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Note
au moins 18au moins 16au moins 14au moins 12au moins 10inférieure à 10
Date
moins de 24hmoins de 1 semainemoins de 1 moismoins de 3 moismoins de 6 moismoins de 1 an
Mode
Jouable en soloMulti en ligneMulti en coopératifMulti en localMulti sur le même écranMulti en compétitif
Vertigo, ce nom ne vous dit rien et pourtant vous connaissez peut-être déjà ce jeu. Son principe est simple, il s'agit de guider une sphère sur des parcours accidentés où la moindre chute peut s'avérer fatale. Il s'agit là d'un concept que des titres tels que Ballance, Incrazyball ou même Super Monkey Ball ont déjà exploité avant lui, mais Vertigo pousse encore plus loin le manque d'originalité. En effet, ce jeu est déjà sorti sur PSP sous le nom de Spinout et sur PS2 sous celui de RealPlay PuzzleSphere.
L'avantage des jeux vidéo, c'est qu'ils permettent souvent de pratiquer les activités les plus salissantes qui soient sans le moindre risque. Et quand on pense à quelque chose de vraiment salissant, le paintball se pose là. Bien conscient du fait que ce sport extrême fait de plus en plus d'adeptes aux Etats-Unis (et ailleurs aussi, mais moins), Activision propose donc aux amateurs de s'envoyer des centaines de billes virtuelles sur la tronche. Hélas, si le jeu pourra éventuellement satisfaire les passionnés les moins regardants, les autres auront bien du mal à se laisser convaincre.
L'avantage des jeux vidéo, c'est qu'ils permettent souvent de pratiquer les activités les plus salissantes qui soient sans le moindre risque. Et quand on pense à quelque chose de vraiment salissant, le paintball se pose là. Bien conscient du fait que ce sport extrême fait de plus en plus d'adeptes aux Etats-Unis (et ailleurs aussi, mais moins), Activision propose donc aux amateurs de s'envoyer des centaines de billes virtuelles sur la tronche. Hélas, si le jeu pourra éventuellement satisfaire les passionnés les moins regardants, les autres auront bien du mal à se laisser convaincre.
L'avantage des jeux vidéo, c'est qu'ils permettent souvent de pratiquer les activités les plus salissantes qui soient sans le moindre risque. Et quand on pense à quelque chose de vraiment salissant, le paintball se pose là. Bien conscient du fait que ce sport extrême fait de plus en plus d'adeptes aux Etats-Unis (et ailleurs aussi, mais moins), Activision propose donc aux amateurs de s'envoyer des centaines de billes virtuelles sur la tronche. Hélas, si le jeu pourra éventuellement satisfaire les passionnés les moins regardants, les autres auront bien du mal à se laisser convaincre.
S'il fallait une preuve que Sega et Nintendo ont enterré la hache de guerre depuis longtemps, il n'y a qu'à regarder le nombre de jeux Sonic sortis sur Wii en l'espace de deux ans. Trois mois seulement après le sympathique Unleashed, voici que déboule Sonic et le Chevalier Noir, qui transporte le petit hérisson bleu au beau milieu des légendes arthuriennes. Hélas, l'insistance avec laquelle la Sonic Team tente d'explorer toutes les voies possibles pour redonner un second souffle à sa mascotte n'a d'égale que sa maladresse. En l'occurrence, Sonic aurait mieux fait de laisser Caliburn plantée dans son rocher.
A la différence de MySims et MySims Kingdom parus ces deux dernières années sur DS, MySims Party ne se présente pas comme une simulation de vie mais bien comme une compilation de mini-jeux pour les plus jeunes. Dégainez vos stylets, la saison des festivals va commencer !
Le retour d'Alerte Rouge a fait son petit effet l'automne passé. Mais EA ne compte pas s'arrêter en si bon chemin. Non content d'avoir offert une belle cure de jouvence à ce grand nom de la stratégie en temps réel, l'éditeur a souhaité poursuivre l'expérience avec une extension, La Révolte.
Suite au succès mondial rencontré par la licence MySims, l'éditeur Electronic Arts nous sert aujourd'hui une compilation de mini-jeux prenant place dans l'univers rose bonbon de ces drôles de personnages à tête cubique. Une tentative pleine de bonnes intentions mais hélas trop peu inspirée pour susciter le consensus.
Soucieux de surfer sur le succès de Grey's Anatomy, Ubi Soft nous propose une adaptation DS quelque peu opportuniste de cette célèbre série TV hospitalière. Pourtant, ce gigantesque roman-photo interactif a le mérite de s'assumer comme tel et de miser sur d'indéniables qualités narratives.
