nucléaires, loups enragés, anomalies radioactives, tout est là pour isoler les joueurs dans une savoureuse ambiance concoctée par le studio Vostok Games. Est-ce assez pour séduire ?
Lorsque Crystal Dynamics redessine le personnage de Lara Croft en 2013, le résultat est impressionnant. Plus réaliste, plus mature, plus actuelle, l'aventurière s'avère toujours aussi combative mais plus inexpérimentée, cet état d'esprit servant le jeu à travers sa progression mais aussi l'empathie procurée par le personnage et donc les liens plus forts entre celui-ci et le joueur. Alors que Rise of the Tomb Raider (suite directe du précédent) s'enfermait dans une certaine facilité, l'ensemble s'avèrait toujours aussi frais grâce à la maîtrise des développeurs qui conservent la ligne directrice empruntée par le reboot. 2018 voit l'arrivée du troisième épisode de la trilogie, cette fois développé conjointement par Eidos Montréal et Crystal. Un signe d'un grand changement ? Pas si sûr.
Après de bons et loyaux services sur Tiger Woods PGA Tour 10, HB Studios a repris les clubs en 2014 en lançant la saga The Golf Club. Quatre ans et de nombreux masters plus tard, c'est The Golf Club 2019 qui voit le jour sur PC, PS4 et Xbox One. Un troisième opus en cette année de Ryder Cup, pour perpétuer la tradition des simulations golfiques sur consoles de salon.
Alors que son troisième épisode canonique se fait toujours attendre dans nos contrées, Yokai Watch s’offre deux nouveaux opus faisant cette fois office de Spin-off de la série principale. “Escadron du chien blanc” et “Peloton du chat rouge” offrent un point de vue différent de leurs prédécesseurs puisqu’ils vous permettent d’incarner directement les Yokai dans une série de missions faisant place à l’action en temps réel.
Premier jeu du tout nouveau Sabotage Studio, The Messenger s’affiche à première vue comme un jeu d’action/plates-formes à dynamique rétro 8-bits. Pourtant, il a beaucoup, beaucoup plus à dévoiler…
Conçu par une équipe qui a pris le nom de son projet, Planet Alpha fait déambuler un étrange cosmonaute sur une planète éloignée de notre galaxie où chaque nuage peut dissimuler une espèce végétale comme animale étonnante. Dans l’univers de ce side-scroller coloré, il est possible de jouer avec une couche du temps. Ce n’est pourtant pas la pluie et le beau temps que peut invoquer le mystérieux héros, mais le jour ou la nuit. Devrions-nous pour autant craindre que la mécanique des astres, sur la durée, puisse mener à un désastre ?
Oui, gérer un hôpital ça peut être rigolo ! Bullfrog l’a déjà prouvé, c’était il y a plus de 20 ans. Le studio fondé par Peter Molyneux nous livrait Theme Hospital, encore aujourd’hui un incontournable des fans de jeux de gestion. Tenter de donner une suite à ce monument vidéoludique est une entreprise risquée, et plusieurs s’y sont cassé les dents. Bonne nouvelle, Mark Webley et Gary Carr, anciens de Bullfrog, sont de retour et proposent leur propre suite spirituelle. Vérifions si le résultat est à la hauteur avec fébrilité et défibrilateur.
Bandai Namco a fait de l’exploitation de mangas à succès, et plus particulièrement les Shōnen, une spécialité. Dragon Ball, The Seven Deadly Sins, My Hero Academia, One Piece… une pluie d’adaptations s’abat sur le marché du jeu vidéo année après année et la saga Naruto n’est pas en reste. Après Naruto Shippuden Ultimate Ninja Storm 4 et son DLC Road to Boruto qui conclut la série, l’éditeur japonais se tourne vers le multijoueur pour parachever son oeuvre. Naruto to Boruto : Shinobi Striker chausse les gants et entre dans l’arène. En sortira-t-il vainqueur ?