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Note
au moins 18au moins 16au moins 14au moins 12au moins 10inférieure à 10
Date
moins de 24hmoins de 1 semainemoins de 1 moismoins de 3 moismoins de 6 moismoins de 1 an
Mode
Jouable en soloMulti en ligneMulti en coopératifMulti en localMulti sur le même écranMulti en compétitif
Un jeu d'action à la troisième personne mixé avec de la plate-forme, le tout prenant vie au sein d'une version alternative d'une Amérique meurtrie par la guerre de Sécession et défigurée par une Révolution Industrielle partie en sucette ? Non mais vous rigolez ? On imagine mal qu'un brainstorming dans la salle de réunion de Blue Omega ait pu déboucher sur un tel résultat. Et pourtant, Damnation existe bel et bien et intègre avec frénésie tous ces éléments. Ah pour sûr, la bestiole est originale, mais cela ne veut pas dire pour autant qu'elle fonctionne.
Un jeu d'action à la troisième personne mixé avec de la plate-forme, le tout prenant vie au sein d'une version alternative d'une Amérique meurtrie par la guerre de Sécession et défigurée par une Révolution Industrielle partie en sucette ? Non mais vous rigolez ? On imagine mal qu'un brainstorming dans la salle de réunion de Blue Omega ait pu déboucher sur un tel résultat. Et pourtant, Damnation existe bel et bien et intègre avec frénésie tous ces éléments. Ah pour sûr, la bestiole est originale, mais cela ne veut pas dire pour autant qu'elle fonctionne.
Un jeu d'action à la troisième personne mixé avec de la plate-forme, le tout prenant vie au sein d'une version alternative d'une Amérique meurtrie par la guerre de Sécession et défigurée par une Révolution Industrielle partie en sucette ? Non mais vous rigolez ? On imagine mal qu'un brainstorming dans la salle de réunion de Blue Omega ait pu déboucher sur un tel résultat. Et pourtant, Damnation existe bel et bien et intègre avec frénésie tous ces éléments. Ah pour sûr, la bestiole est originale, mais cela ne veut pas dire pour autant qu'elle fonctionne.
En 2008, Steven Spielberg effectuait ses premiers pas dans l'univers des jeux vidéo avec Boom Blox, un casse-boîte virtuel au concept aussi simple que réjouissant. Un an plus tard, le célèbre réalisateur et Electronic Arts en améliorent la formule dans Smash Party, une suite à se procurer de toute urgence sur Wii.
De plus en plus d'éditeurs indépendants proposent leurs titres directement sur le net. C'est ainsi de véritables petites pépites qui nous attendent parfois sur les plates-formes de téléchargement. En effet, à défaut de budgets colossaux, ces jeux font souvent preuve d'une inventivité folle. Au vue des quelques bandes-annonces de Plants vs. Zombies, on pouvait se douter que le titre ne manquerait pas d'humour. On ne peut pas dire que l'on soit déçu sur ce plan là mais le jeu s'avère finalement assez classique et ne révolutionne pas le genre du tower defense.
Le temps des machines intelligentes est presque sur nous. Entre les aspirateurs automatiques, les simulacres d'animaux de compagnie et les prototypes de robots capables d'aider les grands-mères dans leur vie de tous les jours, on se dit que la réalité est en train de prendre le pas sur la fiction. Reste qu'on appréciera toujours la sinistre extrapolation que représente la série des Terminator, avec ces robots tueurs, désireux d'exterminer la race de ses créateurs. Alors que le quatrième épisode de la célèbre série s'apprête enfin à déferler dans les salles obscures, Warner se devait de nous servir une bonne grosse adaptation vidéoludique des familles. Hélas...
Le temps des machines intelligentes est presque sur nous. Entre les aspirateurs automatiques, les simulacres d'animaux de compagnie et les prototypes de robots capables d'aider les grands-mères dans leur vie de tous les jours, on se dit que la réalité est en train de prendre le pas sur la fiction. Reste qu'on appréciera toujours la sinistre extrapolation que représente la série des Terminator, avec ces robots tueurs, désireux d'exterminer la race de ses créateurs. Alors que le quatrième épisode de la célèbre série s'apprête enfin à déferler dans les salles obscures, Warner se devait de nous servir une bonne grosse adaptation vidéoludique des familles. Hélas...
Le temps des machines intelligentes est presque sur nous. Entre les aspirateurs automatiques, les simulacres d'animaux de compagnie et les prototypes de robots capables d'aider les grands-mères dans leur vie de tous les jours, on se dit que la réalité est en train de prendre le pas sur la fiction. Reste qu'on appréciera toujours la sinistre extrapolation que représente la série des Terminator, avec ces robots tueurs, désireux d'exterminer la race de ses créateurs. Alors que le quatrième épisode de la célèbre série s'apprête enfin à déferler dans les salles obscures, Warner se devait de nous servir une bonne grosse adaptation vidéoludique des familles. Hélas...
