ActionAventureRPGPlate-FormeSportShooterCourseStratégieFPSRéflexionGestionCombatSimulationBeat'em AllPuzzle-GamePoint'n ClickAutresParty-GameSurvival-HorrorRythmeTactiqueMMOShoot'em UpInfiltrationAdresseTirJeu de cartesAction RPGWargameJeu de sociétéCompilationLudo-EducatifOpen WorldTPSCoachingCréationRoguelikeSurvieFlipperTactical RPGMMORPGRunnerDungeon RPGSandboxGod GameHack'n slashVisual NovelBattle RoyaleManagementCity BuilderFilm InteractifMOBAMMOFPSSimulation de vieTower DefenseCasse briques4XDragueDanseKaraokéMatch 3Simulation de volObjets cachésSerious GamesJeu de Rôle
Note
au moins 18au moins 16au moins 14au moins 12au moins 10inférieure à 10
Date
moins de 24hmoins de 1 semainemoins de 1 moismoins de 3 moismoins de 6 moismoins de 1 an
Mode
Jouable en soloMulti en ligneMulti en coopératifMulti en localMulti sur le même écranMulti en compétitif
Le post-apocalyptique, ça donne souvent dans les déserts brûlants (Mad Max, Ken le survivant…), les villes englouties sous les océans (Marine Hunter, Waterworld…) ou encore des jungles hostiles (The Lost Future, After Earth…). Pour autant, il est des fois où la quasi-disparition de l’espèce humaine se présente sous d’autres cieux, plus originaux sans être plus cléments. La série Metro fait partie de celles-ci, mêlant guerres intestines bien humaines et lutte pour la survie dans un contexte atypique : un réseau de métro. Après deux épisodes au succès certain, l’épisode Last Light s’est vu accorder une série de DLC censés garder les joueurs dans le giron radioactif de la franchise. Réussite ou échec, c’est ce que nous sommes bien décidés à découvrir à travers ce test du premier d’entre eux ! Enfilez vos masques à gaz et chargez vos fusils : carpaccio de mutant au menu !
Voilà plusieurs années que vous pouvez régulièrement revêtir vos plus beaux habits de dictateur à la tête d’un petit paradis tropical grâce à la licence Tropico. Néanmoins, dernièrement, on pouvait légitimement reprocher à la série d’un peu trop abuser de la photocopieuse d’un épisode sur l’autre, essentiellement lors du passage de Tropico 3 à Tropico 4. La cinquième édition du jeu de gestion propose sur le papier de rectifier le tir en introduisant plusieurs nouveautés censées dépoussiérer le concept toujours aussi jouissif d’incarner un chef suprême chargé de guider ses ouailles vers la prospérité. Est-ce le cas dans les faits ?
Cadet de la fratrie Bubble Bobble, Rainbow Islands marque le retour en force de Taito, le roi de l'arcade à l'origine du mythique Space Invaders. Sorti en 1987, soit tout juste un an après la création de la série, le jeu de plates-formes nous confie la responsabilité du jeune Bubby, fraîchement remis de la métamorphose en dragon dont lui et son comparse avaient été victimes lors du premier volet de la saga.
Le post-apocalyptique, ça donne souvent dans les déserts brûlants (Mad Max, Ken le survivant…), les villes englouties sous les océans (Marine Hunter, Waterworld…) ou encore des jungles hostiles (The Lost Future, After Earth…). Pour autant, il est des fois où la quasi-disparition de l’espèce humaine se présente sous d’autres cieux, plus originaux sans être plus cléments. La série Metro fait partie de celles-ci, mêlant guerres intestines bien humaines et lutte pour la survie dans un contexte atypique : un réseau de métro. Après deux épisodes au succès certain, l’épisode Last Light s’est vu accorder une série de DLC censés garder les joueurs dans le giron radioactif de la franchise. Réussite ou échec, c’est ce que nous sommes bien décidés à découvrir à travers ce test du premier d’entre eux ! Enfilez vos masques à gaz et chargez vos fusils : carpaccio de mutant au menu !
Le post-apocalyptique, ça donne souvent dans les déserts brûlants (Mad Max, Ken le survivant…), les villes englouties sous les océans (Marine Hunter, Waterworld…) ou encore des jungles hostiles (The Lost Future, After Earth…). Pour autant, il est des fois où la quasi-disparition de l’espèce humaine se présente sous d’autres cieux, plus originaux sans être plus cléments. La série Metro fait partie de celles-ci, mêlant guerres intestines bien humaines et lutte pour la survie dans un contexte atypique : un réseau de métro. Après deux épisodes au succès certain, l’épisode Last Light s’est vu accorder une série de DLC censés garder les joueurs dans le giron radioactif de la franchise. Réussite ou échec, c’est ce que nous sommes bien décidés à découvrir à travers ce test du premier d’entre eux ! Enfilez vos masques à gaz et chargez vos fusils : carpaccio de mutant au menu !
