Derniers tests de jeux vidéo - page 754

En développement depuis un petit bout de temps, mais étrangement assez discret dans chaque salon de presse, Evil Genius est fin prêt à nous faire goûter au côté obscur de la force. Avec lui, on pourra enfin comprendre les motivations qui guident les grands génies du mal tel que le Dr Denfer.

Après avoir fait un gros flop sur Xbox, Shadow Ops aurait pu s'abstenir de venir faire le mariole sur PC. Sans surprise, le titre ne fait pas une prestation mirobolante au pays où le FPS est roi. Linéaire et sans surprise, Shadow Ops se montre plus que dispensable.

Eté 2001, Peter Molyneux annonçait un nouveau projet de RPG censé révolutionner le genre. Son nom : Project Ego. Trois ans plus tard, le jeu sort enfin sur Xbox sous le nom de Fable, et l'on constate que la plupart des promesses les plus ambitieuses faites par les développeurs n'ont pas été tenues. Cela dit, Fable n'en demeure pas moins un très bon RPG, certes pas révolutionnaire mais suffisamment consistant et novateur pour se dire que ça valait tout de même le coup d'attendre.

Le diptyque filmique (comme ça sonne bien !) de Stephen Sommers ayant eu un succès considérable, c'est donc logiquement que nous avons vu fleurir une série animée basée sur les personnages du remake de La Momie. S'attardant sur les aventures de la famille O'Connell, le dessin animé, s'il n'atteint pas des cimes de qualité, est plaisant à parcourir étant bien rythmé et non dénué d'humour. Voici donc l'adaptation de ladite série sur PS2, qui ne fait pas vraiment honneur au matériau de base.

Activision poursuit son bout de chemin aux côtés de Dreamworks. Après avoir porté sur consoles (mais aussi PC malheureusement) l'ogre vert Shrek, on plonge ce coup-ci dans les profondeurs sous-marines de Gang De Requins.

Activision poursuit son bout de chemin aux côtés de Dreamworks. Après avoir porté sur consoles (mais aussi PC malheureusement) l'ogre vert Shrek, on plonge ce coup-ci dans les profondeurs sous-marines de Gang De Requins.

Activision poursuit son bout de chemin aux côtés de Dreamworks. Après avoir porté sur consoles (mais aussi PC malheureusement) l'ogre vert Shrek, on plonge ce coup-ci dans les profondeurs sous-marines de Gang De Requins.

Hip Interactive vous invite à partir en villégiature au pays des Pharaons et des momies maudites. Inspiré de la série animée elle-même dérivée des films gravitant autour du nanar La Momie, le jeu que voilà n'affiche aucune prétention, ce qui le sauve de la noyade d'ailleurs, pour 20 euros on peut être compréhensif.

A l'occasion de la sortie du film dans les salles, Dreamworks Interactive nous invite à prolonger la découverte de l'univers sous-marin de Gang de Requins au moyen du jeu vidéo. Adapté sur tous les supports du moment, le titre se décline notamment en une version PC qui se démarque de ses congénères par bien des aspects. C'est justement à celle-ci que nous allons nous intéresser ici.

Pour celles et ceux qui ne l'auraient pas noté, la fin de l'année 2004 sera marquée par la saga Star Wars. Pour profiter de l'événement quoi de mieux qu'un petit jeu retraçant lui aussi les grands moments des épisodes IV, V et VI ?! Pour la peine, c'est donc la GBA qui se dote d'un épisode "anniversaire" dans lequel vous allez pouvoir revivre les instants les plus importants de la vie de Luke Skywalker, rien que ça.

Retrouver la série NHL, c'est un peu comme reprendre des nouvelles d'un vieil ami que l'on n'aurait pas vu depuis longtemps. On lui demande comment il va puis quel peut bien être son secret pour ne pas changer au fil des ans. L'autre nous répond qu'il n'y a pas de secret, et avoue avoir pourtant un peu changé depuis la dernière fois. Il nous propose alors d'aller prendre un verre, et de rattraper le temps perdu en bavardant de ce qu'il y a de neuf dans sa vie.

