CONNEXION
  • RetourJeux
    • Tests
    • Soluces
    • Previews
    • Sorties
    • Hit Parade
    • Les + attendus
    • Tous les Jeux
  • RetourActu
    • Culture Geek
    • Astuces
    • Réalité Virtuelle
    • Rétrogaming
    • Toutes les actus
  • RetourHigh-Tech
    • Actus JVTECH
    • Bons plans
    • Tutoriels
    • Tests produits High-Tech
    • Guides d'achat High-Tech
    • JVTECH
  • RetourVidéos
    • A la une
    • Gaming Live
    • Vidéos Tests
    • Vidéos Previews
    • Gameplay
    • Trailers
    • Chroniques
    • Replay Web TV
    • Toutes les vidéos
  • RetourForums
    • Hardware PC
    • PS5
    • Switch
    • Xbox Series
    • Overwatch 2
    • FUT 23
    • League of Legends
    • Genshin Impact
    • Tous les Forums
  • PC
  • PS5
  • Xbox Series
  • PS4
  • One
  • Switch
  • Wii U
  • iOS
  • Android
  • MMO
  • RPG
  • FPS
En ce moment Genshin Impact Valhalla Breath of the wild Animal Crossing GTA 5 Red dead 2
Créer un contenu
Tests
  • Accueil
  • Actus
  • Tests
  • Vidéos
  • Images
  • Soluces
  • Forum
Test SoulCalibur VI : le retour en fanfare

SoulCalibur VI : notre avis en quelques minutes

49 428 vues
Profil de Epyon,  Jeuxvideo.com
Epyon - Journaliste jeuxvideo.com

Transcendant l’histoire et le monde, un récit des âmes et des épées, raconté éternellement… On la connaît par cœur, cette ritournelle, et pourtant lorsqu’on la réentend à nouveau, pour la première fois depuis six ans, on ne peut s’empêcher de la répéter à l’unisson. Car SoulCalibur est de retour chers amis, et pardonnez-nous l’expression, mais Bon Dieu que ça fait du bien.

De tous les jeux de combat en trois dimensions qui ont truffé la fin des années 90 et le début des années 2000, SoulCalibur est sans doute la seule série à vraiment faire l’unanimité. À la fois baffe graphique et jeu idéal en compétition comme en soirée entre copains, la série a toujours eu ce petit truc de plus. Ce qui ne l’a pas empêché de doucement péricliter, passer le troisième épisode, ni même de connaître de vives critiques de la part de la communauté de fans. On craignait même que Bandai Namco n’enterre définitivement la série. Mais c’était sans compter sur la passion de certains membres de l’équipe, à commencer par Motohiro Okubo qui a su mobiliser ses troupes pour lancer les travaux pour un sixième épisode. Et si ce dernier porte les séquelles d’un développement que l’on devine plutôt compliqué, SoulCalibur VI réussit à redonner ses lettres de noblesse à cette légende du jeu de combat.

Un pavé dans la marre

SoulCalibur VI : le retour en fanfare
Contrairement à ses prédécesseurs, on ne retiendra pas SoulCalibur VI pour ses graphismes. Ou alors si, mais pas pour la bonne raison.