La première extension de World in Conflict est enfin disponible ! Baptisé Soviet Assault, ce nouveau contenu vous permettra bien évidemment de plonger à nouveau dans la Troisième Guerre mondiale en commandant cette fois les troupes soviétiques. Mais pour 15 petits euros de rien du tout, ne vous attendez pas à de nombreuses nouveautés, Soviet Assault ne faisant finalement office que de petit bonus sympathique qui se destine peut-être davantage aux nouveaux venus qu'aux fans de la première heure.
Bien que populaire, la série des Tenchu n'en reste pas moins une série d'infiltration assez atypique capitalisant davantage sur son ambiance que sur ses performances techniques ou son IA. Après un Tenchu Z très moyen sur Xbox 360, c'est au tour de la Wii de servir de terrain d'entraînement à Rikimaru et Ayame, nos deux intrépides combattants de l'ombre qui vont cette fois devoir sauver la princesse Kiku. Un scénario faisant écho à celui du premier volet, certes, mais malgré les apparences, la construction de cet épisode s'avère bien différente de celle de ses aïeuls. Explications.
Il n'y a aucun doute, les vieux jeux vidéo ont la cote. Alors que des éditeurs sans scrupule nous servent des rééditions ou des adaptations de leurs anciens titres, on voit aussi apparaître quelques jeux originaux au design résolument rétro. C'est ainsi que Darwinia nous avait fait découvrir un univers étrangement dépouillé de fioritures et peuplé de créatures en 2D. Deux ans plus tard, Introversion Software nous plonge une nouvelle fois dans ce monde si particulier avec Multiwinia. Vous pourrez constater que les paisibles Darwiniens ont bien changé depuis votre première visite...
Avec son unité de soldats d'élite disposant chacun de capacités spécifiques, on pourrait prendre Elite Force : Unit 77 sur DS pour un clone de Commandos : Derrière les Ennemis. Les premières minutes de jeu suffisent à effacer ces suppositions : on a affaire à un run & gun tout ce qu'il y a de plus basique et de plus bourrin. Un genre en voie de disparition, mais toujours susceptible de délivrer une bonne dose de fun.
Après le puzzle-game mâtiné de jeu de rôle (Puzzle Quest : Challenge of the Warlords), voici le puzzle-game agrémenté d'un zeste de gestion. Jewel Master : Cradle of Rome vous propose en effet de construire une cité antique en assemblant des blocs par groupes de trois.
Après un premier add-on très réussi, la Xbox 360 se dote d'une seconde extension de Tomb Raider Underworld. Surprise, cette fois, il ne s'agit plus d'incarner la belle Lara qui cède ici sa place à son clone revanchard tout entier dévoué à la destruction de la famille Croft. Etonnant non ?
Un an après la sortie remarquée de l'excellent Blade of Fate, Bleach revient sur DS dans une suite soignée qui, n'en faisons pas mystère, comblera de bonheur tous les amateurs de combats en 2D sur DS.
Original, addictif et grisant sur PSP, Lumines surprend son public en débarquant en téléchargement sur le Xbox Live. Disponible pour 1 200 Points Microsoft, soit à peu près 15€, cette version Live! s'inspire en masse du contenu du jeu sur la portable de Sony.
Dégommer des vaisseaux ennemis dans des dogfights endiablés, en voilà une saine activité. Malheureusement, l'exercice se fait bien rare sur PSP. Accueillons donc No Gravity comme il se doit, d'autant que ce nouveau représentant du genre est téléchargeable pour moins d'une dizaine d'euros sur le PlayStation Store.
Suite à une série TV, Mister Bean aura eu droit aux honneurs d'un film dans la droite lignée du show qui l'aura rendu célèbre. Etrange donc qu'on ait attendu aussi longtemps pour pouvoir diriger le truculent personnage campé par Rowan Atkinson d'autant que sa bonhomie et sa légèreté se prêtaient plutôt bien à un exercice vidéoludique. Malheureusement quand on voit le résultat de ce Total Délire, on se dit qu'on aurait bien attendu encore un peu.
Dans la veine d'un 7 Wonders ou d'un Puzzle Quest, 4 Elements est un jeu de réflexion sans prétention qu'il serait pourtant dommage de passer sous silence car il renferme ce petit quelque chose qui fait qu'on s'y attache sans trop savoir pourquoi. En combinant la magie d'un univers féerique et l'attrait d'un bon puzzle-game, ce titre parvient à tirer son épingle du jeu.