Lancée il y a deux semaine, la campagne Kickstarter du survival-horror joliment baptisé Song of Horror a réuni la moitié de la somme requise à son financement. 14 jours restent désormais aux équipes de Protocol Games pour lever un peu moins de 25.000€ pour mener à bien leur objectif. Pour relancer la machine, la première démo jouable gratuitement est rendue disponible.

L'histoire de Song of Horror nous conte la vie de Daniel Noyer, travaillant dans une maison d'édition sur le déclin. L'homme se fait donner rendez-vous par l'un de ses clients les plus importants dont on n'avait plus entendu parler pendant des semaines. Une fois arrivé à la résidence dudit client, Daniel réalise que quelque chose ne va pas : lumières éteintes, pas de chien de garde malgré les avertissements et de la porte d'entrée entrouverte parvient une musique...

Si Daniel Noyer est bien le protagoniste de l'aventure, il vous sera possible d'incarner 15 autres personnages, certains connectés à Daniel, d'autres complètement extérieurs. On nous garanti que bon nombre de ces personnages pourront mourir de manière permanente.

Protocol insiste sur le côté hardcore de son titre : pas de sauvegarde manuelle, pas de santé et surtout pas de héros dans Song of Horror. En effet, ne vous attendez pas à pouvoir lutter dans le jeu l'arme au poing. Au contraire, une entité répondant au nom de "Présence" finira par vous rendre fou si vous ne cherchez pas à courir ou à vous cacher d'elle. L'ensemble sera également saupoudré de puzzles.

Si vous désirez tester les mécaniques de base du jeu, sachez que vous pouvez vous procurer la démo ici même ou directement via la page Kickstrater du jeu. Le studio y va de son petit avertissement :

Il n'y a pas de tuto ni de longues explications. Vous êtes jeté dans le jeu et devez vous débrouiller vous-même. Nous avons inclus quelques indices lorsque vous mourrez ou lorsque certains événements majeurs arrivent avec la Présence, mais le reste appartient à votre réactivité et votre capacité d'observation.

Vous voilà donc prévenus.