Derniers tests de jeux vidéo - page 778

Que se passe-t-il lorsque deux animaux dégénérés, victimes d'expérimentations génétiques dans le laboratoire d'une multinationale du nom de Genron, prennent la poudre d'escampette pour retourner à l'état sauvage dont ils sont issus ? Laissez-moi vous dire qu'en plus d'engendrer un chaos susceptible d'ébranler les fondements mêmes de la société Genron, il en résulte une anarchie à se tordre de rire devant les péripéties incroyables de deux êtres enchaînés l'un à l'autre malgré eux, pour le meilleur et pour le pire.

Que se passe-t-il lorsque deux animaux dégénérés, victimes d'expérimentations génétiques dans le laboratoire d'une multinationale du nom de Genron, prennent la poudre d'escampette pour retourner à l'état sauvage dont ils sont issus ? Laissez-moi vous dire qu'en plus d'engendrer un chaos susceptible d'ébranler les fondements mêmes de la société Genron, il en résulte une anarchie à se tordre de rire devant les péripéties incroyables de deux êtres enchaînés l'un à l'autre malgré eux, pour le meilleur et pour le pire.

Remake d'un antique titre Amiga des années 1980, Robin Hood : Defender of the Crown nous replonge dans l'Angleterre du XIIème siècle pour un soft que l'on pourrait décrire comme étant un mélange entre stratégie tour par tour, temps réel et jeu d'action. Oui, cela peut paraître bizarre dit comme cela, mais c'est pourtant bien ce que propose le titre de Cinemaware.

Commençons tout d'abord par la définition du Puyo, qui est celle-ci : Être à la consistance gélatineuse, de la famille des flanidés, très malléable, et disposant de capacités d'adaptation extraordinaires. Sa vie sociale s'avère quant à elle fort particulière. Demeurant essentiellement avec ses congénères, il ne peut entrer en contact direct qu'avec ceux de couleur analogue à la sienne. Discret et peureux, il disparaît lors de grandes concentrations.

J'avais fermé les yeux depuis un temps qui me paraissait une éternité dans l'attente de sa venue. Je ne savais pas ce que c'était, ni où c'était, mais je savais que c'était là, quelque part, et que ça voulait me tuer. Quand j'ai entendu le bruit de la poignée de la porte j'ai souhaité mourir d'effroi plutôt que de devoir lever les yeux sur la menace qui s'avançait vers moi. J'avais éteint ma lampe-torche et retenu ma respiration depuis de longues minutes déjà, mais ça n'avait pas suffit pour me rendre invisible. J'étais cachée derrière je ne sais quoi et il fallait que je sache. J'ai dû recourir à la Vision pour savoir si l'être qui me cherchait était sur le point de me trouver. J'ai alors entendu le rythme saccadé de ses gémissements et j'ai vu à travers ses yeux une forme tremblante terrée dans l'ombre qui allait recevoir un coup de pioche mortel sur la nuque. C'était moi.

"Viens ici que je te Sonic la gueule", "Sonic toi-même", "C'est à moi que tu Sonic ?!". Voici quelques expressions très tendances rien que pour toi jeune user. Et bien sache toutes ces belles expressions se retrouvent dans Sonic Battle, un soft qui claque, un titre de la Sega Team qui déchire, bref de la bebom comme ce n'est pas permis.

C'est fait ! Et oui, le grand Deus Ex a enfin une suite. Ce qu'il faut savoir c'est que beaucoup de joueurs vouent un véritable culte au titre de Ion Storm, et ce, sur tous les supports sur lesquels il est paru : PC, Playstation 2 et Mac. Ce deuxième opus a donc une mission difficile : être encore meilleur que son prédécesseur. Hélas, nous allons voir que c'est loin d'être le cas.

Dans le coeur de nombreux joueurs, Deus Ex occupe une place prépondérante. Véritable jeu culte qui fut à sa sortie une révolution, sa suite se devait d'être grandiose et aura généré une attente éprouvante. Trêve de bavardage, Warren Spector a-t-il tenu ses promesses ?

Avec Pitfall, c'est tout une partie de l'histoire du jeu qui revient sur le devant de la scène, particulièrement sur GBA, la machine pour nostalgiques. Mais si en son temps, Pitfall était un must en matière de plates-formes, force est de constater que de nos jours, ce remake n'est qu'un titre de plus sur la portable de Nintendo.

Un jeu mettant en avant la présence de lunettes 3D incluses dans le packaging, et bien je ne sais pourquoi mais on a tendance à s'en méfier. Un titre misant sur la franchise de Spy Kids, et bien je ne sais pourquoi mais on a encore plus tendance à s'en méfier. Et quand vous êtes devant un jeu qui combine les deux aspects, autant dire que la défenestration instinctive est de rigueur.