Commençons tout de suite par le sujet qui fâche. Comme nous le disions en introduction, SoulCalibur a toujours été fêté pour ses graphismes. Que ce soit le premier épisode sur Dreamcast, ou sa suite directe sur PlayStation 2, GameCube ou Xbox, on parle à chaque fois de jeux qui ont marqué les rétines de joueurs, s’inscrivant sans forcer dans la liste des plus beaux jeux des consoles concernées. La finesse des textures habillant les personnages, leurs animations, la richesse des décors… tout relevait du travail d’orfèvre. C’était sans doute moins vrai sur les derniers épisodes mais tout de même : jamais l’on a eu à se plaindre de l’aspect visuel de ces titres. Une chose qui va changer avec ce SoulCalibur VI, qui techniquement parlant vacille entre passable et vraiment mauvais. Car si dans l’ensemble, les personnages sont plutôt jolis, on ne peut pas en dire de même des différentes arènes du jeu. Certaines sont plutôt réussies et proposent bien la richesse susmentionnée, tandis que d’autres sont tellement simplistes qu’on les dirait tout droit sorties d’un éditeur de niveau… sur lequel il resterait encore tout à faire. On pense ici à des rings comme Ruines désertiques enfouies ou Plaine des bourrasques, en gros un désert aride et une prairie verdoyante. Cela manque de folie, de détails, d’habillage. Et à vrai dire, même les plus jolies arènes manquent de personnalité. D'abord parce qu'elles ne sont pas toujours très inspirées, ensuite parce que le studio a opté pour l'Unreal Engine 4, dont on connait bien la signature graphique désormais. Ce dernier avait pourtant fait ses preuves sur Tekken 7, mais sur SoulCalibur VI ? Vraiment pas. Le jeu de Bandai Namco ressemble à l’un de ces nombreux projets de jeux transposés sous Unreal Engine 4, comme on en voit pleuvoir tous les jours, et c’est bien dommage.

SoulCalibur VI : le retour en fanfareSoulCalibur VI : le retour en fanfareSoulCalibur VI : le retour en fanfare

D’autant qu’au-delà de la patte visuelle du jeu, il a aussi les nombreuses textures un peu grossières, ou le choix d’appliquer un flou extrêmement prononcé à l’arrière-plan lors des combats, pour mieux faire ressortir les personnages. Une direction que l’on s’explique mal et qui nuit évidemment à SoulCalibur VI, qui donne l’impression d’avoir cinq ou six ans de plus qu’il n’en a vraiment. Et ce ne sont pas les animations un peu datées de certains personnages (coucou Taki) qui vous feront changer d’avis là-dessus.

Un gameplay affûté

SoulCalibur VI : le retour en fanfare
La vitesse de certains personnages surprend au début.

Heureusement, ces quelques déboires visuels seront bien vite oubliés dès lors que vous aurez posé vos mains pleines de doigts sur votre périphérique de jeu préféré. Car SoulCalibur VI parvient à revoir sensiblement la formule établie par ses prédécesseurs, en apportant quelques correctifs bienvenus mais aussi son lot de nouveautés. Plus nerveux que SoulCalibur V, on retrouve avec cet épisode le plaisir de la vivacité des joutes du second opus tant apprécié. Les déplacements comme les enchaînements paraissent plus rapides, ce qui surprend lors des premières heures de jeu. Même les personnages les plus lents du jeu, comme Nightmare, Siegfried ou Astaroth semblent avoir gagné en célérité. Cela passe par des petits ajustements, ici et là : certains coups partent plus vite, quelques animations ont été accélérées… et parfois, certains coups bien connus des joueurs ont purement et simplement été supprimés, au profit de nouvelles attaques, souvent plus rapides. Cela accélère forcément le rythme des parties, et imprime sur chaque affrontement une cadence assez élevée.

Les touches dans SoulCalibur

Par souci de clarté, nous emploierons par la suite le vocabulaire des commandes propres à Soul Calibur.

  • A = Carré (PlayStation 4) ; X (Xbox). Les coups horizontaux.
  • B = Triangle (PlayStation 4) ; Y (Xbox). Les coups verticaux.
  • K = Rond (PlayStation 4) ; B (Xbox). Les coups de pied.
  • G = Croix (PlayStation 4) ; A (Xbox). La garde

A+G permet d’effectuer une chope, tandis que A+B+K permet de déclencher un Critical Edge (les super attaques du jeu).

Pour les directions, on utilisera la série de chiffres habituels, allant de 1 à 9, en partant du postulat que le joueur se trouve à gauche de l’écran. Chaque chiffre représente une direction, 5 étant la position neutre. Pour mieux comprendre, regardez le pavé numérique de votre clavier : 2 correspond à Bas,4 à Gauche, 6 à Droite, 8 à haut. Les autres touches indiquent les diagonales. Les quarts de cercle, ou demi-cercles, sont indiqués en précisant, une par une, toutes les touches employées : 236 indique un quart de cercle Bas, Diagonale Bas Droite, Avant, par exemple.

