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News débat et opinion La note d'un jeu vidéo : Une entité intouchable ?
Profil de [87],  Jeuxvideo.com
[87] - Journaliste jeuxvideo.com

La note d'un jeu vidéo : Une entité intouchable ?

Décortiquer, éprouver, évaluer, noter sont autant d'étapes qui constituent le processus de rédaction d'un test. Pouvoir bénéficier d'un support tel que jeuxvideo.com pour s'exprimer librement et donner une opinion sur la passion qui nous anime est une chance rare qui implique bien évidemment certaines responsabilités et une certaine méthode à laquelle le rédacteur ne saurait décemment se soustraire. Nous sommes pleinement conscients que le test rendu sera lu par de nombreux joueurs et que chaque écrit publié sera débattu sur nos forums et ailleurs, aussi est-il indispensable pour le rédacteur de savamment dissocier la part des sentiments qu'il couche sur papier de son estimation des charmes et défauts du titre qu'il teste, de la manière la plus objective possible.

Personnel et pas confidentiel

Je n'ai pas pour coutume d'employer la première personne du singulier lorsque je rédige un article, celles et ceux qui ont l'habitude de lire mes bafouilles le savent sans doute. Ceci étant dit, le billet qui suit est davantage le fruit d'une « analyse » personnelle, qui sera certainement illustrée d'expériences qui le sont tout autant et qui par conséquent n'engagent que moi. Aussi excuserez-vous s'il vous plaît l'emploi du « je » dans l'article qui suit.

Tout dépendra du testeur et de sa méthode de travail, mais concernant votre serviteur, le processus de test est souvent le même. Jouer un maximum, tenter de repousser le titre dans ses derniers retranchements et faire le tour le plus exhaustif possible du jeu avant d'écrire les premiers mots. Les difficultés de test varient en fonction du produit passé au crible, les obstacles sont divers et leur nature est conditionnée par celle du jeu en lui-même. Sur ce point, il n'y a pas de schéma prédéfini mais s'il en est un sur lequel je bloque invariablement, qu'il s'agisse d'un jeu populaire ou complètement confidentiel, c'est le moment fatidique, celui sans lequel on pourrait presque affirmer que le test n'a pas lieu d'être : celui d'attribuer une note. Il existe une multitude de raisons à cela, et cette difficulté met davantage en exergue l'impact général qu'a la notation qu'une difficulté réelle d'évaluation.

La rédaction de ce bloc n'est pas la partie la plus longue d'un test, mais elle n'est pas la plus évidente non plus.

La note d'un jeu vidéo : Une entité intouchable ?

La note est sacrée, c'est le cas depuis toujours sans forcément que l'on y réfléchisse. La scolarité, et donc une généreuse partie de notre avancée dans l'éducation intellectuelle, est conditionnée par cela : des bonnes ou des mauvaises notes. Pour autant, est-il nécessaire d'appliquer le même système aux choses qui ne sont pas évaluables par des chiffres, qui ne sont pas bêtement mathématiques, tout simplement parce que leur perception est variable d'un individu à l'autre ? Peut-on finalement supprimer la note d'un test et ne tenir pour évaluation que l'argumentaire du testeur sans se focaliser sur un résumé chiffré qui ne sera pas nécessairement représentatif d'un écrit de 10.000 caractères ?

La note : Méthodologie fixe et part de subjectivité

Nous serons d'accord pour considérer le jeu vidéo comme un art à part entière, et à ce titre, une forte dimension subjective rentre en compte dès lors qu'il s'agit de l'évaluer. La subjectivité est donc incontestable, mais peut être grandement atténuée par des considérations concrètes, communes au registre du jeu décortiqué. La durée de vie, les qualités techniques (optimisation, temps de chargement, etc.) sont par exemple des points fixes sur lesquels il est pertinent de s'appuyer pour distribuer les bons et mauvais points. On peut ainsi affirmer sans trop se tromper que l'attente d'un jeu exempt de bugs, bien optimisé et à la durée de vie correcte est commune à la plupart des joueurs.

L'expérience du testeur est aussi un élément favorisant l'attribution d'une note. Comparer aux titres antérieurs au jeu testé et qui se placent dans le même genre est également un bon appui pour savoir si tel titre est novateur ou non et aidera nécessairement à cerner la note à donner. Nous le voyons : énormément de facteurs aident le journaliste dans son évaluation, on pourrait également évoquer le modèle économique équilibré ou abusif d'un free-to-play, le rapport qualité / quantité / prix et bien d'autres points concrets qui rentreront systématiquement en ligne de compte quand l'heure de l'écriture arrive.

