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Les avis les plus utiles

18/20
abdulausaure
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Niveau 7
Posté le 06 mars 2015 à 07:33

Alors, meme si je n'ai pas encore tout à fait fini le jeu, je me permet quand meme une note (histoire de lui donner un coup de pouce vu qu'on en parle pas trop):

Sachez que si vous aimez les survival horror à l'ancienne vous ne serez tout simplement pas decu; l'ambiance et le style graphique, combiné à la musique et au bruitage sont tout simplement reussi, l'exploration et passionante et on ne s'ennuie jamais (un default du genre survival horror, est qu'il est rare qu'il n'y ai pas des passages à vide) grace à de nombreux documents tous passionants à lire (vraiment, les themes abordés par les devellopeurs sont trés bien traité).
Le petit plus c'est que l'on sent une envie des dévellopeurs (des anciens d'Alone in the dark, il me semble) d'envisager le jeu video à l'égal d'un roman, une bd, ou un film mais sans pour autant enlever au joueur sa participation et son effort de recherche et de reflection.
Bref, excellent.

Il y a bien sur quelques petits défaults mais je m'en rappelle plus, sur que des rageux habituels ne manqueront pas de les souligner.

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16/20
GrandSephiroth
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Niveau 10
Posté le 01 avr. 2015 à 08:18

Survival horror à l'ancienne largement inspiré d'Alone in the Dark, White Night nous met dans la peau d'un inconnu au physique de détective blessé par un accident de voiture allant chercher de l'aide dans un manoir tout proche semblant abandonné. Dans une ambiance de jazz des films noirs des années 1930, le jeu frappe d'abord par sa magnifique direction artistique en noir et blanc très travaillée sur les jeux d'ombre et de lumière alors au cœur du récit. La narration, très présente, fait directement parler le personnage, qui se demande dans quels mystère il a atterri et comment ça se fait que le fantôme d'une jeune femme semble lui indiquer un chemin.

Très calme et sombre, le jeu axe son gameplay sur la recherche et la gestion des allumettes pour éclairer les lieux. De nombreux documents sont à lire sur les personnages ayant habité le manoir, des photos, des coupures de presse et des lettres de victimes enrichissent le background. On peut sauvegarder la partie à chaque fauteuil blanc éclairé, sachant que si l'on perd, on recommence à la dernière sauvegarde avec les dernières actions à refaire, mais avec les documents conservés comme lus.

Les lampes fonctionnelles étant peu nombreuses, des allumettes sont à ramasser un peu partout et ne durent que quelques secondes avant de s'éteindre. Douze peuvent être portées simultanément et l'animation de l'allumette qui se craque est très bien faite aussi bien au niveau du geste que du bruitage. Pendant l'exploration, se retrouver dans le noir trop longtemps fait monter la tension et tue le personnage comme si un fantôme croisait notre route. Les allumette s'éteignent sans prévenir et il est important de bien les gérer afin de ne pas se retrouver à cours. Il arrive qu'il faille rebrancher des prises ou rétablir un générateur afin de pouvoir allumer des lampes qui tuent les fantômes du coin. Certaines lumières servent également les énigmes, assez présentes dans le jeu et pas toujours évidentes.

Le gros point fort de White Night est surtout l'angoisse qu'il procure alors que l'on explore le manoir à la recherche de réponses. Le peu de lumière présente et le fait que les halos bougent un peu nous met toujours sur nos gardes, les fantômes de Margaret (la mère de la famille) n'étant jamais loin. Si la gestion des allumettes peut être source de stress, l'hostilité des lieux et l'obscurité omniprésente renforcent considérablement le sentiment de peur avec la fuite obligatoire s'il n'y a aucune lumière à proximité pour éliminer les spectres.