SoulCalibur VI : le retour en fanfare
Les Reversal Edges apportent un vrai plus aux combats.

Au-delà des sensations, il y a le concret, les nouveautés. On en a déjà parlé en long, en large et en travers dans nos précédents articles, donc vous le savez probablement : on compte deux nouveautés majeures dans SoulCalibur VI, le Reversal Edge et les Coups fatals. Le Reversal Edge (B+G) permet de contrer l’adversaire en lançant un petit ralenti, dans lequel les joueurs doivent choisir une attaque. Il fonctionne sur le modèle du pierre-papier-ciseaux, mais remporter l’échange peut avoir son importance puisque le ou les coups infligés à l’issu du résultat peuvent faire énormément de dégâts. Certains joueurs préféreront donc peut-être jouer la carte de la sécurité en reculant. Ce qui est donc intéressant avec le Reversal Edge, c’est tout le mind-game qu’il impose, mais aussi la dimension « spectacle » non négligeable qu’il apporte aux parties. À noter que les coups de certains personnages peuvent déclencher un Reversal Edge, comme le B, B, B de Mitsurugi. Ce qui est autant un avantage qu’un inconvénient, en fonction des situations, alors attention donc à ne pas trop abuser de ces attaques.

SoulCalibur VI : le retour en fanfare
SoulCalibur VI ne laisse pas de place à l'erreur.

Seconde nouveauté d’importance, les Coups fatals. Il ne s’agit pas de nouveaux coups à proprement parler, mais plutôt d’une nouvelle caractéristique donnée à certaines attaques, qui se déclenche dans certaines conditions. Pour reprendre l’exemple de Mitsurugi, son attaque Mask (B,6) inflige un Coup fatal si elle touche l’adversaire alors que celui-ci fait un pas en arrière. Le Mask inflige alors quelques dégâts supplémentaires mais surtout il stun l’ennemi, ouvrant la porte à un combo dévastateur. Vous l’aurez compris, SoulCalibur VI mise énormément sur l’attaque, ce qui lui permet d’imprimer un rythme effréné à ses combats. On pourra effectivement regretter que certaines sections du jeu se soient simplifiées, à commencer par la défense. SoulCalibur VI oublie les Guard Impacts vers l’arrière pour ne conserver plus que les Guard Impacts vers l’avant. Cela va dans le sens de parties plus rapides, au rythme moins haché, mais aussi dans une plus grande facilité d’accès au jeu, d’autant que les timings sont beaucoup moins serrés qu’autrefois. Mais ne vous leurrez pas : SoulCalibur VI n’en est pas moins exigeant sur la précision d’exécution, la science du placement et du timing. En misant beaucoup sur l’attaque, Bandai Namco a donné naissance à un jeu assez stressant, dans lequel l’erreur ne pardonne pas. C’est, vous vous en doutez bien, très amusant.

En définitive, le seul véritable reproche que l’on pourra faire au gameplay de ce SoulCalibur VI, c’est peut-être le placement de sa caméra, qui est parfois trop proche des deux bretteurs. Cela rend l’action confuse et il nous est quelquefois arrivé de ne pas comprendre ce qui se passait à l’écran. Dans un jeu de ce genre, c’est quand même un peu agaçant.

SoulCalibur VI : le retour en fanfareSoulCalibur VI : le retour en fanfareSoulCalibur VI : le retour en fanfare

Guerre et épée

SoulCalibur VI : le retour en fanfare
Les dialogues de la Balance des Âmes. Voilà voilà.

