Très bon jeu bien que pas très long, comme souvent je ne compte pas la seconde campagne qui n'est qu'un miroir de la première. L'ambiance est vraiment bonne et agréable ( la bande son n'y est pas pour rien ) tout comme l'univers, excellent gameplay, curieux par contre qu'on puisse facilement tuer des mobs juste en utilisant le petit robot. D.A bonne dans l'ensemble mais le parc d'attraction reste très au dessus du reste, dommage que le niveau n'ai pas été tel sur toutes les maps. Histoire qui se laisse suivre, le dernier quart du jeu m'a laissé perplexe, pas mal de boss d'affilé peu inspiré et pas folichon. . Un titre agréable

Ça faisait longtemps qu'un ne m'avais pas autant bouleversé... un réel chef d'œuvre.
J'espère vraiment qu'il y en aura un nouveau !
Un des seuls jeux que j'ai platiné avec autant de plaisir.

J'avais adoré Nier (le 1er), mais trouvé que l'espace de jeu était trop réduit. Ici, l'espace est beaucoup plus étendu.Mais c'est à peu près tout ce que j'ai préféré sur ce Nier automata par rapport au premier. Dans l'ensemble, j'avais préféré le contexte du premier Nier, plus fantastique. Ici on est dans de la SF, à se battre contre ces robots qui sont le plus souvent, soit comiques, soit grotesques. La musique est quand même eu rendez-vous, grandiose comme dans le premier volet. On retrouve aussi ces changements de caméra qui modifient le gameplay, mais ici moins variés et surtout moins à propos puisqu'on a beaucoup de combats de boss en 2D, là où le premier Nier tirait parti de combats grandioses et lyriques en 3D. Cela reste cependant un excellent jeu avec un scénario tordu, une narration soignée (cette alternance de points de vue sur la toute fin), des personnages attachants. il y a aussi des défauts en commun avec le premier volet comme le craft des armes, difficile et qui ne sert à rien

Nier est un jeu vidéo qui...que dis-je une œuvre exceptionnel qui mérite d'être essayé au moins une fois dans sa vie. Que se soit le scénario, les personnages et les musiques LES MUSIQUES bordel !!! Elles nous transportent littéralement. Juste pour l'ultime chance que nous ayons eu d'avoir une suite à Nier et que la série perdure ACHETEZ-LE !! Vous ne le regrettez pas. Pour peu qui vous ayez un minimum de goût.

Je lui mets la note maximale car je suis complètement tombé sous le charme.de ce jeu. Après l'avoir fini ce jeu m'a vraiment marqué en tant que joueur. Il entre très facilement dans mon top 3 avec Tales of Vesperia, et Xenoblade.

A l'exception de la série des "Souls", les années passant, j'ai quasiment perdu tout attrait pour le jeu vidéo. Trop habitué aux studios qui ne veulent plus prendre de risques et servent exactement ce que l'on attend d'eux, trop habitué aux open world qui oublient d'avoir une narration, trop habitué aux jeux qui font du remplissage...

C'est alors que j'entendis parler de Nier:Automata, la suite d'une série dont je ne connaissais même pas l'existence. Après avoir testé la demo et mettre renseigné, j'ai fondé tout mes espoirs sur ce jeu. J'ai même créé un pseudo en son honneur sans réellement savoir à quoi m'attendre.

Et bien après avoir fini les 5 fins principales, je peux enfin dire que le jeu vidéo n'est pas mort, et que le fou à l'origine de ce jeu est un génie.

Le jeu n'est pas exempt de défauts pour autant. Mais au final, tout ça n'a pas d'importance, car j'ai rarement vu un jeu allé à ce point au bout de ses idées.
Le gameplay est simple, voire répétitif, mais maîtrisé de bout en bout et s'imbrique naturellement à la narration. Il évolue constamment pour ne jamais nous lasser, et il permet au joueur de contrôler la difficulté aisément.
Les graphismes sont dépassés mais le design des Androïdes et des Machines est réussi en tout point et l'animation superbe.
L'ost est incroyable et est à mes yeux la meilleure de la décennie.
La durée de vie est juste correcte (40 h en mode difficile), mais le rythme est parfait. Le jeu ne fait que gagner en intensité et il est difficile de reposer la manette.
Enfin l'histoire, d'apparence complexe est finalement relativement simple. Mais la narration est brillante et surprend le joueur de bout en bout. Je n'ai plus été intéressé par un scénario de jeu vidéo depuis des années, mais là, chaque scène est importante, chaque quête apporte sa pierre à l'édifice.

Plus qu'un jeu, Nier:Automata est un chef d'œuvre (bien qu'il ne plaira pas à tout le monde). Il aborde des dizaines de thèmes fondamentaux (le sens de la vie, la peur de la mort, la quête d'identité, le libre arbitre, l'amour, la haine, la guerre...) sans jamais se perdre, sans jamais en faire trop et en étant sincèrement généreux avec le joueur.

