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Note
au moins 18au moins 16au moins 14au moins 12au moins 10inférieure à 10
Date
moins de 1 semainemoins de 1 moismoins de 3 moismoins de 6 moismoins de 1 anmoins de 24h
Mode
Jouable en soloMulti en ligneMulti en coopératifMulti en localMulti sur le même écranMulti en compétitif
Après les jeux utilisant le nom du pilote Colin McRae, voilà que déboule un autre grand du sport auto dans le monde impitoyable des jeux vidéo : Richard Burns. Ce pilote a commencé sa carrière en WRC au volant d'une Mitsubishi, puis c'est avec une Subaru qu'il gagna le championnat du monde des rallyes en 2001. Mais le titre d'un jeu ne suffit évidemment pas à en faire un hit et en l'espèce, le soft de SCi Games reste bien en deçà de ce que l'on est en droit d'attendre aujourd'hui.
Alors que Zoo Tycoon se prépare à faire son come back, d'autres petits futés tentent eux aussi de profiter de la manne de la gestion de parcs animaliers. Zoo Empire en l'occurrence reprend à son compte la formule et rappelle curieusement un certain Wildlife Park sorti il y a quelques mois.
Premier jeu de la société française Hydravision, Obscure compte bien mettre son petit grain de sable dans le petit monde du survival horror sur PC. Face à de grands noms comme Silent Hill, il mise sur son ambiance très particulière inspirée de séries et de films comme Buffy ou encore The Faculty pour séduire. Et le pire, c'est qu'il y arrive très bien !
Certains éditeurs ont décidé de continuer à se foutre du monde en inondant les bacs d'immondices répugnantes dont ils justifient l'insultante présence par un prix soit-disant adapté. Alors là je m'excuse, mais 20 euros pour un tel tas d'ordures, c'est vraiment une arnaque comme on en voit rarement.
La série des Digimon étant quasiment aussi plébiscitée que son illustre modèle, Pokemon, une multitude de titres commence à tirer partie de la franchise. Si le dernier en date sur GBA, Digimon Racing, marchait sur les plates-bandes de Mario Kart, Digimon Battle Spirit 2 revient à cette bonne vieille baston pour un jeu dont on fait malheureusement bien trop rapidement le tour.
Nintendo a mis plus d'un an pour mettre au point la version GameCube tant attendue de l'incroyable Wario Ware. Un an pour sortir un jeu identique à la version GBA, avec comme seule nouveauté un mode multijoueur inédit qui, certes, relance quelque peu l'intérêt du soft, mais qui ne suffit pas à dissiper la déception.
Que diriez-vous d'aider le juge Gooka à récupérer son fils et sauver sa femme d'un mal inconnu ? Ca vous dit ? Et bien bienvenue dans Gooka : Le Mystère de Janatris, un jeu heroic fantasy où le héros dispose de pouvoirs télépathiques et peut entrer dans les rêves des gens. Si ce scénario vous dit quelque chose, c'est normal car le jeu est inspiré du livre Gooka et Yorimar de Vlado Risa. Hélas, nous allons voir que c'est une bien mauvaise adaptation de l'oeuvre littéraire.
Dans les étendues glacées et silencieuses de l'espace, aucune fluctuation ne semblait déranger l'ordre serein de la continuité temporelle. Mais ce semblant d'aplanissement paisible n'était qu'un voile sombre masquant les aspérités purulentes d'un monde sur le déclin. Le système Théophilus autrefois plongé dans une mer de sang suite aux massacres perpétrés par une race d'extraterrestre barbare, émerge encore faiblement de ses anciennes blessures. Quittant Charybde pour rejoindre Scylla, cet ensemble interplanétaire se voit à nouveau aujourd'hui agressé par La Menace, race dominatrice composée de créatures belliqueuses. Il n'appartient alors qu'à vous, Sho, héros malmené, de sauvegarder les acquis des êtres humains.
Cette fois c'est sûr, la N-Gage a franchi le cap de l'adolescence. Impossible en effet de traiter une console avec respect tant que celle-ci n'a pas surmonté le rituel du passage à l'âge adulte, celui qui consiste à héberger l'un des squatters les plus anciens de l'ère vidéoludique, à savoir Bomberman. Simple parasite ou justicier charismatique, le personnage emblématique d'Hudson n'a pas encore dit son dernier mot.
"Tiens et si on faisait un Ghost Recon futuriste ?" Il ne faut pas plus d'une phrase de cet acabit pour donner naissance à un jeu. Après la difficulté, c'est la pratique, parce que les idées c'est bien mais ça nourrit pas son développeur. Seulement sans vouloir être cruel, ça m'étonnerait que ce Alpha Black Zero subvienne aux besoins de ses créateurs.
