Derniers tests de jeux vidéo - page 128

Lorsque l'on parle de survie, de craft, et de vastes terres à explorer, c'est tout d'abord le nom de Minecraft qui vient à l'esprit. Ajoutons cependant le terme hardcore à la liste précédente, et c'est Don't Starve qui lui vole la vedette. Car le jeu de Klei Entertainment fait indéniablement partie de cette catégorie d'expériences qui ne pardonnent pas. Celles qui vous accueillent à grand renfort de tarte dans la tronche avant de vous abandonner le tarin en sang, sans avoir aucune idée de ce qui vient de se passer. Créé en 2013, ce titre a tout de suite trouvé son public grâce à une direction artistique particulièrement réussie, qui emprunte beaucoup à l'imaginaire de Tim Burton. À cela s'ajoute un gameplay parfaitement maîtrisé, qui ne laisse rien passer, et qui offre donc un challenge relevé. Régulièrement mis jour, le titre a évolué pour proposer de nombreuses améliorations et autres correctifs qui n'ont cessé de tirer le jeu vers le haut, pour en faire aujourd'hui un titre on ne peut plus intéressant, qui débarque désormais sur nos mobile dans une version de poche. L'occasion pour nous de tester ce portage attendu par de nombreux fans du titre. Nous vous invitons d'ailleurs à aller jeter un œil à notre test de la version PC, ce papier s’intéressant avant tout au portage mobile.

Sorti en 2014, Badland a bien vite su séduire le public comme la critique grâce à un principe simple, très efficace, et une direction artistique absolument fabuleuse. Détenteurs de nombreux prix, il a depuis accédé à la postérité en trouvant le chemin des consoles et du PC, un phénomène assez rare sur mobiles pour être souligné. Vu le succès de Badland, il est donc logique que Frogmind nous revienne aujourd'hui avec une suite, tout simplement nommée Badland 2. L'occasion pour nous de replonger dans cet univers magnifique, et de découvrir si le studio a su se renouveler, ou s'il se contente d'exploiter sans vergogne la recette de son succès.

Dans Reus, vous incarnez quatre Dieux, chacun d'entre eux étant responsable d'un biome différent. Parmi eux, on compte le désert, le marais, la forêt et l'océan. Mais si le jeu vous permet de façonner le monde comme bon vous semble, il y a bien une chose que vous ne pouvez contrôler : les êtres humains. Reus vous apprend le pouvoir que peuvent avoir les mutineries et la gourmandise sur le monde, et surtout, les catastrophes qu'elles peuvent produire. Ce petit jeu indépendant de Abbey Games vous mettra aux commandes d'un God-Game où seule la volonté humaine ficèlera la tournure des événements. Plus qu'à espérer que le contrôle de quatre Dieux suffira pour mener à bien votre mission.

Quelques mois après les Crocs d'Hakkon, BioWare nous propose un nouveau DLC d’importance, qui nous plonge dans les entrailles de Thédas. Si le premier contenu était sympathique, il était loin de remplir les attentes des joueurs. Reste donc à voir si ce nouvel essai sera plus réussi. Vous trouviez qu’Inquisition manquait de Nains et de Tréfonds ? La Descente entend bien pallier cette carence et se faire pardonner cet oubli.

Sorti une première fois sur PC en 2012 et produit par Pulltop, If My Heart Had Wings est un Visual Novel Eroge, c'est à dire une histoire visuelle avec des scènes sexuelles. Un an plus tard, une version tout public développée par MoeNovel voit le jour sur PSVita, désormais également disponible sur PC (uniquement en anglais) et que nous allons aborder dans ce test.

Tradition oblige, Assassin's Creed Syndicate s'offre quelques semaines après son lancement un premier contenu téléchargeable de poids, accueillant pour l'occasion une guest-star de renom : Jack l'éventreur, le célèbre tueur en série londonien de la fin du 19ème siècle.

Ce n’est un secret pour personne, le monde du jeu sur mobiles n’est qu’un éternel recommencement. Les boutiques en ligne sont remplies de jeux reprenant des principes éculés du jeu vidéo, de copies presque parfaites de titres à succès, et autres repompages sans vergogne de grands classiques plus ou moins revisités. Et parmi les créateurs de jeux mobiles, il en est un qui a fait de la copie sa marque de signature : Gameloft. Présent depuis extrêmement longtemps sur le marché du jeu mobile, bien avant l’arrivée des smartphones, la firme a pour habitude de choisir avec soin les jeux qui marchent bien, et de livrer une copie mobile presque identique, souvent agrémentée d’achat in-app et autres fonctionnalités Free to play propres à générer du cash. Après GTA, World of Warcraft et autre Call of Duty, c’est au tour de Marvel Contest of Champions de connaître une "Gameloftisation" avec Gods of Rome.

Sorti le 10 décembre 2015, Devilian est un MMO Action RPG développé par Ginno Game et exploité en occident par Trion. Distribué sur un modèle free-to-play imparfait, Devilian tente l'alliance des codes sociaux et le contenu propre au MMO avec le gameplay et l'approche frénétique du Hack'n Slash. Pour l'heure, malgré les bonnes idées que l'on retrouve dans le titre, le résultat est en demi-teinte pour Devilian. Il faudra certainement repenser le genre et combler les défauts majeurs pour pouvoir parler d'une réelle évolution du MMO.

