Panthaa a pu jouer à Valorant, le FPS de Riot Games, qu'on connaissait jusque-là sous le nom de Project A. Il nous donne ses impressions, après plusieurs sessions de jeu.
Panthaa voit en Valorant un vrai Counter-Strike avec des pouvoirs. On y trouve deux types d'agents, les DPS et les Assists, et chaque agent a des capacités propres. Des capacités avec des effets qu'on connait déjà, comme la possibilité de ralentir un ennemi, le rendre plus bruyant, l'aveugler comme une grenade flash le ferait ... Les armes et les pouvoirs sont à acheter en début de manche. C'est pourquoi les compétences n'ont pas de cooldown : il faut acheter des charges. Le concept du jeu est le même que dans CS : poser une bombe ou la désamorcer. Le jeu dispose pour l'instant de quatre cartes, avec chacune un concept différent (une avec trois sites pour la bombe, une avec des téléporteurs ...). Côté économique, le jeu sera un free-to-play, probablement avec un battle-pass, des skins, des récompenses ... Riot Games fait tout pour créer un jeu compétitif et fiable. C'est pour cela que les serveurs promettent 128 ticks, et un ping inférieur à 35 ms. C'est aussi pour ça que le jeu n'est pas très beau, et demande une configuration pas trop récente. Riot souhaite faire un jeu très lisible pour tous les joueurs. Côté anti-cheat, les serveurs n'enverront pas toutes les informations à votre machine, pour que les logiciels de triche ne puisse pas localiser les autres joueurs, par exemple. Valorant devrait sortir durant cet été, et Riot donnera plus d'informations en mars durant un événement dédié, avec des joueurs professionnels et des streameurs.