On trouve parfois des objets à utiliser, et notamment des clés pour ouvrir des portes ou des objets particuliers. L'exploration du manoir commence au rez-de-chaussée, et se poursuit aux deux étages, puis dans les sous-sols. Aucune arme n'étant disponible à part le bon sens et la lumière, la recherche et la résolution d'énigmes sont des composantes importantes du jeu. Les fantômes ont souvent de quoi surprendre et un seul contact étant fatal, le jeu a aussi un côté die and retry dynamique qui permet de reprendre à la dernière sauvegarde tout de suite après ; on peu cependant lui reprocher d'être parfois trop aléatoire concernant le comportement et le placement des fantômes, il n'est pas rare de se faire avoir un peu au pif.

L'attitude mystérieuse du fantôme de Séléna est très intrigante et la voix du personnage principal renforce le côté film noir et octroie une angoisse supplémentaire. Entre magnifiques jeux d'ombre et de lumière sans couleur et gameplay rendant le personnage vulnérable bien assumé, White Night s'impose comme un classique singulier du survival horror indépendant n'ayant pas à rougir de ses confrères contemporains à plus gros budget !

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Tous les avis lecteurs (8)

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1 
18/20
abdulausaure
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Niveau 7
Posté le 06 mars 2015 à 07:33

Alors, meme si je n'ai pas encore tout à fait fini le jeu, je me permet quand meme une note (histoire de lui donner un coup de pouce vu qu'on en parle pas trop):

Sachez que si vous aimez les survival horror à l'ancienne vous ne serez tout simplement pas decu; l'ambiance et le style graphique, combiné à la musique et au bruitage sont tout simplement reussi, l'exploration et passionante et on ne s'ennuie jamais (un default du genre survival horror, est qu'il est rare qu'il n'y ai pas des passages à vide) grace à de nombreux documents tous passionants à lire (vraiment, les themes abordés par les devellopeurs sont trés bien traité).
Le petit plus c'est que l'on sent une envie des dévellopeurs (des anciens d'Alone in the dark, il me semble) d'envisager le jeu video à l'égal d'un roman, une bd, ou un film mais sans pour autant enlever au joueur sa participation et son effort de recherche et de reflection.
Bref, excellent.

Il y a bien sur quelques petits défaults mais je m'en rappelle plus, sur que des rageux habituels ne manqueront pas de les souligner.

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16/20
GrandSephiroth
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Niveau 10
Posté le 01 avr. 2015 à 08:18

Survival horror à l'ancienne largement inspiré d'Alone in the Dark, White Night nous met dans la peau d'un inconnu au physique de détective blessé par un accident de voiture allant chercher de l'aide dans un manoir tout proche semblant abandonné. Dans une ambiance de jazz des films noirs des années 1930, le jeu frappe d'abord par sa magnifique direction artistique en noir et blanc très travaillée sur les jeux d'ombre et de lumière alors au cœur du récit. La narration, très présente, fait directement parler le personnage, qui se demande dans quels mystère il a atterri et comment ça se fait que le fantôme d'une jeune femme semble lui indiquer un chemin.

Très calme et sombre, le jeu axe son gameplay sur la recherche et la gestion des allumettes pour éclairer les lieux. De nombreux documents sont à lire sur les personnages ayant habité le manoir, des photos, des coupures de presse et des lettres de victimes enrichissent le background. On peut sauvegarder la partie à chaque fauteuil blanc éclairé, sachant que si l'on perd, on recommence à la dernière sauvegarde avec les dernières actions à refaire, mais avec les documents conservés comme lus.

Les lampes fonctionnelles étant peu nombreuses, des allumettes sont à ramasser un peu partout et ne durent que quelques secondes avant de s'éteindre. Douze peuvent être portées simultanément et l'animation de l'allumette qui se craque est très bien faite aussi bien au niveau du geste que du bruitage. Pendant l'exploration, se retrouver dans le noir trop longtemps fait monter la tension et tue le personnage comme si un fantôme croisait notre route. Les allumette s'éteignent sans prévenir et il est important de bien les gérer afin de ne pas se retrouver à cours. Il arrive qu'il faille rebrancher des prises ou rétablir un générateur afin de pouvoir allumer des lampes qui tuent les fantômes du coin. Certaines lumières servent également les énigmes, assez présentes dans le jeu et pas toujours évidentes.

