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Il est à l’origine de noms d’oiseaux hurlés dans les salons et de manettes balancées près du chaton. Son rapprochement engendre une accélération du pouls tandis que son aura ténébreuse humidifie les paumes et charge l'atmosphère d’amertume. Sa réputation moribonde le suit comme une traînée de poudre, la faute à sa compagnie parfois injuste et toujours décevante. Nous parlons évidemment du boss qui suit parfois celui de fin de chapitre, le Game Over. Dans la lumière, la résistance s’organise. Super Mario Odyssey abolira par exemple son règne en échange de quelques pièces. Tout est normal dans un monde où le difficile est mis à l’épreuve.
Début 2017, comme au début de l'année précédente, les plus enthousiasmés par la réalité virtuelle, division jeu vidéo, espéraient voir la technologie connaître un véritable essor au cours des 12 mois à venir. Difficile de ne pas le concéder : la VR n'a pas encore envahi les foyers au point de devenir un incontournable de la sphère vidéoludique. Et pourtant, si le parc VR n'est pas démocratisé et reste encore réservé à une frange du public assez restreinte, cela n'empêche pas des acteurs majeurs de l'industrie de s'engouffrer dans la brèche et tenter de s'imposer sur ce marché difficile, qui n'est pas nécessairement favorable aux expériences de longue durée.
"La mort se fait sentir, il n’a pas de remord, comment le définir ?" Le groupe de rap breton Manau décrivait non sans ironie ce cul-de-sac qu’est l’existence et cette fatalité s’abattant sur l’Homme au crépuscule de sa vie. Impossible de se soustraire à cette condition qui définit tout être vivant et pourtant un Art en particulier offre aux joueurs une échappatoire manette en mains. Le jeu vidéo permet à l’Homme de se moquer ne serait-ce qu’un temps d’une mort adoptant selon les jeux différents visages. La fin est proche. Rejoignons ensemble cette lumière de pixels au bout du tunnel.
Grand Theft Auto III a démocratisé le jeu vidéo en monde ouvert à sa sortie en octobre 2001 et poursuivi le travail entamé par Shenmue un an auparavant bien que ce dernier ne soit pas à proprement parler un Open World, mais une suite d’environnements semi-ouverts. Depuis ces premières incursions sur PlayStation 2 et Dreamcast, les mondes ouverts se sont émancipés et ont commencé à exploiter la puissance encore toute relative des nouvelles plateformes de jeu au point de devenir omniprésent dans une industrie naissante. Depuis ce jour, le monde ouvert se répand comme une traînée de poudre et il est quasiment impossible d’y échapper.
Nintendo sait entretenir sa communauté. Après le succès de la Classic Mini : NES, c'est la version Super Nintendo de la gamme de joujous pour nostalgiques avertis qui s’apprête à débarquer fin septembre, dans un raz-de-marée de cris d’angoisse devant des stocks faméliques. Sans surprise, face à ce nouveau cas de pénurie, les joueurs sont prompts à accuser Nintendo de causer volontairement des ruptures de stocks artificielles en produisant peu, ce qui nous pousse à nous poser des questions. Nintendo est-il aussi sournois que ce que les gens disent ? Voyons cela de plus près.
Ils sont rares les jeux vidéo marquant de leur empreinte une époque. Pokémon GO peut se vanter d’être l’un d’entre eux. De par son concept universel et son accessibilité à toute épreuve, le titre de Niantic Labs et The Pokemon Company a conquis des millions de joueurs à travers le monde malgré l’absence remarquée de certaines fonctionnalités, et amassé une fortune colossale depuis son apparition sur iOS et Android en juillet 2016. Ce spin off mobile a transformé le marché et cet “American Dream” nomade n’est pas près de s’arrêter.
Il y a quelques mois, nous évoquions dans un autre édito les problèmes engendrés par les jeux épisodiques. Plus que par leur format, les aventures narratives proposées par le studio Telltale posent aujourd'hui question sur leur capacité à se renouveler, malgré des qualités narratives et ludiques indéniables. Le studio Californien serait-il à court d'idées ?
Par bien des aspects, les joueurs de jeux vidéo sont de curieuses créatures. Régulièrement, ils peuvent être sans pitié avec certains titres, en se montrant très exigeants face à ce qu'on leur propose. Ce qui est une bonne chose puisque cela tire l'industrie vers le haut : les éditeurs craignent leurs réactions et font absolument tout ce qui est en leur pouvoir pour éviter le bad-buzz. Pourtant, par moments, ces mêmes joueurs s’oublient et c’est tout ce petit monde qui subitement se met à graviter autour de la dernière curiosité à la mode. Comme récemment, avec le sympathique PlayerUnknown's Battleground.
Qu’il semble lointain le temps des files d’attente défiant l’horizon devant un Micromania, une FNAC ou feu un Score Game dans l’espoir d’obtenir le dernier exemplaire du Graal vidéoludique du moment. Les mœurs ont changé, tout comme les habitudes de consommation des joueurs qui privilégient désormais la simplicité et l’immédiateté. Autrefois seule alternative sur un marché 100% physique, la boîte a laissé place petit à petit aux versions dématérialisées qui se sont imposées au fil des années aux yeux des consommateurs et des industriels. Quand bien même, les versions physiques sont-elles vouées à disparaître ? Voici quelques éléments de réponse.
