Ce soir, ce fut au tour de Psyonix d'être interrogé par Greg Miller, avec notamment Scott Rudi, game director sur le jeu phare du studio : Rocket League. Ce dernier a commencé par évoquer l'événement Radical Summer, qui plongera les joueurs dans les années 80 au cours de trois phases : les blockbusters (10 au 30 juin), la culture (1er au 21 juillet) et la télévision (22 juillet au 12 août). Il a indiqué qu'il a été compliqué de récupérer toutes les licences, mais surtout de trouver la bonne manière de les intégrer au jeu. Il fallait rester pertinent par rapport au titre, tout en ayant les licences qui le subliment le temps d'un événement.

Ensuite, les développeurs ont été questionnés sur l'avenir du studio au travers de Rocket League en commençant par son lancement. Ce à quoi l'équipe de Psyonix a répondu :

C'est toujours excitant d'avoir peur de la réaction des joueurs quand on lance des jeux, c'est pour ça qu'on est là. Rocket League a été (un lancement) génial car nous n'étions sûrs de rien. Son lancement gratuit sur le PS Plus a été un vrai test, et public a continué d'arriver ensuite. On pense vraiment que le jeu fait partie de ceux pouvant rester en place pendant 10 ou 20 ans. La partie eSport et l'accessibilité, quels que soient l'âge et la maîtrise participant à ce succès.

Ensuite, le studio a répondu à une question à propos d'éventuels autres projets. Si le studio reste pour le moment totalement concentré sur Rocket League, la porte n'est pas fermée à d'autres productions :

Nous avons des équipes qui travaillent sur des prototypes d'autres jeux quand une idée intéressante survient. Ce sont juste des idées sur lequelles quelques personnes se penchent.

Autrement, dit, le studio est ouvert aux itérations, mais rien de concret ne semble se dégager pour le moment. Dans tous les cas, Psyonix semble très heureux de Rocket League et espère le garder actif très longtemps.

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