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Preview Maneater : On a joué au RPG qui nous fait incarner un requin
Profil de Kaaraj,  Jeuxvideo.com
Kaaraj - Journaliste jeuxvideo.com

Il a montré ses dents acérées aux E3 2018 et 2019, s’est laissé approcher à la gamescom de l’an dernier avant de dévoiler sa date de sortie durant les Video Game Awards, mais Maneater a attendu la fin du mois de février pour enfin se laisser concrètement approcher. De quoi vous livrer nos premières impressions manette en main sur un titre qui entend vous faire vivre la vengeance d’un requin courroucé.

Maneater : On a joué au RPG qui nous fait incarner un requin

Nos impressions en vidéo

Si notre rendez-vous de la gamescom il y a quelques mois était surtout dédié à la présentation générale du titre et de ses mécaniques de jeux, nous avons ici du nous contenter de la première heure, qui offre tout de même quelques éléments de réponses sur la prise en main et l’histoire d’un RPG fort original.

“Au début elle meurt, et on incarne son fils”

Maneater : On a joué au RPG qui nous fait incarner un requin

Premier point intéressant à souligner, le ton adopté par le titre a pu soulever quelques doutes sur son message. Car forcément, il est ici question d’exploiter les mâchoires de notre requin pour ingurgiter animaux et humains et transformer un bébé squale en futur mégalodon carnassier : la dimension dangereuse de la créature s’avère toutefois justifiée par une base scénaristique plutôt classique jouant la carte de la vengeance. Les premières minutes du jeu vous mettent en effet dans la peau d’une femelle requin en train de traquer les chasseurs de primes de la baie, avant que le plus grand d’entre eux ne finisse par vous capturer… et vous mettre à mort. Mais dans son action, il commet une erreur fatale : ôter le nouveau-né du cloaque de sa victime. Une action qui lui coûtera sa main et la liberté du jeune requin, qui s’extirpe péniblement du bateau et commence donc sa vie avec l’ambition de se venger de cet acte odieux. Le titre prend d’ailleurs la forme d’un show de télé réalité par le biais d’une voix-off narrant l’ensemble de vos aventures, et qui s’accompagnait notamment d’une caméra façon found footage sur la cutscene évoquée plus haut.

Maneater : On a joué au RPG qui nous fait incarner un requin

Maneater ne se contente donc pas de jouer sur l’imaginaire collectif erroné autour des requins, mais offre une vision plus nuancée qui se matérialise aussi par les remarques cyniques sur l’humanité du narrateur. Un choix qui découle de la forme de show de télé réalité évoquée plus haut, que l’on retrouve donc à la fois lors des phases classiques de gameplay, mais aussi et surtout via les quelques cutscenes ici dévoilées qui adoptent le point de vue d’un caméraman censé suivre les aventures du chasseur à l’origine de la mort de la mère. Une idée plutôt bien vue, surtout pour la voix-off qui vient en plus contrebalancer la solitude de notre héros taiseux en apportant de la vie à l’ensemble. Autre mérite du soft, il fait tout cela avec une bonne dose d’humour noir et de légèreté permettant (à l’image d’un GTA finalement, toutes proportions gardées) de délivrer un message de fond sérieux sans oublier de rester léger sur sa forme et son ton.

Pimp my squale

Nous avions déjà évoqué dans notre précédente preview l’existence de mécaniques de progression lorgnant du côté des RPG, le tout dans une structure globale faite de zones semi-ouvertes. Maneater n’a pas changé sur ce point, et notre session nous a principalement permis de découvrir quelques points de détail à ce sujet. Après un bref séjour sur la côte, c’est dans la peau d’un bébé requin que nous avons arpenté le bayou, riche en éléments classiques de titres du genre. Outre une variété d’espèces dépendant de la zone explorée (poisson-chats, tortue, phoques, alligators…), des points d’intérêt sont également dissimulés dans l’environnement et peuvent révéler une grotte, un coffre à détruire pour en récupérer le précieux butin, voire un animal plus récalcitrant faisant office de mini-boss. Nous avons également croisé quelques éléments hors-sol à récupérer en réalisant un saut hors de l’eau, façon Tony Hawk de la belle époque. Il est d’ailleurs possible de révéler ces points d’intérêt en utilisant votre sonar, l’une des compétences que vous pouvez équiper à votre squale à mesure que vous les récupérez.

