Les aspirateurs de fantômes ont le vent en poupe en ce moment. Après Luigi's Mansion 3, c'est en effet Dead End Job qui arrive bientôt sur nos écrans. En attendant, Ant Workshop et Headup Games nous dévoilent une interview de Tony Gowland, qui nous en dit plus sur la genèse du projet.
L'idée de base était plutôt simple pour Dead End Job : créer un jeu de tir moins violent, plus familial. Visuels colorés et cartoonesques, musique entraînante, armes moins violentes, trouvent ainsi leur place dans ce jeu et ce qu'il souhaite retranscrire. De fil en aiguille, vient l'idée de ce personnage, Hector Plasm, exterminateur en chef chez Goul-B-Gone, ou, en d'autres termes, chasseur de fantômes. Un métier qui sonne impressionnant, fantastique même, mais qui, dans Dead End Job, est ramené à la dure réalité. Clients ingrats, patron tyrannique et paye trop basse, cette approche satyrique et peu habituelle du poste de chasseur de fantômes porte un regard critique sur le monde du travail, avec humour et sarcasme. Un humour décalé qui transparaît non seulement dans les différentes missions, mais aussi dans le design des fantômes, le nom des personnages, ou encore la petite musique qui les introduit.
Pour rappel, Dead End Job sortira le 13 décembre prochain sur PC, PS4, Xbox One et Switch.