C'est d'abord sur Twitter que Phil Spencer, le grand chef Xbox, a nonchalamment avancé que les développeurs auront à présent accès à un processeur graphique profitant d'un regain de bande passante dans les kits de développement Xbox One.

Une annonce que Microsoft a ensuite détaillée en confirmant que c'est bien le retrait de Kinect qui permet de libérer des ressources GPU qui lui étaient auparavant strictement réservées et donc inexploitables par les codeurs. Un gain de puissance estimé de 10% qui sera accompagné par de nouveaux outils de développement plus "flexibles". En termes clairs, le retrait de l'obligation de lier Kinect à la console devrait avoir pour heureuse conséquence un gain d’optimisation pour les joueurs.

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