Cependant, et c'est bien là le charme de toute œuvre d'art, on ne peut résumer sa découverte et son assimilation à des considérations froides et mécaniques, et c'est là que le ressenti intervient, le grain de sable dans le rouage implacable de l'évaluation mathématique. La phase de jeu générera des émotions, des frustrations et des plaisirs différents en fonction de la personne qui s'y essaye. Et le testeur ne déroge pas à la règle, une part de ses sentiments entrera nécessairement en ligne de compte, même s'il tente d'être le plus objectif du monde. Si la traversée du jeu évalué a été source de colère, de frustration ou au contraire d'un plaisir non dissimulé, qu'on le veuille ou non, l'impact sur la note sera réel, pas nécessairement déterminant ni obligatoirement conscient, mais réel.

Ainsi la note concluant un écrit est le résultat d'une réflexion laissant une large place à des critères objectifs, et à une part moins significative mais existante de subjectivité. Le journaliste ne peut pas prétendre détenir la vérité absolue, ni même parler au nom du « joueur moyen » dont le profil n'existe pas. A mon sens, tenter d'écrire un test pour contenter tout le monde serait une erreur aussi grotesque que de ne le rédiger qu'à la lumière de ses critères objectifs qui rendrait le test clinique et stérile. La démarche d'évaluer un jeu en ne prenant en compte que les sentiments personnels reviendrait à abandonner les bases du métier de journaliste spécialisé et manquer cruellement au devoir d'information qui en découle. Ainsi, le test d'un jeu est fait de nuances qui peuvent difficilement être représentées en une simple note et quelques points positifs et négatifs.

Il existe autant de profils qu'il y a de joueurs : définir un "profil lambda" est impossible

La note d'un jeu vidéo : Une entité intouchable ?

La note comme seule responsable de la consommation fast-food du test ?

C'est là une partie de l'épineuse question du système de notation dans le jeu vidéo, au même titre qu'on peut le trouver dans les chroniques d'albums par exemple, domaine dans lequel j'ai exercé pendant quelque temps. La question que je me posais à l'époque était exactement la même qu'aujourd'hui. Comment résumer mon texte en une note, lorsque je sais que le lecteur consultant ma chronique la privilégiera pour se forger un avis préliminaire au détriment de l'écrit ? D'un site à l'autre, qu'il s'agisse de jeux vidéo, de musique, de cinéma, les échelles varient. Certains attribuent des pourcentages, d'autres des notes sur 10 et notre fourchette d'évaluation a depuis toujours pris la forme d'une note sur 20. Quelle que soit l'échelle, et en excluant les réputations et autres degrés de sévérité, il semblerait finalement qu'un test ne se résume qu'à une note au détriment de tout ce qui a précédé son attribution. Nous sommes nombreux à nous contenter de nous précipiter en bas de page, jeter un coup d’œil à la conclusion et lire les plus et les moins d'un test, pour savoir de quoi il retourne.

A cela s'ajoute le fait que le test se consomme différemment selon les profils qui viennent consulter un test. Il me semble, je précise bien que je ne me repose que sur une impression et non une étude concrète, que la lecture d'un test répond de moins en moins à un souci de découverte qu'à une volonté de confirmer l'impression que l'on se fait déjà de tel ou tel titre. Les trailers, les communiqués de presse, les visuels, les news se sont multipliés, bref les facilités de diffusion d'informations sont telles que l'on arrive en possession d'une foule de connaissances qui, si elle ne biaisent pas nécessairement notre opinion du jeu, nous amènent au test avec une idée de note presque définie à l'avance. Il n'est effectivement pas rare de voir des joueurs estimer avant la sortie du jeu la note qui accompagnera le test.

En outre, quand bien même nous arriverions avec un regard vierge de toute information sur l'évaluation d'un jeu qui nous intéresse peu ou prou, la première chose que nous ferions sans doute serait de nous ruer sur le bloc de conclusion, d'en consulter le contenu ainsi que la note qui lui est associée et nous empresser de passer à autre chose si ce qu'on y lit ne nous convient pas. Sans qu'il s'agisse de généralités, je ne dois pas être loin de la vérité et dois admettre dans ce cas, un peu à contrecœur, que c'est un comportement qu'il m'est arrivé d'adopter et que j'adopte encore.

Comme évoqué plus haut, c'est d'abord dans la nuance que s'effectue la rédaction d'un test, et ces nuances sont nettement plus développées et légitimées dans le corps du texte, qui offre une fenêtre d'expression bien plus étendue qu'une fourchette de notation allant de 0 à 20. C'est dans cette mesure que l'on peut reprocher à la note de ne pas être l'outil approprié pour résumer la pensée de l'auteur et que l'on peut ainsi remettre en cause sa pertinence à l'heure actuelle. Attention, loin de moi l'idée d'affirmer que le rédacteur, en justifiant sa note, ne peut être touché par l'erreur d'appréciation, appréciation encore une fois conditionnée par la personne qui pose les mains sur le jeu. La lecture de l'intégralité de l'écrit permet en revanche de mieux comprendre l'avis et les conclusions du rédacteur. La note n'invite pas nécessairement à la lecture de l'article et expédie en une poignée de secondes tout un raisonnement logique et argumenté. Mais elle impacte aussi directement le débat en biaisant involontairement son axe de construction.

