Bien avant Odin Sphere et Oboro Muramasa, l'équipe qui est devenu Vanillaware s'était déjà illustrer sur cette perle qu'est Princess Crown, sortis sur Sega Saturn puis PSP, ce jeu rappelle directement Odin Sphere qui est sans aucun doute sa suite spirituelle (les scénario sous forme de livres entre autres), on a affaire là à un A-RPG en scrolling 2D, les combats tiennent plus d'un jeu de combat qu'un BTA à titre de comparaison avec Odin Sphere. Le jeu nous relate l'histoire de la princesse Gradriel de Valenadine qui doit repousser le mal qui s'abat sur le royaume, une fois le jeu finis avec Gradriel on a le droit à 3 scénario bonus avec d'autres personnages, et un ultime livre avec un boss qu'on reverra bien après en tant que PNJ dans Odin Sphere, graphiquement le jeu est au top et démontre pourquoi la Saturn reste sans doute la console qui a la réputation d'avoir fait tourner parmi les plus beaux 2D, musicalement, là aussi c'est du tout bon avec tantôt des thèmes doux et mélodieux, tantôt d'autres épique adapté à la situation. Ce jeu est sans doute un must have que je recommande aux fans de RPG ou d'Odin Sphere, le seul gros bémol qui découragera une majorité de joueur est que le jeu est disponible qu'en japonais, mais des scripts anglais aide sans soucis à régler le problème.

Odin sphere devait s’appeler, Princess crown2! Princess crown née d’un coup de bluff, initialement jeu de baston à la SFII, un investisseur chez capcom, demanda « Votre jeu, c’est bien un RPG n’est-ce pas ? » « Oui ! » et voila. Ce n’est pas un jeu de Vanillaware, et sauf le directeur, presque aucun membre de l’équipe de développement de PC n’intégrera Vanillaware, mais tous les ingrédients sont déjà la. Scénario 14/20 : L’écriture est tout à fat correcte,. Le jeu propose de suivre 4aventures 1 longue principale, 1moyenne ,2 courtes chacune avec un personnage différent. L’histoire principale concerne la princesse Gradriel, Face à son manque d’expérience, , la princesse décide de s’enfuir pour voyager. La première partie de cette histoire prend alors un tournant initiatique, Gradriel voyagea au travers de son royaume, rencontrant une ribambelle de personnages, sauvant village, tout en apprenant à ne pas se fier aux apparences. Une fois que la princesse s’est affirmée, elle prend avec dignité son rôle alors quer le royaume subit l’invasion de démons. Le scénario propose rebondissements, trahison, faux semblant, remise en question, visite de contrées lointaines. Toutefois il est moins ambitieux que celui d’OD, plus simple et linéaire. Mais ton léger et humoristique,. On apprécie également les nombreux dialogues avec des NPC rencontrés, qui donne vie à l’ensemble. On rencontre un perso qui réapparait par la suite dans OD, celui-ci nous renseign un peu sur OD! Néanmoins jeu n’est dispo qu’en japonais (non doublé), même s’il ne faut pas être un crack pour tout lire, Il est cependant préférable si votre niveau de japonais vous inquiète, de jouer à la version saturne, grand écran. Gameplay 16.5/20. Le gameplay inspirera là encore beaucoup OD, les deux de richesse à peu près égale. Les perso disposent d’une barre d’endurance qui empêche tout attaque et défense si vide. Un combo simple, une attaque vers le bas, le haut, en l’air, une attaque chargée (très puissante mais qui vide la barre d’endurance et rend le personnage immobile), une attaque relevé, la possibilité de se défendre beaucoup plus utile et nécessaire que dans OD, une esquive divers items pluie de météorites, bombes etc. Les ennemis assez vicelard pour certain exigent prudence. Le jeu comporte un aspect exploration, les donjons parfois labyrinthique implique de bien choisir sa route, d’autant plus si l’on veut dénicher les rares point de sauvegardes. Il y a un peu trop de backtracking. L’inventaire est presque pire que dans OD, les nombreux items, pleuvent et oblige une utilisation constante, avec l’inextricable dilemme, quel item jeter pour récupérer celui-là ? En revanche l’alchimie n’est pas présente, tout au plus quelques rudiments de combinaison d’items pour la cuisine ou de magie.L’aventure propose une dizaine de quêtes annexes, qui ont le bon gout de presque toujours proposer un donjon nouveau. Comptaient aussi sur un mini jeu sympathique mais sans plus. Le point noir du gameplay, repose sur l’aréne de combat, de la largeur d’un peu moins deux fois l’écran, au-delà duquel les personnages ne peuvent plus se déplacer, ce qui peut s’avérer bien énervant lorsque l’on ait aculé. Et les combats aléatoires un peu trop fréquent. Difficulté 15/20 : Passez un début de jeu relativement difficile. Le jeu devient un poil trop simple dès lors que l’on retient les patterns adverses et que l’ont ait préparé les bons items, mais à la suite d’une erreur on peut vite se faire enchainer par un ennemi un peu trop agressif. La mort synonyme de game over est punitive, alors que dans les donjon les points de sauvegardes sont rare. Mais dans l’ensemble une difficulté bien maitrisé, pas trop dure si l’on est préparé, pas simple au point de ne pas devoir se concentrer (les goblins pourront vous donner quelques sueurs froides à haut niveau).Durée de vie : 15/20, compté plus ou moins 40h mais rejouabilité faible.Graphisme 13/20 : C’est jolie, véritable soin au chara design et animations, mais direction artistique des décors faible, répétitif en donjons. A cause du cout de Princess crown, la boite de développement du jeu déjà en difficulté coule. pendant dix ans Kamitani ne crée plus aucun jeux, ruminant son inspiration créatrice en vivant de miettes de pains, après ces 10ans, intervient OD ! Fondamentalement mis à part le gameplay, de richesse équivalente, princess crown reste inférieur à OD. Mais si vous étes fan de vanillaware et que la barrière de la langue ne vous fait pas peur, lancez-vous ! A défaut de trouver une perle, vous aurez tout de même beaucoup de plaisir à réapprivoiser un univers familier. Si vous ne connaissez pas OD mais que vous êtes amateur de jeux rétro... joueur à OD qui joue déjà bien la carte rétro++