Maneater : On a joué au RPG qui nous fait incarner un requinManeater : On a joué au RPG qui nous fait incarner un requinManeater : On a joué au RPG qui nous fait incarner un requin

Pour cela, vous devrez franchir des niveaux en passant par un cheminement classique : glaner des points d’expérience en se nourrissant de la faune locale ou en accomplissant des quêtes annexes et principales. D’ailleurs, selon le type d’animal (ou d’humain), vous récupérerez différents sortes de nutriments qui devront être dépensées pour récupérer les fameuses compétences concernées. Et si les premiers niveaux n’avaient qu’une influence limitée sur la progression du personnage, le passage au quatrième nous a permis de voir notre héros quitter l’enfance pour l’adolescence, celui-ci gagnant alors en taille et en puissance. Un cap utile pour délaisser des premières quêtes annexes faciles, davantage dédiées à la régulation de la population des poisson-chats, au profit d’autres plus dangereuses nous mettant aux prises avec des crocodiles.

Maneater : On a joué au RPG qui nous fait incarner un requin

Pêle-mêle, on notera aussi la présence de grottes servant de repaires pour améliorer le requin, mais aussi de point de déplacement rapide, ainsi que la possibilité de croiser des chasseurs de primes. Si vous en tuez suffisamment, vous attirerez l’attention de leur boss, et il existe évidemment plusieurs d’entre eux à éliminer dans l’ensemble du monde proposé, qui comprend plusieurs biomes. Très classique tout en restant bien conçu, le système de progression ici proposé ne nous a pas forcément bluffé, d’autant plus que la prise en main restait limitée aux débuts de l’aventure : nous n’avons ainsi pas débloqué beaucoup de nouvelles compétences ou pu juger de leur pertinence sur la durée. De même, il est encore difficile de savoir si les quêtes annexes parviendront à se montrer plus variées sur la durée.

Nous voilà requin-qués

Maneater : On a joué au RPG qui nous fait incarner un requin

Avec tout cela, nous n’avons pas encore évoqué la prise en main générale du titre, qui nous a agréablement surpris. Le jeu vidéo a rarement brillé par ses niveaux sous-marins, la tâche n’était donc pas aisée. Tripwire Interactive s’en sort finalement bien en offrant un requin à la fois puissant, agile et rapide, qui bénéficie en plus d’une visée semi-automatique lorsque vous utilisez votre morsure. Quelques minutes suffisent à appréhender les mouvements les moins évidents, comme la prise d’élan sous l’eau pour espérer bondir sur un bateau. Le seul point plus délicat au premier abord concerne la caméra, qui peine parfois à suivre nos actions lors des affrontements rapprochés dans des environnements plus restreints. Un peu d’entraînement suffit pour s’en accommoder, mais il faudra tout de même la revoir en action pour trancher sur ce point. Par ailleurs, Maneater convainc sur sa proposition d’ensemble, offrant de la nervosité dans sa prise en main, un minimum de crédibilité sur ses animations (comme celles de vous cherchant à quitter la terre ferme) qui suffisent à éprouver du plaisir manettes en main. Reste à voir si ce sera toujours le cas après plusieurs heures de jeu.

Nos impressions

Sans forcément briller par ses idées ou sa structure qui restent classiques, mais maîtrisées, Maneater parvient après un peu moins d’une heure de prise en main à nous offrir un bon aperçu de ce qu’il entend proposer : un défouloir qui ne se prend pas trop au sérieux et dissimule l’hémoglobine et les cris sous une bonne couche de second degré et d’humour noir. Un fait qui ne l’empêche d’ailleurs pas d’avoir un sous-message moins bourru qu’il n’y paraît au premier abord. Reste à voir comment l’ensemble se matérialise sur la durée, cette première heure restant encore un peu chiche sur l’évolution du personnage, mais pour ce qui est du plaisir manette en main, Maneater a déjà quelques atouts à faire valoir.

L'avis de la rédaction
Prometteur
PC PS4 ONE Tripwire Interactive Open World Jouable en solo
Commentaires
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-Floruit -Floruit
MP
Niveau 36
le 01 mai 2020 à 09:45

RPG, donc on aura le choix d'être soit gentil et manger personne ou être cruel et sanguinaire ?

Lire la suite...
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