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Note
au moins 18au moins 16au moins 14au moins 12au moins 10inférieure à 10
Date
moins de 24hmoins de 1 semainemoins de 1 moismoins de 3 moismoins de 6 moismoins de 1 an
Mode
Jouable en soloMulti en ligneMulti en coopératifMulti en localMulti sur le même écranMulti en compétitif
Appartenant à la gamme des jeux de réflexion Objets Cachés de Micro Application, Theatre of the Absurd nous propose de vivre une aventure particulièrement angoissante sur fond d'occultisme et de possession démoniaque.
Il est loin le temps où l'on pouvait se pavaner en arborant fièrement son Snake sur Nokia 3310... S'il y a bien une branche dans laquelle le jeu vidéo évolue de manière exponentielle, c'est le jeu mobile et notamment depuis l'arrivée de l'App Store qui a révolutionné le marché : des jeux originaux, moins chers et abondants ont envahi nos téléphones depuis quelques années. Si les petits jeux aux allures de créations flash directement héritées du Web sont légion, d'autres, bien plus ambitieux, pointent également le bout de leur nez à l'image du clinquant Infinity Blade ou encore du surprenant Bladeslinger.
Si Alexandra Ledermann s'est pour l'instant retirée du circuit des compétitions les plus prestigieuses, elle n'en est pas moins restée une véritable icône pour les apprenties cavalières. On retrouve d'ailleurs régulièrement son nom sur les jaquettes de jeux vidéo dédiés à l'équitation. La petite 3DS n'avait pas encore eu droit au moindre épisode de la série, mais cet oubli est désormais réparé et vous pouvez maintenant prendre soin de votre cheval en profitant d'un petit effet de profondeur.
Venu de nulle part ou presque, et développé en grande partie par une seule personne, Basketball Pro Management 2012 nous avait agréablement surpris l'an passé. C'est donc avec grand plaisir que l'on accueille aujourd'hui une nouvelle version qui aura à cœur de corriger tous les petits défauts pointés du doigt en 2012.
Motion Twin est bien connu pour ses jeux Web comme La Brute et Hordes. Mush, le dernier-né du studio, n'est d'ailleurs pas sans rappeler Hordes puisqu'il s'agit une nouvelle fois de survie, sauf que l'Outre-Monde laisse la place à l'espace intersidéral.
Attention tout le monde, après avoir séduit des millions de téléspectateurs, le phénomène Adventure Time débarque sur consoles portables. Edité par D3 Publisher et développé par Wayforward Technologies, le soft est sorti fin 2012 aux Etats-Unis. Jeu à licence raté ou véritable réussite, la réponse dans notre test !
Après avoir traîné quelque temps sur des sites de mini-jeux en Flash, No Time To Explain étend son humour déjanté et caricatural sur la plate-forme de jeux en ligne Steam, via Steam Greenlight. L’occasion d’un nouveau développement pour ce puzzle-game indépendant, où aucune concession n’est faite dans sa réalisation.
Fondé en 2008, le petit studio de développement français Storybird Games sort maintenant une petite pépite nommée Finding Teddy, financée par les internautes via le site Look at My Game.
Pauvre, pauvre licence Aliens que personne ne veut traiter correctement depuis les deux premiers Aliens vs Predator. Paradoxalement, l'oeuvre de Ridley Scott a été une source d'inspiration capitale pour le jeu vidéo mais a toujours eu du mal à s'y sentir à l'aise. Colonial Marines est probablement la pire des adaptations d'Alien, aussi mauvaise dans son gameplay que dans le respect des canons de l'univers.
Pauvre, pauvre licence Aliens que personne ne veut traiter correctement depuis les deux premiers Aliens vs Predator. Paradoxalement, l'oeuvre de Ridley Scott a été une source d'inspiration capitale pour le jeu vidéo mais a toujours eu du mal à s'y sentir à l'aise. Colonial Marines est probablement la pire des adaptations d'Alien, aussi mauvaise dans son gameplay que dans le respect des canons de l'univers.
Il y a de ces jeux qu'on aurait vraiment eu envie d'aimer mais qui ont malheureusement tout fait pour que nous ressentions l'extrême opposé à leur égard. Brave : A Warrior's Tale en fait partie. Remake de Brave : The Search for Spirit Dancer paru sur PlayStation 2 qui n'avait pas marqué grand monde à sa sortie en 2005, nous revoilà plongés dans la peau d'un jeune amérindien pour vivre une aventure pas franchement palpitante...
Il y a de ces jeux qu'on aurait vraiment eu envie d'aimer mais qui ont malheureusement tout fait pour que nous ressentions l'extrême opposé à leur égard. Brave : A Warrior's Tale en fait partie. Remake de Brave : The Search for Spirit Dancer paru sur PlayStation 2 qui n'avait pas marqué grand monde à sa sortie en 2005, nous revoilà plongés dans la peau d'un jeune amérindien pour vivre une aventure pas franchement palpitante...
