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Chronique In Game : Forza Horizon 4 et la consécration du free roam
Profil de doraemon77,  Jeuxvideo.com
doraemon77 - Rédaction jeuxvideo.com

Comme chaque mercredi, retrouvez aujourd'hui In Game, votre chronique qui s'attarde sur une séquence ou une scène d'un jeu afin d'en expliquer les ressorts, qu'ils concernent sa narration ou ses mécaniques. Pour ce onzième numéro, nous nous attardons sur Forza Horizon 4 et son monde ouvert.

L'open World fut pendant longtemps et encore récemment le mot à la mode chez les joueurs, mais aussi dans l'industrie du jeu vidéo. Avec les succès des jeux comme The Elder Scrolls V : Skyrim, Assassin's Creed ou Red Dead Redemption, l'objectif de faire des jeux en monde ouvert est devenu le maître-mot chez plusieurs studios de développement. Dans ce nouveau numéro de In Game, l'ami Carnbee passe en revue l'aspect monde ouvert du jeu de course Forza Horizon 4. Quelles sont les particularités de ce jeu simulation-arcade en monde ouvert ? Comment est-ce que le jeu s'y prend pour donner envie au joueur de progresser et d'explorer son Open World ? Bouclez votre ceinture, petite visite guidée.

SCRIPT

Depuis l’arrivée des premiers jeux d’aventure textuels des années 1970 et des RPG du début des années 1980, les développeurs ont cherché à élargir leurs univers jusqu’à étendre ce que l’on appelle l’open world à différents genres. Nous allons aujourd’hui nous concentrer sur Forza Horizon 4 et évoquer la manière dont Playground a judicieusement placé le free roam au centre de tout son game design.

Ha… le monde ouvert, cette promesse faite à l’utilisateur d’un contenu riche à débloquer au sein d’une aire de jeu gigantesque plaisante à parcourir. C'est surtout un sacré défi pour les concepteurs qui ont pour mission de trouver la juste manière d'enseigner les règles et la jouabilité. L’utilisateur peut aisément se sentir désemparé s’il est lâché sur une carte bourrée d’objectifs aux tenants et aboutissants encore flous. Personnellement, j’ai toujours adoré les séquences d’introduction très réussies des Forza Horizon. Elles sont rythmées, scénarisées, et apprennent en quelques minutes les mécaniques de base du jeu.

Forza Horizon 4, qui intègre un monde partagé et un système de saisons, introduit lui aussi sa formule en douceur. Il fait passer une première année virtuelle au pilote jusqu'à le lâcher dans le vrai monde connecté. Et ce moment précis où le joueur rejoint le monde partagé est marquant. Adieu les drivatars d'antan, l'exploration peut se faire cette fois-ci avec de vrais humains rencontrés au hasard.

Dans le genre du jeu de course simu/arcade en monde ouvert qui nous intéresse aujourd’hui, nous nous souvenons tout particulièrement de Test Drive Unlimited sorti en 2006 et des Burnout ou autres Need for Speed qui ont suivi. Malgré une concurrence féroce, notamment avec l’arrivée d’Ubisoft et de son The Crew en 2014, c’est bien la licence Forza Horizon qui roule désormais des mécaniques. Cette réussite aussi bien critique que commerciale vient avant tout de l’important travail effectué par Playground Games sur tout ce qui touche à la balade libre, à faire seul ou à plusieurs.

Le free roam est l'expression de l'open world. D'un point de vue strictement formel, il regroupe tout ce que le gameplay peut apporter à l’utilisateur dans son envie et sa capacité à arpenter librement une carte. Cela repose sur tout un tas de paramètres, dont ceux, interdépendants, des “3 C”. Ce terme 3 C signifie Camera, Control et Character. La manière dont les game designers exploitent ces éléments détermine l’acceptation des systèmes de jeu par l’utilisateur. Il suffit qu’un seul de ces 3 éléments soit bancal pour définitivement ruiner l’envie de progresser au sein d’un univers virtuel, fusse-t-il ouvert. Dans Forza Horizon 4, la caméra peut être transformée en drone afin de dénicher les secrets de la Map, la maniabilité est totalement paramétrable, pour une expérience plus ou moins exigeante, et les véhicules peuvent évidemment rouler, mais surtout défoncer tout un tas de props allant du mobilier urbain aux arbustes. Ce pouvoir de destruction joue beaucoup dans le plaisir de conduite en hors-piste. Bon OK, ce n’est pas très réaliste, mais c’est beaucoup plus agréable que de rester planqué tel un piquet après un choc, comme nous l'avons déjà subi ailleurs. Par rapport à ses prédécesseurs, Forza Horizon 4 a su ajouter plus d’éléments destructibles, et a mis de la physique sur plus d’objets qu'auparavant, comme tout ce qui touche au matériel agricole.