Le gros point fort de White Night est surtout l'angoisse qu'il procure alors que l'on explore le manoir à la recherche de réponses. Le peu de lumière présente et le fait que les halos bougent un peu nous met toujours sur nos gardes, les fantômes de Margaret (la mère de la famille) n'étant jamais loin. Si la gestion des allumettes peut être source de stress, l'hostilité des lieux et l'obscurité omniprésente renforcent considérablement le sentiment de peur avec la fuite obligatoire s'il n'y a aucune lumière à proximité pour éliminer les spectres.

On trouve parfois des objets à utiliser, et notamment des clés pour ouvrir des portes ou des objets particuliers. L'exploration du manoir commence au rez-de-chaussée, et se poursuit aux deux étages, puis dans les sous-sols. Aucune arme n'étant disponible à part le bon sens et la lumière, la recherche et la résolution d'énigmes sont des composantes importantes du jeu. Les fantômes ont souvent de quoi surprendre et un seul contact étant fatal, le jeu a aussi un côté die and retry dynamique qui permet de reprendre à la dernière sauvegarde tout de suite après ; on peu cependant lui reprocher d'être parfois trop aléatoire concernant le comportement et le placement des fantômes, il n'est pas rare de se faire avoir un peu au pif.

L'attitude mystérieuse du fantôme de Séléna est très intrigante et la voix du personnage principal renforce le côté film noir et octroie une angoisse supplémentaire. Entre magnifiques jeux d'ombre et de lumière sans couleur et gameplay rendant le personnage vulnérable bien assumé, White Night s'impose comme un classique singulier du survival horror indépendant n'ayant pas à rougir de ses confrères contemporains à plus gros budget !

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17/20
Gadgetron
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Niveau 40
Posté le 27 juil. 2015 à 11:47

Lorsque j'ai regardé le trailer de lancement, j'étais tout de suite tombé sous le charme du jeu, un visuel cell shading en noir et blanc, dans les années 50, j'adhère.
Rajoutez à cela un genre horreur/exploration sans tomber dans le cliché du survival à coup de fusil à coup de pompe, et vous obtiendrez un titre d'une remarquable originalité.
En effet, le héros ici n'a pour seule arme (ou moyen de défense plutôt) qu'une boite d'allumette, afin de garder les mauvais esprits à distances. Pas la peine de dire combien la pression est présente lorsque nous avançons doucement dans le noir, en ayant qu'un petite réserve de ces dernières, sans compter la musique (simple mais très efficace) qui va crescendo lorsqu'un "fantôme" s'approche de nous.
Visuellement, c'est beau, même si c'est en noir et blanc, cela sied parfaitement le style, la DA est bonne, on ressent vraiment une ambiance mystique dans un manoir du début XXeme. Au niveau de la musique, pas de gros morceaux, mais quelques airs oppressant lorsqu'il le faut. Concernant le gameplay, c'est basique, déplacement/interaction, rien de bien farfelu. On notera tout de même les points de sauvegarde fixe (sous forme de fauteuil), cela veut dire que vous ne pourrez pas quitter le jeu sans vous asseoir dans l'un de ces derniers, ce qui rend le jeu encore plus nerveux, ainsi que des angles de caméra fixes, selon les endroits où nous nous déplaçons, malheureusement ces derniers nous ferons souvent défaut.
Au niveau de la durée de vie , c'est très correcte, sans compter qu'il y a pas mal de collectibles à récupérer sous forme de lettres, livres, photos, qui nous permettront de nous instruire encore plus sur le scénario.