Se situant à la croisée des chemins d'univers Mad Maxien, Fantasy et SF, BiosFear vous déroutera sûrement lors de votre première approche. Mais si le titre de Nako Interactive a de quoi surprendre, la surprise n'est pas nécessairement des plus positives. MMORPG disponible uniquement par le biais du net, Tiscali (l'éditeur du projet) nous invite donc dans un monde pour le moins singulier déjà peuplé par des centaines de joueurs du monde entier.

Fisherman's Challenge, Lake Masters EX et maintenant Mark Davis Pro Bass Challenge, mais on va finir par être noyé (arf...) sous les jeux de pêche ma parole ! Et attention, car ici, ce n'est pas n'importe quel type de pêche qui vous attend mais bien de la pêche à la perche.

Pourquoi faut-il que j'allume systématiquement ma télé le samedi matin quand je prends mon p'tit dèj ? A cause de cette mauvaise habitude, je me retrouve le seul de la rédac à connaître la série Lizzie McGuire, du coup, c'est moi qui me tape le jeu sur GBA. Rah, c'est trop injuste ! Comment vais-je bien pouvoir apprécier cette cartouche, je ne suis même pas une fille moi !

Et de deux ! Trials of Atlantis est en effet la seconde extension payante de Dark Age of Camelot. Preuve s'il en est du succès croissant du titre de Mythic Entertainment devenu au fil des mois le jeu culte que l'on connaît. Au vu de la richesse du soft original, on pourrait se demander ce que peut bien apporter cet add-on. Et bien c'est ce que nous allons voir maintenant.

Ce Dynasty Warriors 4 Xtreme Legends part d'un concept assez paradoxal (qui est de faire du neuf avec du vieux) ou pour le moins tendancieux. Il est indéniable en effet que la série de Koei, et ce depuis le premier épisode, a réussi à allier à merveille action de masse tout en intégrant de légères (mais alors très légères) données de stratégie. En parallèle de cette qualité inhérente à chaque épisode, le point négatif a toujours été l'absence de différence (ou du moins d'évolution notable) entre chaque segment. Aujourd'hui, Koei passe à l'étape suivante en sortant ce DW4 Xtreme Legends qui est à prendre non pas comme un nouvel opus mais comme un add-on du 4eme épisode.

Dans la longue liste des inspirations enfantées par les muses du marketing aux éditeurs de jeux, il y aura au moins une chose qui ne leur viendra jamais à l'esprit, ce sont les Lego... Attendez, je viens d'avoir la confirmation que cela a été fait de manière outrancière, sous le couvert d'une appellation mystérieuse : Bionicle. Mais ce qu'on peut se dire, c'est qu'au moins, les voitures miniatures Hot Wheels n'y auront pas droit... Je n'ai rien dit. Mais où s'arrêteront t-ils ?

La célèbre marque de petites voitures entend bien franchir un nouveau cap en envahissant notre univers vidéoludique. Du coup, les retrouver sur GBA n'est pas étonnant en soi même si on doutera de l'intérêt d'un tel titre. Malheureusement, à mesure qu'on avancera dans le jeu, et accessoirement sur les circuits, cette impression se confirmera.

Commençons tout d'abord par la définition du Puyo, qui est celle-ci : Être à la consistance gélatineuse, de la famille des flanidés, très malléable, et disposant de capacités d'adaptation extraordinaires. Sa vie sociale s'avère quant à elle fort particulière. Demeurant essentiellement avec ses congénères, il ne peut entrer en contact direct qu'avec ceux de couleur analogue à la sienne. Discret et peureux, il disparaît lors de grandes concentrations.

Qui n'a jamais rêvé d'être un ours ? Bon beaucoup de monde... Mince mon accroche commence mal. Reprenons. Dernier né des studios de l'oncle Walt, "Frère Des Ours" est également le renouveau du long métrage animé dessiné à la main. Du moins chez Disney. Nous contant les aventures de Koda et Kenai, cette fable écologique se voit naturellement déclinée en jeu vidéo. Connaissant les portages de cette espèce, un insidieux doute fait son entrée. Est-ce justifié ?

Gadgets, armes, course poursuites et James Bond Girls, telle est la recette indémodable de James Bond, aussi bien au cinéma que dans nos chers loisirs. Une fois de plus l'agent 007 nous revient mais bien décidé à faire oublier le peu reluisant Nightfire. Objectif pour ce Quitte Ou Double qui prend les traits d'un jeu d'action de fort bonne facture, qui plus est très fidèle à sa licence.