Les développeurs passent des semaines à les chasser et pourtant même les plus grands jeux y ont droit : les bugs et autres erreurs de programmation font partie intégrante du jeu vidéo. Mais si dans 99% des cas ils sont un problème, une infime partie d'entre eux sont appréciés et même chéris, et certains ont même drastiquement fait avancer le secteur. Vous ne savez pas tout ce que vous devez aux bugs ? Vous allez le découvrir !
Depuis ses balbutiements à la fin des années 70’s, le jeu vidéo a toujours puisé dans ce qui l'entoure pour enrichir l’expérience proposée. Que ce soit au contact des autres médias - littérature, cinéma, comics, mangas, ...- ou au contact de ses congénères, un jeu vidéo s’inspire, s’adapte, repompe, copie-colle sans relâche sans pour autant manquer de créativité. L’imagination des créatifs ne sera pas remise en cause dans les lignes qui vont suivre, mais ce jeune média possède la capacité de se fondre dans son environnement parfois par opportunisme, parfois par nécessité, parfois par envie, et élève le mimétisme au rang d’art.
PlayStation contre Xbox, FIFA contre PES, jeux japonais contre productions occidentales... Le jeu vidéo aime l'affrontement et ne manque jamais de ressources pour s'inventer de nouveaux duels enflammés, afin que vous puissiez vous écharper joyeusement par messages interposés. L'un des plus forts oppose depuis de longues années les adeptes de l'école du gameplay à ceux d'expériences narratives à la prise en main minimaliste, un phénomène accentué par la prolifération de ces derniers durant la dernière décennie. Un jeu vidéo « sans gameplay » ou presque est-il vraiment moins légitime qu'un autre quand vient le moment de le définir ou non comme une production vidéoludique ?
S'il a notamment permis de concrétiser manette en main notre vieux fantasme d'amateurs de films d'espionnage, le jeu d'infiltration ne reste aujourd'hui considéré que comme un sous-genre au sein de notre média. Une classification certes plus sémantique qu'idéologique, mais témoignant du manque de reconnaissance d'un style de jeu qui mériterait pourtant plus souvent d'attirer les regards.
Confidentielles avant l’émergence du streaming, les conférences tenues à l’E3 se sont professionnalisées au fil du temps. A l’image d’un secteur où les enjeux croissent quasi exponentiellement, elles ont progressivement muté, recensant jusqu’à plusieurs centaines de milliers de spectateurs dans le monde entier. Scrutées et analysées, elles cristallisent les critiques de joueurs souvent déçus par le format, le contenu, le ton, ou tout ça à la fois. Retour sur un exercice aux allures de mission impossible.
Avez-vous déjà réfléchi à votre manière de jouer aujourd'hui, par rapport à vos premières expériences vidéoludiques ? Si faire son introspection n'est jamais une mauvaise idée, une chose est sûre : notre façon de jouer évolue et le passage à l'âge adulte a un impact fondamental sur notre sens du gaming. Pour le meilleur et pour le pire.
Quand le online s'est invité sur PC et consoles puis démocratisé au milieu des années 2000, nous n'imaginions sans doute pas qu'en 2017, il aurait autant influencé notre loisir favori. Multiplication des contenus téléchargeables, développement de l'eSport, transformation des consoles en plates-formes multimédias font aujourd'hui partie de notre quotidien de joueurs, au même titre que l'explosion des modes coopératifs et compétitifs en ligne. Tout le jeu vidéo est occupé par les modes multijoueurs... Tout ? Non ! Car un village peuplé d'irréductibles amateurs de solo résiste encore et toujours à l'envahisseur.
C’est une remarque qui revient régulièrement sur Jeuxvideo.com, dans nos différents espaces de commentaires. Et même un partout sur le web, ou même dans les conversation. « Ce jeu, ce n’est pas une suite, c’est la version 1.5 du premier ! », peut-on lire ici et là. Cette petite phrase anodine, habituellement adressée aux suites de jeux plus ou moins populaires, pose question : pourquoi cette critique ? Que devraient faire les développeurs et éditeurs, pour l’éviter ? Et surtout, l’interrogation la plus essentielle, qu’est-ce qu’une bonne suite, en définitive ?
Si vous vous êtes déjà prêtés au jeu de la dissertation pendant votre cursus scolaire, la maxime peut vous sembler familière : soigner son entrée et sa sortie dans un tel exercice, c'est s'assurer d'une part que la présentation du sujet s'effectue convenablement et d'autre part, que sa conclusion apporte les réponses attendues tout en offrant une porte ouverte. Un point commun peu... commun, justement, avec le jeu vidéo, dont nombre de représentants seraient bien inspirés de soigner plus souvent leurs introductions et conclusions afin de ne pas se faire trop vite oublier.