Derniers tests de jeux vidéo - page 749

Asseyez-vous bien au fond de votre siège, les genoux bien serrés afin que la barre de sécurité puisse se fermer correctement. Tout le monde est prêt ? Alors en route pour les attractions les plus démentielles qui n'aient jamais existé dans un parc à thème. La nacelle de Rollercoaster Tycoon 3 prend son départ et gigote dans tous les sens, toute fière d'être maintenant en 3D. A coups de loopings, de virages surélevés, et de force G dans l'estomac, le jeu d'Atari nous conduit tout droit vers le septième ciel du Grand 8.

Récemment nous faisions une petit retour sur le logithèque du N-Gage et je ne sais pas si vous vous rendez compte mais en un an d'existence, la console de Nokia ne possède en tout et pour tout que 24 jeux sur le territoire européen. Je veux bien que la firme privilégie la qualité au détriment de la quantité mais ici le constat s'avère tout de même désastreux sachant que sur les 24 titres de la machine, plusieurs d'entre-eux sont loin d'être des chefs-d'oeuvre impérissables. En espérant que la tendance s'inverse, surtout avec l'arrivée de la PSP et la DS, accueillons donc comme il se doit le premier jeu de courses de la console, Asphalt : Urban GT. Et ça tombe bien, le jeu en question fait partie des meilleurs titres de la console.

Requiem of Hell essuie les plâtres puisqu'il s'agit en effet du premier jeu de rôle sur N-Gage. Et ce coup d'essai a bien failli se transformer en coup de maître car le jeu a bien des atouts à faire valoir. Hélas, il n'est pas dénué de défauts qui, fatalement, font baisser sa note finale.

Les jeux de courses ne sont plus ce qu'ils étaient. Aujourd'hui, pas question d'arpenter le bitume si les pilotes ne prennent pas un maximum de risques et si les véhicules ne volent pas en éclats à la fin de la course. Dans l'esprit d'un Burnout 3, on découvre avec Flat Out une autre facette du jeu de courses arcade et le résultat ne laissera personne indifférent.

Les jeux de courses ne sont plus ce qu'ils étaient. Aujourd'hui, pas question d'arpenter le bitume si les pilotes ne prennent pas un maximum de risques et si les véhicules ne volent pas en éclats à la fin de la course. Dans l'esprit d'un Burnout 3, on découvre avec Flat Out une autre facette du jeu de courses arcade et le résultat ne laissera personne indifférent.

Ils sont malins chez Rockstar. Les premiers GTA n'avaient pas fait l'unanimité, qu'à cela ne tienne. Aujourd'hui le succès de la série est indéniable, largement suffisant pour nous refourguer en douce un nouvel épisode semblable au début de la série. Bizarrement, on accroche plutôt pas mal.

Alors que Konami a déjà bien installé sa position sur le créneau des duels de cartes en éditant un grand nombre de titres Yu-Gi-Oh! sur consoles, Atari se lance dans la course avec Duel Masters. Il s'agit là encore de l'adaptation d'une série animée en provenance du Japon, et l'invasion annoncée passe notamment par la GBA.

Nintendo a visiblement trouvé la recette de la multiplication des pains façon Ham-Ham. Avec déjà trois épisodes disponibles sur Gameboy Advance, Hamtaro n'est pas prêt de lâcher la console portable de Nintendo, au grand dam des allergiques aux mangas "kawai" (autrement dit mignons, naïfs et colorés).

Et bien ! Ceux qui apprécient les jeux de management sont gâtés en ce moment ! Entre les LFP Manager 2005, Roger Lemerre 2005 et autres L'entraîneur 5, on peut dire que ce genre de soft attire les éditeurs qui se livrent une bataille acharnée pour séduire le joueur avide de tableaux, de statistiques et de coupes diverses et variées. Pour s'imposer, Sega compte bien sur son Football Manager 2005 qui dispose, comme nous allons le voir maintenant de solides atouts.

Moi c'est Stuart Little, je ne sais pas si vous vous rappelez de moi mais j'étais encore une star du cinéma il y a quelques temps. En l'espace de deux films, le tout Hollywood me connaissait, m'adulait. De Niro, Pacino, Tom Hanks, Spielberg, Tarantino, Christophe Lambert, tout le monde recherchait mon contact, à moi une simple souris ! On m'envoyait de l'Emmental gratuit, des DVD de Tom & Jerry, les petites souris se frisaient les moustaches pour avoir la chance de passer une nuit sous la tapette avec moi, en un mot c'était le rêve. Et puis plus rien. Du jour au lendemain, plus de CheeseParty, plus d'actrices criant en me voyant, plus de chats avec lesquels chater, le néant. Je sombrais du jour au lendemain dans l'oubli le plus total jusqu'au jour où je reçus un coup de fil de la mairie de Walnuts City.