Peu importe la forme qu'elle prend, l'évaluation finale ne repose que sur le texte qui l'accompagne.

La note d'un jeu vidéo : Une entité intouchable ?

Enlever la note pour élever le débat ?

Il n'est pas rare, c'est même quasi systématique, qu'une note fasse débat. L’échange d'opinions et d'arguments n'est clairement pas une mauvaise chose et est au contraire encouragé. C'est à mon sens d'ailleurs dans le mix d'opinions opposées que se trouve l'évaluation la plus juste d'une œuvre d'art. Le problème étant que la note elle-même est parfois davantage débattue que le test en lui-même. Il d'ailleurs courant de voir des réactions disproportionnées lorsque le 11/20 du rédacteur sanctionne un jeu que d'autres joueurs évalueraient plus sévèrement ou avec davantage de bienveillance. C'est là que le débat se nivelle par le bas.

Il nous arrive régulièrement de voir nos notes contestées et c'est assez fréquemment que nous les voyons remises en cause au motif d'arguments pourtant développés dans le texte, preuve que la lecture se fait souvent en diagonale. Le syndrome du Too Long ; Didn't Read est omniprésent et l'on pourrait s'imaginer, non sans amertume, que le bloc conclusion suffit désormais à se forger un avis sur la qualité et la pertinence du test. Etant particulièrement sensible à l'écrit, je ne partage pas et ne partagerai jamais cet avis. Et qu'importe le système de note, qu'elle soit numéraire ou qu'elle prenne la forme d'étoiles, de jauge ou de pictogrammes, la notation globale du jeu freinera toujours le désir de prendre connaissance de l'intégralité de l'écrit. Ce n'est pas une question de forme, c'est une question de démarche.

Fait véridique, tranche de vie de l'ami Lespol, à propos d'Assassin's Creed Black Flag

"Le jeu vaut 15 ou 17, mais certainement pas 16 !" Un lecteur anonyme

Supprimer la note ou la faire évoluer ?

Malgré tout, il convient de remettre les choses en perspective. La note est-elle la grande diablesse qui a été décrite dans les paragraphes précédents ? Non. Je concède volontiers ne pas toujours porter un regard bienveillant sur elle, vous l'aurez compris. Toutefois, s'en dispenser totalement semble délicat en ce qu'elle constitue aujourd'hui un guide d'achat, qui permet au lecteur de se faire une idée générale du jeu, de confronter sa propre appréciation globale d'un titre à celle du testeur de jeuxvideo.com, mais également de l'aligner avec celle de la concurrence. Elle permet pour les plus pressés de rester un lecteur libre d'aller consulter les différentes opinions du Web en un coup d’œil, libre à lui de lire l'intégralité des tests s'il le souhaite. Dans cette optique, la note trouve son utilité, nettement moins si le comportement du lecteur s'inscrit dans l’attitude évoquée plus haut qui consiste à ne s'intéresser qu'à une note, sans lire le texte qui l'accompagne. Mais le système d'évaluation gagnerait sans doute à évoluer pour mieux correspondre aux attentes des lecteurs.

Il faut garder à l'esprit que le marché du vidéo a considérablement évolué en peu de temps. Les jeux sont de plus en plus livrés en kit et sont susceptibles d'évoluer et de se peaufiner des mois après leur commercialisation. Nous tentons désormais, vous l'avez sans doute constaté, d'adopter des écrits de type « journal de bord » pour les produits évolutifs, les MMO en étant l'exemple le plus représentatif. C'est une réponse à l'évolution du marché qui vaut ce qu'elle vaut, mais qui permet d'adopter plus de souplesse et donc plus de pertinence dans l'évaluation d'un jeu. Mais est-ce suffisant ?

L'interprétation de la note seule : est-ce suffisant pour se forger un avis ?

La note d'un jeu vidéo : Une entité intouchable ?

Que faire par exemple de la note à l'ère de l'annualisation des licences ? Doit-on noter, par exemple, un Far Cry 4 en fonction des évolutions apportées depuis le précédent opus, ou doit-on considérer que la note ne s'adresse qu'aux joueurs n'ayant jamais joué à la franchise ? La note serait dans ce cas, et dans beaucoup d'autres, bien différente. Le problème est complexe. Ne devrait-on pas adopter au minimum un double système de notation ? Le joueur qui découvre une licence annuelle mérite tout autant un test qui lui est destiné que celui coutumier de la série. Si nous gardons l'exemple de Far Cry 4, le jeu est très bon pris individuellement. Si vous avez déjà retourné Far Cry 3, il n'est pas assez novateur pour vous emballer totalement. Mais l'annualisation d'une saga n'est pas le seul segment autorisant la remise en question les méthodes de critiques d'un jeu.