Après Aerosmith et avant Van Halen, c'est Metallica qui se paie l'exclusivité (ou presque) d'un Guitar Hero. Consacré au groupe de thrash métal, ce nouvel opus doit nous faire patienter en attendant Greatest Hits et surtout Guitar Hero V.
Après Aerosmith et avant Van Halen, c'est Metallica qui se paie l'exclusivité (ou presque) d'un Guitar Hero. Consacré au groupe de thrash métal, ce nouvel opus doit nous faire patienter en attendant Greatest Hits et surtout Guitar Hero V.
Original de prime abord, Spectral Force Genesis combine à la fois jeu de rôle, stratégie en temps réel et wargame pour nous proposer ce que ses développeurs appellent "une expérience unique". Un point sur lequel on sera volontiers d'accord mais probablement pas pour les mêmes raisons qu'eux.
Imaginez un gros carré de 120 km de côté. Découpez-le en 19 portions de tailles variables. Combinez plaines, montagnes, lacs, volcans et cratères, mélangez les atmosphères, des plus glaciales aux plus brûlantes, ajoutez-y un soupçon de mini-catastrophes naturelles et vous obtenez le terrain de jeu le plus vaste, le plus périlleux et le plus imprévisible qui soit : Fuel.
Né en 1998 sur PSOne, le personnage de Klonoa avait pris des vacances prolongées pour profiter d'un succès bien mérité. Depuis la sortie du second volet sur PS2, Namco avait en effet laissé la licence à l'abandon, au grand dam des nostalgiques du premier volet. Son retour sur Wii est finalement l'occasion pour tout le monde de (re)découvrir un titre de plates-formes rafraîchissant à souhait.
Jeu d'arcade mythique des années 80, Punch-Out!! a également fait les beaux jours de la NES à une époque où la 3D n'était encore qu'un simple fantasme. 15 ans après son ultime apparition sur Super Nintendo, c'est sur Wii que ce bijou vidéoludique décide de faire son grand retour. Come back réussi ?
Alors que les MotoGP et MotoGP' continuent de s'affronter sur le terrain de la discipline reine des championnats du monde de motos, SBK persiste à promouvoir une catégorie moins prisée du grand public. Toujours persuadés de posséder la meilleure recette qui soit, les développeurs de Milestone s'affairent à proposer un gameplay à mi-chemin entre arcade et simulation.
Alors que les MotoGP et MotoGP' continuent de s'affronter sur le terrain de la discipline reine des championnats du monde de motos, SBK persiste à promouvoir une catégorie moins prisée du grand public. Toujours persuadés de posséder la meilleure recette qui soit, les développeurs de Milestone s'affairent à proposer un gameplay à mi-chemin entre arcade et simulation.
Grand gourou des salles d'arcade grâce à la série Street Fighter, expert de l'action/plates-formes sur console avec sa mascotte Mega Man, Capcom décide au début des années 90 d'explorer une autre voie. Une voie ouverte par Infogrames et le Français Frédérick Raynal en 1992 avec Alone in the Dark, celle du jeu d'aventure/action mâtiné d'horreur. En 1996, né de cette ambition, Resident Evil envahit les étagères des magasins. Voyons comment, en un seul titre, la firme provoque un culte instantané et devient l'un des développeurs les plus en vue sur la machine star de l'époque, la Playstation.
Grand gourou des salles d'arcade grâce à la série Street Fighter, expert de l'action/plates-formes sur console avec sa mascotte Mega Man, Capcom décide au début des années 90 d'explorer une autre voie. Une voie ouverte par Infogrames et le Français Frédérick Raynal en 1992 avec Alone in the Dark, celle du jeu d'aventure/action mâtiné d'horreur. En 1996, né de cette ambition, Resident Evil envahit les étagères des magasins. Voyons comment, en un seul titre, la firme provoque un culte instantané.
Grand gourou des salles d'arcade grâce à la série Street Fighter, expert de l'action/plates-formes sur console avec sa mascotte Mega Man, Capcom décide au début des années 90 d'explorer une autre voie. Une voie ouverte par Infogrames et le Français Frédérick Raynal en 1992 avec Alone in the Dark, celle du jeu d'aventure/action mâtiné d'horreur. En 1996, né de cette ambition, Resident Evil envahit les étagères des magasins. Voyons comment, en un seul titre, la firme provoque un culte instantané.