Dernier bébé de Digital Reality (Afrika Korps VS Desert Rats...), D-Day a pour ambition de nous plonger dans les terribles combats qui ont eu lieu il y a de cela une soixantaine d'années en Normandie, et plus précisément sur la célèbre plage d'Omaha. La campagne solo du jeu vous permet en effet de participer à ce moment clé de la seconde guerre mondiale.
Dans la grande course aux jeux de F1, mieux vaut avoir les reins, voire les freins solides, pour espérer passer la ligne d'arrivée sans encombres. Alors que la série des Formula 1 y va de sa petite réactualisation chaque année, on voit parfois fleurir en parallèle de nouveaux titres essayant de prendre l'aspiration des plus grands pour dépasser ni vu, ni connu, les premiers du peloton. Dans le cas présent, Formula Challenge aurait mieux fait de réviser ses réglages et de prendre le temps de faire quelques tours de pistes avant de se lancer dans la bataille.
Tout semblait s'évanouir dans une opaque réalité oscillante, les bribes du monde sensible me revenaient par le biais de chocs incessants, violents retour vers un passé glauque et incertain. L'espace d'un instant il me sembla que ma capacité de distinction naturelle revenait à moi. Des corps jonchaient le sol, statues mimant d'atroces douleurs. Je ne compris pas au début le sens de tout cela. Mais ma raison m'ouvrit les yeux et me montra tel que je devais être maintenant. Pourquoi tant de colère m'envahissait ? Qui était ce John Vattic ?
Tout semblait s'évanouir dans une opaque réalité oscillante, les bribes du monde sensible me revenaient par le biais de chocs incessants, violents retour vers un passé glauque et incertain. L'espace d'un instant il me sembla que ma capacité de distinction naturelle revenait à moi. Des corps jonchaient le sol, statues mimant d'atroces douleurs. Je ne compris pas au début le sens de tout cela. Mais ma raison m'ouvrit les yeux et me montra tel que je devais être maintenant. Pourquoi tant de colère m'envahissait ? Qui était ce John Vattic ?
Tout semblait s'évanouir dans une opaque réalité oscillante, les bribes du monde sensible me revenaient par le biais de chocs incessants, violents retour vers un passé glauque et incertain. L'espace d'un instant il me sembla que ma capacité de distinction naturelle revenait à moi. Des corps jonchaient le sol, statues mimant d'atroces douleurs. Je ne compris pas au début le sens de tout cela. Mais ma raison m'ouvrit les yeux et me montra tel que je devais être maintenant. Pourquoi tant de colère m'envahissait ? Qui était ce John Vattic ?
Grand raconteur de faits historiques, le studio japonais Koei s'est spécialisé durant ces dernières années dans la fresque médiévale chinoise, permettant au moins érudit d'entre nous de se cultiver tout en abattant des centaines d'ennemis. Respectant dans la mesure du possible les trames déchirantes émaillant les années de guerre de cette civilisation imposante, la série des Dynasty Warriors a su s'imposer dans le coeur de nombreux guerriers en herbe. Ayant sans doute épuisé le filon d'Asie Centrale, la société se décide de se focaliser sur un autre pays, le Japon, plongé aux temps obscures des samurais.
Avec Ghost Recon : Jungle Storm, la N-Gage s'offre son premier First Person Shooter tactique, et pas n'importe lequel puisqu'il a pour lui deux atouts de poids : l'appartenance à une série respectée par les amateurs du genre et une qualité globale évidente.
Après le très fun Pool Paradise, voilà que le billard revient sur le devant de la scène avec World Championship Snooker 2004. On sort complètement du cadre délirant que l'on avait connu cet été avec le jeu de Nobilis pour nous plonger dans le sérieux des tournois professionnels.
Le renouveau du Survival Horror à la française ne semblant pas passer par Darkworks, qui nous avait pourtant pondu il y a quelques années un excellent Alone In The Dark : The New Nightmare (dont on attend toujours une hypothétique suite), il ne restait plus alors qu'à se tourner vers les deux sagas phares du marché, Resident Evil et Silent Hill, qui se dotent, elles, de nouveaux segments à un rythme régulier, ceci n'induisant pas nécessairement un manque de qualité. Mais alors qu'on pouvait s'adonner tranquillement aux joies de la peur numérique grâce à Capcom, Konami ou Tecmo, les p'tits français d'Hydravision scrutaient tranquillement cet état de faits depuis leur quartier général, où se tramait en secret une riposte fulgurante grâce aux lumières de développeurs, scénaristes et graphistes qui émanaient pourtant du chaos total…pour le bonheur des joueurs…et le malheur de nos avatars pixélisés.
La Ferme Se Rebelle, le dernier film en date des studios Disney, a connu un accueil très mitigé en salles, autant par la critique que par les spectateurs. Qu'en sera-t-il pour son adaptation GBA ? C'est exactement ce que nous allons voir tout de suite.