Le post-apocalyptique, ça donne souvent dans les déserts brûlants (Mad Max, Ken le survivant…), les villes englouties sous les océans (Marine Hunter, Waterworld…) ou encore des jungles hostiles (The Lost Future, After Earth…). Pour autant, il est des fois où la quasi-disparition de l’espèce humaine se présente sous d’autres cieux, plus originaux sans être plus cléments. La série Metro fait partie de celles-ci, mêlant guerres intestines bien humaines et lutte pour la survie dans un contexte atypique : un réseau de métro. Après deux épisodes au succès certain, l’épisode Last Light s’est vu accorder une série de DLC censés garder les joueurs dans le giron radioactif de la franchise. Réussite ou échec, c’est ce que nous sommes bien décidés à découvrir à travers ce test du premier d’entre eux ! Enfilez vos masques à gaz et chargez vos fusils : carpaccio de mutant au menu !
Lors de son annonce à l'E3 2012, Watch Dogs était bien plus qu'un jeu. Il faut dire que la promesse d'un monde ouvert sur-connecté et d'éléments piratables à foison avait de quoi enchanter les joueurs. Mais suite à un report annoncé tardivement et à la campagne de communication agressive qui s'en est suivie, l'enthousiasme et l'espoir suscités par les premières vidéos ont peu à peu laissé place à l'inquiétude et au scepticisme dans le cœur de nombreux joueurs. Alors ce Watch Dogs, qu'est-ce qu'il vaut ?
Dans le jeu vidéo comme ailleurs, le plumage attise souvent l'enthousiasme le plus fou. Mais il est bon de se souvenir qu'un joli coup de crayon ne garantit pas la pertinence d'un game design. Monochroma en est malheureusement une parfaite illustration.
Dans le jeu vidéo comme ailleurs, le plumage attise souvent l'enthousiasme le plus fou. Mais il est bon de se souvenir qu'un joli coup de crayon ne garantit pas la pertinence d'un game design. Monochroma en est malheureusement une parfaite illustration.
Affalé entre une adaptation honorable sur consoles de salon et un portage malheureux sur 3DS, The Amazing Spider-man 2 n'avait d'autre choix que de s'avachir sur IOS pour satisfaire l'appétit d'ogre de la marque. Séduisant en vitrine, le produit servi par Gameloft a un drôle de goût, et il vous faudra au choix avoir les tripes bien accrochées ou un portefeuille bien garni pour digérer cette misère de créativité avariée.
Avec un nom qui va au-delà du symbole, Wolfenstein se doit de ne pas se présenter les mains dans les poches devant les joueurs. Ça tombe bien, celles de Blazkowicz sont bien calées sur les gâchettes de son shotgun.
Après le succès critique de Bastion, la prochaine œuvre de Supergiant Games ne pouvait être qu'attendue au tournant. Maintenant que son nouveau bébé Transistor est disponible, voyons si l'attente valait le coup.
Après le succès critique de Bastion, la prochaine œuvre de Supergiant Games ne pouvait être qu'attendue au tournant. Maintenant que son nouveau bébé Transistor est disponible, voyons si l'attente valait le coup.
Que feriez-vous si vous pouviez lire dans les pensées des gens autour de vous ? Pour Rothko, c'est tout vu. Sa capacité à savoir exactement à quoi pense son entourage lui permet de passer inaperçu en toutes circonstances et donc de se forger une solide réputation de voleur professionnel. Sa carrière est pourtant remise en jeu lorsqu'il accepte un job que lui propose la belle jeune femme qui vient de rentrer dans son bureau...
Avec un nom qui va au-delà du symbole, Wolfenstein se doit de ne pas se présenter les mains dans les poches devant les joueurs. Ça tombe bien, celles de Blazkowicz sont bien calées sur les gâchettes de son shotgun.
Avec un nom qui va au-delà du symbole, Wolfenstein se doit de ne pas se présenter les mains dans les poches devant les joueurs. Ça tombe bien, celles de Blazkowicz sont bien calées sur les gâchettes de son shotgun.
Deux mois après sa sortie, Titanfall s'offre un premier DLC baptisé Expedition. Le titre, qui avait fait forte impression mais manquait de variété au niveau de ses modes de jeu et de son contenu hors maps, se voit donc enrichi de... trois nouvelles cartes. Voyons donc ce qu'elles ont dans le ventre, et si elles justifient le prix de lancement du DLC ou la part du season pass que ce dernier représente...
Deux mois après sa sortie, Titanfall s'offre un premier DLC baptisé Expedition. Le titre, qui avait fait forte impression mais manquait de variété au niveau de ses modes de jeu et de son contenu hors maps, se voit donc enrichi de... trois nouvelles cartes. Voyons donc ce qu'elles ont dans le ventre, et si elles justifient le prix de lancement du DLC ou la part du season pass que ce dernier représente...
Pas de jaloux pour les fans de dungeon-RPG sur consoles portables : alors que les possesseurs de 3DS enchaînent les épisodes d'Etrian Odyssey, les joueurs Vita sont invités par NIS America à arpenter les labyrinthes de Demon Gaze. Si le titre comporte bien quelques particularités sympathiques, il n'en reste pas moins un représentant plutôt classique du genre.
Prisonnier et mal en point, le groupe de survivants est en fort mauvaise posture dans ce qui constitue l'un des épisodes les plus tendus et perturbants des deux saisons confondues de The Walking Dead, celui qui livre Clémentine aux mains d'un véritable sociopathe, violent et totalement dingue. Un vrai méchant incarné à merveille par Michael Madsen, Bill Carver. Que se passe-t-il quand on oppose une enfant de 11 ans qui a déjà largement accéléré sa prise de maturité à un assassin atteint du syndrome du messie ? Rien de très bon.