Comme chaque semaine, LaPetitePelle revient sur un fait d’actualité majeur de la semaine. Aujourd’hui, on s’attarde sur le phénomène du “harcèlement au skin” qui prend de plus en plus d’ampleur dans le monde du jeu vidéo. LPP sort son crayon !
Un nouveau fléau
On le rappelle mais, à la base, les skins sont des tenues in-game destinées à modifier l’apparence d'un personnage ou d’un objet. C’est donc un simple outil de personnalisation, mais qui s’est démocratisé avec notamment l’avènement des shooter PvP. Maintenant, dans des jeux ultra-populaires comme Fortnite ou Valorant, on constate une course au skin et des catalogues proposant des centaines de cosmétiques différents. Mais en plus d’être souvent beaux, ces skins ont la fâcheuse tendance d’être chers, voire très chers. Des personnes se voient être désignées comme “pauvres” si elles n’ont pas un certain skin. Comme le titrait Le Parisien il y a quelques jours, “La course aux skins sur Fortnite accentue les différences sociales chez les enfants”. L’étude norvégienne sur laquelle leur article s’appuie affirme même que “la quantité d’argent dépensée dans les jeux gratuits en ligne est devenue un marqueur social à part entière”. Le harcèlement au skin, un sujet qui devient de plus en plus important pour la sphère du jeu vidéo, et que LPP a choisi de traiter cette semaine.
Sony dans le pétrin ?
Mais ce n’est pas tout ce que LPP a à nous dire aujourd’hui. Il utilise le sujet des skins pour parler d’un autre phénomène qui touche Sony depuis quelque temps. En effet, bien que la PS5 ait fait une très belle année 2023, Sony a annoncé il y a quelques semaines qu’aucun jeu majeur ne sortirait avant avril 2025. On parle de titres du niveau de God of War qui se feront donc pas mal attendre. Et pour ne rien arranger, son concurrent direct en la personne de Microsoft a de grosses licences qui sont - ou vont - arriver. Entrée Indiana Jones, Hellblade ou Avowed, les fans de Xbox seront servis cette année.