Les éditions remastérisées aussi sont source de conflits lorsqu'il s'agit de les évaluer. En effet, s'il n'est pas trop compliqué de se référer au test du jeu original lorsque son édition HD lui succède un an après sa sortie : quid des éditions dépoussiérant des titres vieux de plus de 10 ans ? Prenons par exemple Gabriel Knight : Sins of the Faters - 20th Anniversary Edition ou la plus récente réédition de Grim Fandango. 15 à 20 ans séparent ces nouvelles versions de leur terreau initial. Dans ce cas, quel chiffre doit-on attribuer lorsque la note a autant des allures de couperet ? Doit-on juger la qualité du portage et seulement cela, ou les charmes d'un jeu réussissant à l'époque à combler les attentes des joueurs qui ont tant changé en une décénnie ? La réponse à cette question se trouve dans la recherche de savoir à quelle cible s'adressent ces rééditions. Le problème étant que la réponse est double : une réédition si tardive pourrait aussi bien s'adresser aux "anciens" désireux de revivre une aventure chère à leur coeur qu'aux jeunes joueurs friands de découvrir un nouvel univers.

Le Gaming Live de l'édition anniversaire de Gabriel Knight : Sins of the Faters - 20th Anniversary Edition : comment évaluer une réédition ?

Dans un monde idéal, il faudrait que différents journalistes ayant des affinités avec un titre s'adonnent à l'exercice du test, ce qui permettrait de mettre en exergue les différences de sensibilité et donc proposer un panel plus diversifié et ainsi plus représentatif du lectorat. Les contraintes du milieu professionnel étant ce qu'elles sont, la chose n'est pas vraiment envisageable, et c'est aussi là qu'intervient la note lecteur, permettant à chacun d'entre vous d'évaluer à votre guise vos coups de cœur et faire part de vos coups de gueule. Ce système a une importance capitale. Si l'on mettra bien volontiers de côté les 0 et 20 un peu hâtifs, je consulte systématiquement les avis développés, me réjouis lorsque ma note a tapé juste, m'inquiète quand elle diffère grandement du ressenti de la majorité des joueurs. Les lecteurs ont cet « avantage » de pouvoir passer une grande quantité de temps sur un jeu, et sont ainsi parfois plus aptes à en déceler les points forts et les failles que le testeur n'aura pas nécessairement su percevoir. Toutefois, le lecteur n'est pas tenu au devoir d'objectivité du journaliste, certes relatif dans le cas d'évaluation d'un produit si impliquant, et peut se laisser plus facilement aller à l'évaluation de son ressenti, et de son ressenti seul.

Il serait facilement possible de pérorer pendant des heures et de décortiquer cette curieuse problématique qu'est la note d'un jeu vidéo, mais l'heure est venue de rendre la plume et de conclure ce qu'il faudra percevoir comme un papier résultant d'une envie de parler d'un sujet qui nous concerne tous et qui nous tient à cœur, sans arrière-pensées. Quoi qu'il arrive, et en ne diminuant aucunement la responsabilité qui nous incombe lorsque nous attribuons une note, la seule recommandation possible pour se constituer un avis sur un jeu reste encore de s'y essayer autant que possible, puis de venir en débattre avec la communauté et les rédacteurs. Car finalement, plus que la note en elle-même, c'est toute une manière d'évaluer le jeu vidéo qui doit être remise en question, afin que la presse ou le public ne disposent plus d'un outil aussi figé qu'une jauge, un pourcentage ou une fourchette de chiffres pour sanctionner une culture en évolution permanente.

Ce texte est également l'occasion de prendre le pouls de la communauté et de l'importance qu'elle accorde à la note. Comment la percevez-vous, quelle valeur lui accordez-vous ? Dans quelle mesure influence-t-elle votre volonté de jouer à un titre plutôt qu'à un autre et comment venez-vous consulter un test ? Concevriez-vous une suppression de la note ? Une nouvelle forme d'évaluation ? Autant de questions que l'on ne pose pas assez souvent à ceux qui nous font le plaisir de nous lire, et auxquelles j'espère vous répondrez dans les commentaires de cet article. Merci d'avoir lu le pavé, et on se retrouve en jeu.

Commentaires
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Makerotv Makerotv
MP
Niveau 8
le 07 mars 2015 à 00:34

J'ai pas inventé l'eau chaude, mais le problème c'est quand supprimant les notes et en faisant du publirédactionnel, vous n’êtes plus journalistes, mais publicitaires :hap:

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