Parlons maintenant des différents modes de jeu de ce SoulCalibur VI. C’est certain, les habitués de la série feront la moue en découvrant que certains modes pourtant basiques ont disparu. Pas de time-attack, de mode survie ou de tag-team, voilà qui est bien embêtant. En revanche, on est resté pantois devant la richesse du mode Balance de l’Âme, dans lequel l’on incarne son propre avatar. L’outil de création n’a pas évolué d’un iota depuis SoulCalibur V mais il est toujours aussi complet, vous pourrez donc créer le combattant de vos rêves pour ensuite partir à l’assaut d’un monde rempli de missions en tout genre. Attention toutefois, la Balance de l’Âme est extrêmement bavarde, et l’on passe souvent plus de temps à lire les échanges entre les différents protagonistes qu’à se battre. Mais l’ensemble se montre aussi intéressant que le fameux Maître d’Armes de SoulCalibur II. On y retrouve tout ce qui faisait son charme, avec des combats aux paramètres toujours différents, ou la possibilité d’explorer le monde pour dénicher des missions cachées et obtenir de nouvelles armes plus puissantes. Le système de balance et de choix est plutôt grossier mais on s’en contente, tant il y a d’autres choses à surveiller, comme ses troupes de mercenaires que l’on peut envoyer en mission à sa place en échange de quelque argent. Autant vous le dire, si vous comptez tout débloquer, la Balance de l’Âme va vous occuper un long moment, d’autant qu’il dispose d’une bonne rejouabilité : il vous suffit de créer un nouveau personnage et de repartir à l’aventure, en faisant des choix différents ou en choisissant un autre style de combat.

La création de personnages est toujours aussi amusante.

SoulCalibur VI : le retour en fanfareSoulCalibur VI : le retour en fanfareSoulCalibur VI : le retour en fanfare

La Chronique de l’Âme est sans doute un peu moins intéressante. Il s’agit d’incarner l’un des différents personnages du roster de SoulCalibur VI et de découvrir, à travers ses yeux, le scénario de du jeu qui est en fait une sorte de remake des trois premiers opus. Ce n’est pas toujours passionnant et là encore, les dialogues sont interminables ; c’est l’occasion d’écouter Kilik et Sophitia disserter sur le but de la vie, ou l’importance de la volonté. Bref, vous l’aurez compris, si dans l’esprit tout cela est très shônen manga, dans les faits vous le percevrez surtout comme une sacrée perte de temps. Toutefois, chaque personnage a droit à sa chronique, ce qui donne une sacrée durée de vie au mode, même si tous n’ont pas le droit à autant de chapitres.

SoulCalibur VI : le retour en fanfareSoulCalibur VI : le retour en fanfareSoulCalibur VI : le retour en fanfare

Mais la Chronique de l’Âme et la Balance de l’Âme, en tant que modes principaux de SoulCalibur VI, sont plutôt complets et vous occuperont un long moment. Ce sera aussi l’occasion pour bon nombre d’entre vous d’apprendre à jouer et de découvrir les spécificités de chaque personnage. Notez que la Balance de l’Âme embarque, dès le début, un tutoriel extrêmement complet qui vous permettra de comprendre les bases du jeu, ainsi que certaines techniques plus évoluées. SoulCalibur VI a la bonne idée de prendre le joueur par la main, par ce biais mais aussi grâce à un mode Entraînement hyper complet et très paramétrable. Parfait pour parfaire sa technique.

Ivy Metal

SoulCalibur VI : le retour en fanfare
Le style de combat de Geralt est impressionnant.

Un mot enfin sur les différents personnages du jeu. Au moment où nous écrivons ces lignes, nous disposons de 22 personnages, en comptant Tira qui fait partie du season pass du jeu. C’est donc assez correct mais c’est aussi moins moins que SoulCalibur V, pour ne citer que lui. Parmi les grands absents, on compte notamment Yun Seong, Setsuka ou Hildegard, dont les styles de combat si particuliers vont manquer, c’est certain. Mais l’on accueille quelques petits nouveaux comme Groh et surtout Geralt de Riv, le héros de The Witcher. Ce dernier s’inclut à merveille dans le paysage de Soul Calibur et il est, à date, l’invité qui tranche le moins avec le reste du casting. Ses attaques, d’une violente inouïe, ainsi que l’utilisation de quelques sorts de sorceleurs dont il a le secret, lui donne une véritable identité, qui ravira les fans du jeu de CD Projekt RED.