En bref, la petite équipe Française d'O-Some studio a , pour leur premier jeu, très bien réussit son entrée dans le milieu du JV indépendant, je ne saurais que fortement vous recommander ce petit jeu fort sympathique, qui est pour moi un de mes coups de coeur indés, malgré le fait que je ne sois pas un fan incontesté du genre "Survival".

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13/20
NeroNecro
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Niveau 3
Posté le 24 mai 2015 à 02:46

Que dire que se jeux est juste une perle est que il y a pas asser , lia est exselent meme si quelle foit ma en voiler dans le mur. Se jeux est tres nerveu et ses vraiment sont point fort.Est il rent vite accros.

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17/20
malacki
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Niveau 5
Posté le 13 mars 2015 à 22:17

Un jeu que je guettais, espérant qu'il ne rejoigne pas la myriade de déceptions vidéo-ludiques qui a accompagnée nombres de sorties tant attendues ces deux derniers années. Au final, il n'en est rien. Du moins me concernant.

Le jeu a une patte artistique qui lui est propre, cette identité qui sied très bien au genre et qui accompagnée d'une sonorité jazzy qui transporte aisément le joueur dans l'aventure. L'ambiance qui se dégage de cette dernière est bien présente et chaque crissement de ces planches au sol que notre héros foule, chaque bourdonnement inquiétant et autres multitudes petits bruits qui accompagne notre avatar dans cette nuit blanche renforce cette même immersion. Les différents textes, photos et éléments du background découverts dans le jeu aident peu à peu à comprendre ce qui se trame dans ce manoir, en faisant un jeu pleinement narratif qui nous happe dans l'espoir de découvrir ce qui parmi ces murs sinistres qui laissent présager le pire. Le système d'allumettes, petites merveille à mon regard, nous pousse un minimum à ne pas trop tergiverser, au vu de notre avenir sans ces dernières. Celui ci, nous lâchant bien entendu assez de leste pour ne pas nous imposer une course effrénée contre la montre.

Ceci dit, si l'ambiance, la patte artistique et cette histoire qui nous happe en font un jeu passionnant, qu'il est au combien difficile de lâcher, à mes yeux et bien... je pense qu'il n'en sera pas de même pour tous. Le système de sauvegarde peut déplaire, celui ci, hormis à quelques rares moments tel les changements de chapitre impose certaines contraintes décrites dans le test. Je trouve personnellement que celui renforce encore une fois le côté survival, qu'il permet de ne pas trop prendre le joueur par la main et le définir comme un assisté qui a besoin de réapparaitre pile où il est mort comme dans certains jeux, lui permet de sauvegarder à la moindre ouverture de porte etc.. ce qui n'oblige pas forcément le joueur à réfléchir à ses actions et mieux appréhender ses actes par la suite. D'autres penseront bien différemment, ce qui est leur droit mais cela risque de représenter un gros point noir pour certains.

Ensuite, certains plans, angles du jeu peuvent eux aussi irriter. Ce qui a ici été mon cas, dans de rares moments ceci dit. Je rejoint ce que j'ai put lire par ci et par là sur ces plans parfois pour le moins hasardeux dans leur approche. Courir en ayant un plan très éloigné ou l'ombre d'un fantôme reste très vague, tout en devant faire attention à la perspective d'un décor bien lointain à nos yeux peut rendre certaines de nos mises à mort plus irritantes et ce plus que cette patte artistique définissant ce même plan n'est fabuleuse.

Bref, je ne vais pas tergiverser plus longtemps. Un jeu qui passionera sans doute, pour peu que l'on adhère à l'univers, les amateurs de survival à l'ancienne ne demandant pas trop d'action. Un jeu pour ceux qui recherchent plus une histoire et une ambiance dans laquelle se plonger avec grande immersion, eux qui aiment un background riche et travaillé. Aux autres, peut être à essayer chez un ami, se renseigner plus en avant pour précéder un futur achat qui, ce que j'espère, incitera peut être les développeurs à produire d'autres petites pépites de ce genre.