Chez Electronic Arts, automne rime avec golf, et c'est sans grande surprise que nous retrouvons le célèbre Tiger Woods, champion émérite de cette noble discipline, dans l'édition 2005 de Tiger Woods PGA Tour. Ce qui est bien avec la plupart des titres EA Sports, c'est qu'on peut quasiment réactualiser nos accroches à chaque nouvel opus.

Après avoir visité la seconde guerre mondiale dans tous les sens, le nouveau dada des développeurs, c'est le Vietnam. Vietcong avait d'ailleurs plus ou moins ouvert le bal sur PC. Plus d'un an après, c'est au tour de la Xbox de goûter aux promenades en forêt mais pas question de ramasser les champignons, ils ont tendance à vous péter à la face.

Après avoir subi les agressions de Neo Arcadia durant de nombreuses années, éliminé celui qu'il espérait être son ami, et rencontré les dirigeants élitistes d'un monde sur le déclin, Zero pensait avoir mis un coup d'arrêt définitif à ses démons. Néanmoins les spectres de la guerre des Elfes ressurgirent des profondeurs de ces terres arides. Un vaisseau spatial fut découvert récemment dans une région enneigée. Présent en ces lieux à l'insu de tous, il abritait une force semblable à celle du Dark Elf. Mais ce que le héros légendaire découvrit était bien pire que cela.

Vous le savez tous, Action Man est le plus grand de tous les zéros... A moins que ce ne soit des héros, bref, ce n'est pas important. Si on connaît l'illustre bonhomme en plastique via ses péripéties dans les rayonnages des magasins de jouets, il ne s'est jamais vraiment démarqué dans l'univers vidéoludique. Ca tombe bien puisque Atari compte remédier à cet état de faits grâce à Action Man : Robot Atak sur GBA.

Ascaron et les bateaux c'est une grande histoire d'amour, après s'être cloné eux-mêmes dans Tortuga, les développeurs reviennent avec la suite de Port Royale. Pareil mais en pas vraiment mieux en fait. Interface toujours aussi lourdaude, quasiment pas de nouveauté et moteur graphique à l'ouest, dur, dur de vivre aux Caraïbes quand on a la peau sensible au soleil.

Dans le monde morne des jeux de combats à l'intérêt de plus en plus limité, Def Jam Vendetta avait créé une petite brèche où s'était engouffré un vent de fraîcheur. Plaçant ses espoirs dans le genre peu porteur du catch, Electronic Arts était parvenu quasi miraculeusement à renouveler l'approche réduite de ce sport en proposant nombre de petits détails annexes fort passionnants. Il vous reste donc, afin de découvrir la suite du petit bijou d'EA, à vous coiffer d'une casquette, d'une chaîne en or et d'un maillot de basketteur. Vous ferez peut-être peur aux gens, mais serez plongé dans "Fight For NY".

Dans le monde morne des jeux de combats à l'intérêt de plus en plus limité, Def Jam Vendetta avait créé une petite brèche où s'était engouffré un vent de fraîcheur. Plaçant ses espoirs dans le genre peu porteur du catch, Electronic Arts était parvenu quasi miraculeusement à renouveler l'approche réduite de ce sport en proposant nombre de petits détails annexes fort passionnants. Il vous reste donc, afin de découvrir la suite du petit bijou d'EA, à vous coiffer d'une casquette, d'une chaîne en or et d'un maillot de basketteur. Vous ferez peut-être peur aux gens, mais serez plongé dans "Fight For NY".

On a presque failli s'inquiéter ! Treize mois se sont à peine écoulés depuis la sortie des versions Saphir et Rubis que Nintendo nous propose déjà d'enfiler à nouveau notre costume de dresseur pour partir à la chasse aux Pokémon. Un voyage qui a tout de même un goût de déjà vu puisqu'il s'agit avant tout d'un remake des toutes premières versions de Pokémon sorties sur Gameboy monochrome.

On a presque failli s'inquiéter ! Treize mois se sont à peine écoulés depuis la sortie des versions Saphir et Rubis que Nintendo nous propose déjà d'enfiler à nouveau notre costume de dresseur pour partir à la chasse aux Pokémon. Un voyage qui a tout de même un goût de déjà vu puisqu'il s'agit avant tout d'un remake des toutes premières versions de Pokémon sorties sur Gameboy monochrome.