SoulCalibur VI : le retour en fanfare
Certains costumes sont toujours aussi... Comment dire.

Dans l’ensemble, ce roster est certes un peu limité mais il a été renouvelé avec justesse, tant par l’arrivée de nouveaux personnages que le redesign des move lists des combattants les plus connus. Si vous êtes un habitué de la série, vous constaterez que tous les personnages ont énormément évolué, perdant des attaques et en gagnant d’autres. Si les bases sont là, il va donc falloir passer un moment en mode Entraînement pour se familiariser avec ces nouvelles move lists qui dans le cas de certains épéistes changent absolument tout. Ainsi, Raphael perd une bonne partie de ses feintes et esquives pour présenter un gameplay plus « rentre dedans », ce qui surprend un tant soit peu lors des premières parties. L’ensemble offre toujours la même variété et chacun devrait y trouver son compte. Notre seul regret, finalement, c’est le redesign des costumes de certains personnages qui semblent un peu loupés (Raphael, Voldo…) et surtout la disparition des costumes secondaires, remplacés par un coloris alternatif.

Les images utilisées dans ce test proviennent de la version PlayStation 4 Pro du jeu.

Points forts

  • Un gameplay vif et nerveux
  • Des nouveautés bien pensées, et bien calibrées (Reserval Edge, Coups Fatals)
  • Le mode Balance de l’Âme
  • Mode Entraînement parfait pour les débutants comme pour les experts
  • Roster toujours aussi diversifié
  • Geralt de Riv parfaitement dans son élément
  • Pas mal d’éléments à débloquer

Points faibles

  • Visuellement daté
  • Quelques soucis de caméra
  • Les séquences de blabla interminables en Balance de l’Âme et Chronique de l’Âme
  • L’outil de création d’avatar qui n’a pas évolué depuis SoulCalibur V
  • Trop d’arènes qui manquent de personnalité
  • Pas de costumes secondaires

SoulCalibur est de retour, qu’on se le dise. Certes tout n’est pas parfait et on pourra regretter l’aspect technique daté du jeu, mais ce sixième épisode a su renouveler avec intelligence le gameplay de la série. Plus dynamique que le précédent épisode, il met en scène des combats hyper nerveux et remplis de suspense, et devient vite addictif. Et le jeu a largement de quoi sustenter notre soif de combat, avec les modes Balance de l’Âme et Chroniques de l’Âme très complets… tout du moins, si vous avez la patience d’enchaîner les dialogues interminables qui auraient été plus à leur avantage dans de véritables scènes cinématiques. Quoi qu’il en soit, si vous êtes un fan de la série, ce SoulCalibur VI n’attend que vous.

Note de la rédaction

16
14.7

L'avis des lecteurs (57)

Lire les avis des lecteursDonnez votre avis sur le jeu !
PS4 ONE Bandai Namco Combat Action Fantastique
Meilleures offres
Achetez vos jeux au meilleur prix :
- Dispo sur PC - 5.5€
PS4 18.81€ ONE 19.90€ ONE 19.99€ PS4 21.99€
Marchand
Supports
Prix
Dernières Preview
PreviewCe jeu vidéo nous envoie au paradis : On a joué à Hades 2 et on ne pense plus qu'à lui ! 18 avr., 18:30
PreviewUn nouveau jeu vidéo Prince of Persia sort en 2024 et il promet d'être mortel 10 avr., 19:45
PreviewCette série de RPG revient en force avec un nouvel opus qui se la joue Genshin Impact, et c'est une excellente nouvelle. On a joué à Visions of Mana et on a beaucoup aimé ! 28 mars, 14:00
Les jeux attendus
1
Grand Theft Auto VI
2025
2
Stellar Blade
26 avr. 2024
3
Star Wars Outlaws
30 août 2024
La vidéo du moment