Les jeux EyeToy se tirent un peu la bourre, et se lancent mutuellement des défis afin de déterminer lequel sera le plus original et le plus riche en contenu. Si EyeToy : Play avait lancé les hostilités en accompagnant la sortie de la caméra, il s'est vu depuis devancé par Sega Superstars. Aujourd'hui, le roi fait son retour et montre à tout le monde qui est le patron.

Deux genres ludiques dominent depuis des années la scène du jeu sur PC : le STR et le FPS, tous deux misant énormément sur leur aspect multijoueur. Pour la première fois, un développeur tente de mêler réellement les deux, essai innovant et sympathique mais qui comme beaucoup de "première fois", n'est pas la meilleure.

Généralement, lorsqu'on veut se replonger dans un bon souvenir, on sort un album photos ou on visionne le petit film de famille tourné par tonton Gérard. Chez Sierra, ce n'est pas comme ça que ça marche. Pour nous rendre nostalgiques de la série Leisure Suit Larry, on nous sort un tout nouveau jeu. Ah oui, c'était vraiment bien Larry... avant.

Adulé par les joueurs, décrié par les détracteurs du jeux vidéo qui en font l'apôtre du Malin, GTA ne laisse personne indifférent. Et pour cause, entre le politiquement incorrect et le gameplay aussi ouvert qu'une fleur à la fin du printemps, Grand Theft Auto fait tout pour se maintenir au sommet.

Soumise aux vexations des hommes et minée par des années de guerres et de mépris, Tokyo, dont seules les hautes tours émergent d'ondes de décombres, regarde ses enfants d'un oeil triste. En cette année 2049, la mégalopole n'est plus qu'un labyrinthe, emmurant les derniers espoirs d'une population aux prises avec les créatures d'A.R.M.A, un fabricant d'armes majeur. Ces dernières, expérimentations instables et enragées, sous la coupe de mystérieux ordonnateurs, sèment le chaos, et rongent une société sur le déclin. Mais l'entreprise possède également des outils de destruction biologique à la puissance dévastatrice. Prenant la forme d'êtres humains, ils vont devoir remédier à cette situation désespérée, et découvrir les tenants de cette décadence.

Le plus célèbre des jeux de lettres au monde revient sur nos PC pour un cru 2005 plus riche et plus maniable que le précédent. C'est l'opus de la maturité comme dirait l'autre, et contrairement à beaucoup d'adaptations de jeux de plateau, les développeurs ont vraiment su tirer parti du support et nous offrent un titre certes sobre, mais parfaitement en adéquation avec l'esprit du Scrabble.

Conjointement à SNK qui fête les 10 ans de la série The King Of Fighters, Capcom a soufflé l'année dernière les 15 bougies de sa saga star, Street Fighter. Pour l'occasion, la firme japonaise nous a concocté une petite compilation réunissant Hyper Street Fighter II et surtout Street Fighter III : 3rd Strike, sorti uniquement sur Dreamcast. Profitant aujourd'hui de l'option Xbox Live pour dénicher des combattants du monde entier, le titre s'offre donc des allures de pièce incontournable, mais comme on dit, les apparences sont parfois trompeuses.

Je pourrais me contenter de faire un copié-collé de mon accroche de la version GBA des aventures de Tony au pays des skateboards, mais ce serait comme manger un petit déjeuner aux sardines, pas très appétissant. Que vous dire chers amis lecteurs. Que vous retrouvez le légendaire Tony Hawk ? Mais ça vous le savez déjà. Qu'il est possible d'effectuer des figures ? C'est une certitude. De ce fait, je me dois de vous parler de ce qu'il n'y a pas. Donc, vous ne rencontrerez pas des monstres baveux, vous ne pourrez pas saisir d'armes à feu, vous n'aurez pas non plus le droit de conduire une Viper, ni même de rencontre l'illustre Cloud, entre autres interdictions. Mais de toute façon vous n'auriez pas le temps.

Tony Parker réalise un doublé gagnant en s'affichant pour la seconde année consécutive sur la jaquette de NBA Live. Doit-on y voir l'aveu d'une version 2005 trop similaire à l'édition 2004 ? Y a un peu de ça, oui.

Tony Parker réalise un doublé gagnant en s'affichant pour la seconde année consécutive sur la jaquette de NBA Live. Doit-on y voir l'aveu d'une version 2005 trop similaire à l'édition 2004 ? Y a un peu de ça, oui.