C’est toujours plaisant de voir un moteur physique bien utilisé qui n’est pas là que pour créer des effets spectaculaires, mais offre surtout un meilleur confort de jeu. En plus de ça, le soft de Playground incite méchamment à sortir des sentiers battus. Chaque prairie peut cacher un panneau bonus octroyant des crédits, chaque bois peut masquer un hangar débloquant un bolide légendaire, tandis que la mini-map affiche les secrets à côté desquels le joueur est passé sans faire attention. Mieux, le simple fait de rouler rapporte des points et fait monter un compteur de récompenses visible en plein milieu de l’écran. Vous ne pouvez clairement pas rater cette machine à sous qui se lance au moindre dérapage et qui vous récompense juste de rouler librement. En échange de quelques points d’expérience, il est même possible de débloquer une caractéristique qui empêche de perdre son combo en cas de choc inopiné, amenant une expérience de conduite libre encore moins frustrante.

Comme cela était déjà les cas avec les précédents volets, Forza Horizon 4 ne reproche jamais rien au joueur, tant que ce dernier roule. Qu’il arrive dernier d’une épreuve ou qu’il tamponne le bolide d’un concurrent, il est tout de même récompensé. Vous foncez alors cheveux au vent au milieu de paysages magnifiques, vous cramez les radars disposés sur votre chemin sans craindre les forces de l’ordre, vous participez à des rassemblements contre des avions de chasse, bref, vous faites ce que vous voulez sans craindre de conséquences négatives, ce qui met dans de bonnes conditions pour errer le volant entre les mains. Les épreuves elles-mêmes à activer sur la carte ne sont pas contraignantes. Si une classe de véhicules ne convient pas, elle peut être changée. Les tracés sont modifiables et il est même possible de les créer de toutes pièces. Tout est fait pour mettre le joueur, à la fois pilote et créateur, sur un piédestal, et cela se ressent à chaque accélération.

Pour la petite histoire, la série est née à un moment très particulier de l’histoire du jeu vidéo. Après l’énorme succès de GTA III en 2001 et celui d’Assassin’s Creed en 2007, les développeurs et les éditeurs sont persuadés de l’intérêt du public pour les open world. Playground Games a été fondée en 2009, soit une année avant les succès planétaires que sont Red Dead Redemption et Skyrim, qui sont donc intervenus en plein milieu de la production du premier Forza Horizon. Une période propice à l'open world, donc. Guillaume Grandjean, doctorant au CREM, explique chez Lepoint que “vendre un jeu, à cette époque, sans open world est risqué”. Franck Extanasié, journaliste et auteur d'un livre sur Skyrim, confirme ces propos en ajoutant que “certains termes comme open world ont ce cachet qui plaît définitivement aux éditorialistes”.

Les Forza Horizon sont classés dans la catégorie des jeux de course, mais ils auraient presque plus leur place dans celle des jeux d’aventure/exploration à l’intérieur desquels il est possible de concourir face à d'autres participants. C'est d'ailleurs de cette manière que Ralph Fulton, directeur créatif des Forza Horizon, qualifie sa création. Il avoue chez WhatCulture qu’avec Forza Horizon, il cherche à produire une expérience universelle, et que le core gameplay repose sur l'envie de conduire une voiture avec de la musique un peu trop forte. C’est dire si la dimension de free roam a bel et bien pris l’ascendant.

> Retrouvez tous les épisodes de In Game

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Commentaires
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The_Coalition The_Coalition
MP
Niveau 10
le 25 oct. 2019 à 17:24

Map rikiki (et pas interessante) peu de nouveauté niveau vehicule,

le 3 etait mieux

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