Pauvre, pauvre licence Aliens que personne ne veut traiter correctement depuis les deux premiers Aliens vs Predator. Paradoxalement, l'oeuvre de Ridley Scott a été une source d'inspiration capitale pour le jeu vidéo mais a toujours eu du mal à s'y sentir à l'aise. Colonial Marines est probablement la pire des adaptations d'Alien, aussi mauvaise dans son gameplay que dans le respect des canons de l'univers.
Indéniablement associée aux années 80, en dépit de quelques nouvelles séries animées, la licence Ghostbusters –S.O.S. Fantômes en bon français– a su éviter le danger de s'éparpiller dans une multitude de jeux à tout va. Il y a bien eu des adaptations au fil des ans, mais pas de raz-de-marée. Du coup, on est bien contents de retrouver la fine équipe de chasseurs de fantômes dans une nouvelle déclinaison sur iOS.
Le catalogue de titres téléchargeables sur PlayStation Vita renferme quelques petites perles, comme cet intrigant Dokuro qui, pour un peu moins de 15 euros, risque de vous scotcher littéralement devant votre console. Si vous avez apprécié le croustillant Escape Plan, foncez sans hésiter !
Pourtant pas foncièrement original, Temple Run premier du nom a déjà été téléchargé la bagatelle de 170 millions de fois depuis sa sortie en 2011 sur plates-formes mobiles. Reprenant le genre couramment exploité de l'«endless runner», il proposait une course effrénée au gameplay addictif, et servi par une réalisation tout à fait honnête. Surfant sur la vague du succès, Imangi Studios a sorti début 2013 sa suite, originalement intitulée Temple Run 2, et vu les chiffres impressionnants de téléchargements (50 millions en 15 jours), il semblerait que le petit nouveau dépasse allègrement son aîné. Mais cette nouvelle mouture est-elle si exceptionnelle pour rencontrer un tel succès ou profite-t-elle simplement de la notoriété de son prédécesseur ?
La nostalgie n'est pas toujours bonne conseillère. Quand elle nous permet d'échapper à la bêtise d'un mode de vie pour retrouver celui d'antan, elle nous empêche en même temps de goûter les belles nouveautés de notre époque. Avec l'évolution rapide du jeu vidéo, la nostalgie occupe ainsi dans notre loisir une place de plus en plus importante : phénomène du rétrogaming, retour en force de la 2D à travers la scène indépendante, les récents New Super Mario Bros., développement de nouveaux moyens pour accéder aux anciennes machines (émulation, cartouches flash, rééditions et compilations...), tout ceci nous ramène bon an mal an vers un supposé "Age d'or" du jeu vidéo. Ce n'est pourtant pas toujours pour le meilleur, comme nous allons le voir avec Astal...
Pourtant pas foncièrement original, Temple Run premier du nom a déjà été téléchargé la bagatelle de 170 millions de fois depuis sa sortie en 2011 sur plates-formes mobiles. Reprenant le genre couramment exploité de l'«endless runner», il proposait une course effrénée au gameplay addictif, et servi par une réalisation tout à fait honnête. Surfant sur la vague du succès, Imangi Studios a sorti début 2013 sa suite, originalement intitulée Temple Run 2, et vu les chiffres impressionnants de téléchargements (50 millions en 15 jours), il semblerait que le petit nouveau dépasse allègrement son aîné. Mais cette nouvelle mouture est-elle si exceptionnelle pour rencontrer un tel succès ou profite-t-elle simplement de la notoriété de son prédécesseur ?
N'allez pas titiller les petits gars de la Team X en leur faisant remarquer que le nom de leur groupe ressemble étrangement à celui d'une compagnie officiant dans les boîtes de strip-tease. Ces gaillards ont beau arborer un joli look cartoon, en guise d'humour, ils ne font pas dans la dentelle. Ici les contentieux se règlent à coups de décharges de chevrotine, de rafales de fusil d'assaut et de coups de couteau en traître. Bref, on trouve les ingrédients d'un TPS multi bien saignant, mais encore faut-il que la sauce prenne...
N'allez pas titiller les petits gars de la Team X en leur faisant remarquer que le nom de leur groupe ressemble étrangement à celui d'une compagnie officiant dans les boîtes de strip-tease. Ces gaillards ont beau arborer un joli look cartoon, en guise d'humour, ils ne font pas dans la dentelle. Ici les contentieux se règlent à coups de décharges de chevrotine, de rafales de fusil d'assaut et de coups de couteau en traître. Bref, on trouve les ingrédients d'un TPS multi bien saignant, mais encore faut-il que la sauce prenne...