Développé par l'équipe habituellement connue pour sa série des Harvest Moon, Story of Seasons se pose comme le véritable successeur de la franchise, sur le papier en tout cas. Quoi de plus normal pour un titre qui en dehors de son nom, reprend l'ensemble des mécanismes d'une série rodée et toujours aussi appréciée des amateurs de jardinage virtuel ?

Ahhhh... les jeux de rallye de Codemasters. On a toujours apprécié ces jeux avec leur gameplay accessible au plus grand nombre. D'ailleurs, si leurs jeux de rallye sont toujours très bons, c'est notamment grâce à la licence mythique qui est Colin McRae Rally. Cela fait depuis longtemps qu'on n'avait plus entendu parler depuis Colin McRae : DiRT 2 de 2009 notamment suite au tragique décès du pilote en 2007 (d'où la suppression de son nom à partir de DiRT 3) En 2013, Codemasters a offert aux nostalgiques un petit remake de Colin McRae Rally sur les smartphones iOS et Android qui se montrait tout à fait correct. Aussi, en août 2014, on était encore plus heureux que le développeur sorte un portage de son jeu mythique sur Steam. Ça, c'était avant d'y jouer...

A croire que la créativité est en hyper-sommeil sur le marché des jeux vidéo sur mobiles ! Les portages, clones et autres copier/coller de titres issus des univers consoles et PC mais également de l’App Store et Google Play cohabitent avec pour objectif de surfer sur la renommée d’une oeuvre ayant reçu un accueil élogieux lors de sa commercialisation et ainsi l’essorer toujours plus. XCOM, Bioshock, Oddworld : Munch's Oddysee, Grand Theft Auto III… ces versions mobiles de titres cultes sont légion sur mobiles et le phénomène s’amplifie. Et pourtant ces oeuvres conservent les qualités qui firent leur force par le passé, à de rares exceptions près… Final Fantasy VII en tête ; des contrôles inadaptés aux écrans tactiles étant la principale raison de ces échecs critiques. Gordon Freeman entra donc par effraction le 12 mai 2014 sur les boutiques en ligne Google Play et NVidia, armé de son éternel pied de biche et de son Gravity Gun.

C’est désormais devenu une habitude chez BioWare de proposer du contenu téléchargeable payant pour chaque nouveau jeu, quelques mois après la sortie de celui-ci. Dragon Age Inquisition n’échappe pas à la règle et se voit doté d’un premier ajout solo d’envergure, Les Crocs d'Hakkon. Reste à vérifier si celui-ci mérite le prix demandé pour en profiter.

En 2010, Marvelous avait séduit les fans d’Harvest Moon en proposant sur console portable L'Archipel du Soleil : un titre ensoleillé, sentant bon le sel et l’air marin, nous proposant de faire pousser tomates, navets et autres joyeusetés dans un archipel perdu au milieu de l’océan. Si pour beaucoup ce jeu représentait une simple amélioration de l’épisode précédent, Île Sereine, ses nombreux ajouts, ses modifications de gameplay et sa profondeur de jeu en avaient fait un épisode très réussi et qui arrivait (non sans trop de difficultés) à nous faire oublier son prédécesseur. Moins d’un an après, Marvelous nous réentraine dans sa saga fermière, en nous proposant un nouveau concept. Messieurs, mesdames, sortez vos meilleurs produits et vos cloches : le bazar ouvre ses portes !

Quelques mois de patience et voilà que les joueurs PC ont finalement la chance de voir arriver sur Steam un certain Dragon Quest Heroes. Plus besoin de posséder une PS4 pour tenter l'expérience du beat'em all survolté dans l'univers de la saga Dragon Quest. Et, bonne nouvelle, le portage est réussi !

La chasse aux fantômes n'est pas chose aisée. Entre la terreur provoquée et leur manque d'enveloppe physique, on peut supposer que la tâche est hautement compliquée. Mais quand le principal problème vient de la maniabilité au GamePad, c'est une toute autre histoire, qui nous est malheureusement contée dans Project Zero : La Prêtresse aux Eaux Noires.

Les Aventuriers du Rail (ou Ticket to Ride) est un jeu de société créé par Alan R. Moon, et qui a été publié dans sa première édition en 2004. Extrêmement bien pensé, doté de règles aussi simples que subtiles, le jeu à très vite acquis renommé et popularité, et engrangé les récompenses (As d’Or, Spiel des Jahres). C’est en 2008 que Les Aventuriers du Rail a connu une adaptation vidéoludique sur de nombreux supports (PC, Xbox 360, Mac, Linux) jusqu’à débarquer dans une version mobile mettant à profit les capacités tactiles des différents terminaux. Aujourd’hui, c’est une toute nouvelle version de Ticket to Ride qui débarque dans les boutiques en ligne. Enfin, nouvelle version, c’est vite dit, car ce Ticket to Ride nouvelle génération est en réalité plus une grosse mise à jour, et une refonte de l’application de base qu’autre chose. Néanmoins, nous n’avions pas encore abordé cet excellent jeu dans nos colonnes, et avons décidé de réparer cet oubli pour l’occasion. Place donc à la critique de Ticket to Ride sur mobiles.