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1/20
Koukounet
Alerte
Niveau 10
Posté le 10 mars 2015 à 23:20

Jeu vraiment nul a tout point de vue, j'avais donné un avis argumenté mais supprimé par JVC :-(
jouabilité nulle, angle de vue mal placé, jeu horripilant au possible, les sauvegardes infames deja donnent pas envie d'aller plus loin, les graphismes n'en parlons pas, une horreur , au sens propre du terme , en noir et blanc, bref passez votre chemin ^^

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10/20
e-r-i-a-m
Alerte
Niveau 4
Posté le 04 avr. 2016 à 23:19

Vraiment dommage...
Pour moi:
une direction artistique magnifique
Une voie off qui fonctionne et qui nous rend l'histoire crédible
Une ambiance à la sin City que j'adore !!

Par contre...:
Des fantômes impossible qui mon gâché le jeu... Avec leur "one shot" qui m'ont plusieurs fois bloqué, je n'ai pas eu le courage de terminer le jeu, j'ai du de rage m'arrêter au chapitre 3... Je n'ai pas beaucoup de temps consacré au jeu donc je préfère arrêter que de m'énerver a cause de ces fantômes.. Vraiment dommage, je repasserai peut être plus tard..

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15/20
RuinsOfMemory
Alerte
Niveau 10
Posté le 22 mars 2015 à 15:51

Suite à un accident de voiture, vous vous réfugiez dans la maison la plus proche pour y trouver de l'aide. Hélas pour vous, il semble que quelque chose ne tourne pas rond en ces lieux. Nous sommes en 1938 et le cauchemar à base d'horreur et de mélancolie peut commencer...

Héritier des vieux survival-horrors tels Alone in the Dark ou Silent Hill, White Night est un jeu d'ambiance se portant avant tout sur l'exploration. La maison étant plongée dans le noir, c'est armé d'allumettes que vous devrez vous frayer un chemin à travers des pièces empestées de fantômes. Ces derniers sont coriaces et il leur suffit de vous toucher pour vous tuer instantanément. Face à eux vous n'aurez que deux solutions : fuir ou tenter d'allumer une lampe électrique, seul point faible de ces monstres.

Le gameplay de White Night se révèle donc assez exigeant. Vous devez avancer méthodiquement sans vous précipiter au risque de tomber nez-à-nez avec un fantôme synonyme de Game Over. Les sauvegardes, quant à elles, se font manuellement et seulement à certains endroit précis (des fauteuils). Il vous faudra donc souvent retourner sur vos pas pour sauver votre partie. A noter la présence de quelques énigmes qui sont cependant assez simples.

Avec son gameplay old-school bien sympathique, White Night se révèle donc être un bon challenge pour les amoureux du survival.

Quant au scénario du jeu, celui-ci se dévoilera à vous sous forme d'écrits. Vous devrez fouiller tous les recoins de la maison pour y trouver des journaux intimes, des coupures de presses ou encore des lettres qui vous permettront de découvrir l'histoire de cette maison maudite et de ses habitants. Le problème est que l'intrigue se révèle assez classique et surtout, trop prévisible. Les créateurs ont repris les poncifs du genre de l'épouvante et les ont recopiés sans vraiment y apporter de novations. Cela est dommageable pour un jeu qui s'appuie essentiellement sur sa trame scénaristique.

Mais ce petit défaut est heureusement rattrapé par la superbe direction artistique du titre. Le jeu se présente à nous dans un superbe noir et blanc nous renvoyant directement à des films comme Psychose d'Alfred Hitchcock. Cette esthétique renforce l'ambiance sombre du jeu et donne à celui-ci un cachet singulier. Certains décors sont d'ailleurs magnifiques et vous donneront l'envie de vous arrêter pour les observer, ce qui donne au jeu un petit côté contemplatif.

Bref, White Night est un jeu que je conseille à tous les amateurs de vieux suvival-horrors et également à tous ceux voulant découvrir un univers original.

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