J'avais perdu et oublié tout espoir qu'un jeu vidéo pouvait avoir une telle magie sur un joueur. Et ca fait vraiment du bien! Ce jeu c'est la grosse claque qui m'a reveillé et m'a rappelé que oui le jeu vidéo est un art au meme titre que les divertissements du cinema ou la musique.

N:A tire le jeu vidéo vers le haut et ca fait du bien dans cette industrie où bcp fond le contraire...
Cela fait des décennies que je n'ai pas ressentie de pareil émotions en jouant a un jeu vidéo , et pour ca je dis un grand merci a Yoko Taro.
Ce jeu est un pure chef d’œuvre y'a pas d'autres mots.

Le A-RPG dans sa perfection absolue.

Un Lore incroyable interconnecté avec les précédents Opus.

Une bande son inoubliable bien supérieure a 99% des jeux vidéos actuels.

Un gameplay simple mais efficace.

Une durée de vie copieuse bourré de quêtes secondaires et d'alternate ending.

Seul tare : le côté technique perfectible bien que largement supportable.

Sans conteste le JEU DE L'ANNÉE.

Je viens de finir les 5 fins principales du jeu (y compris d'autres fins dites trolls), je suis à 47 heures de jeu et j'en redemande encore et comble de joie, le jeu est tellement riche qu'il m'en offre encore (malgré l'obligation de recommencer le jeu en raison d'un élément lié à la dernière fin). Que dire sur ce jeu, si ce n'est mes sincères félicitations pour cette oeuvre qui a su tenir ses engagements et offrir bien plus qu'un simple jeu, une oeuvre qui nous fait réfléchir, nous plonge dans son univers et ose sortir des sentiers battus. Bref, un jeu qui fait un bien fou à l'industrie du jeu vidéo à une époque où elle a besoin de plus de jeu méta comme celui ci.

En résumé, sans spoiler, ce qui fait la force de ce Nier Automata, au delà d'un système de jeu à la fois très fluide, intuitif, jouissif, intelligent et varié, de par son gameplay de combat riche, un coté RPG justifié par un certains nombres de choix dont les conséquences peuvent être drastiques. Spoil léger obligatoire, vous pouvez prendre des décisions entraînant votre mort et la fin du jeu (une véritable fin du jeu qui peut même être dans tous les sens du terme !), l'univers bien qu'étant post-apocalyptique est riche, vivant, peut se montrer coloré quand il est nécessaire et d'un gris oppressant tout comme ses prédécesseurs Nier et Drakengard. En parlant de ces derniers, Nier Automata puise intelligemment dans ces derniers et se renouvelle suffisamment pour créer une alchimie avec ce qu'il reprend pour engendrer un tout nouveau jeu qui sait se démarquer de ses prédécesseurs. Le scénario est aux petits oignons, les pistes musicales sont juste magnifiques et variées, tout n'est pas unilatéral et cette même variété se ressent dans l’entièreté du jeu. On assiste à une oeuvre méta qui en plus de nous offrir un jeu riche et fun, va jusqu'à nous proposer une variété d'ambiances faisant que lorsqu'il est nécessaire, le jeu nous prend aux trippes dans des scènes de combat jouissives, nous fait rire dans des séquences humoristiques imprévisibles, nous fait pleurer dans des séquences émotions poignantes, nous choque lorsqu'il veut se montrer malsain et pour se faire, il ne tourne pas autours du pot, mais au delà de tout ça, il arrive à trouver un sens à l'ensemble et à nous proposer une réflexions impressionnante sur la vie, la mort, la société, l'humain en général et le monde. Si vous êtes fans de Ghost in the Shell et que vous pensez qu'après l'oeuvre de Masamune Shirow, le film Intelligence Artificielle de Spielberg, et le jeu Soma plus aucune oeuvre n'a su véritablement pousser la réflexion sur l'analogie entre humain et machine, jouez à Nier Automata. Vous y découvrirez un véritable renouveau des oeuvres traitant de ce sujet, tout comme du transhumanisme et bon sang, que ça fait du bien de voir une telle audace dans le traitement d'une oeuvre, tout média confondu.

Bien évidemment, comme toute oeuvre, il a quelques défauts, dont une poignée de murs invisibles sur la map (il faut l'admettre, en 2017, ça fait assez tache) et quelques petits bugs, mais c'est largement oubliable et peu dérangeant quand on voit le travail faramineux de l'équipe de développement et son aspect créatif.

En résumé, vous voulez vous amuser ? Vous voulez découvrir une oeuvre intelligente qui sait transmettre de réelles réflexions dans une fresque audacieuse du monde et de l'humain ? Vous voulez vivre des montées d'adrénaline dans des scènes d'anthologie de toutes formes d'émotions sublimées par des pistes musicales magistrales ? Vous voulez redécouvrir le jeu vidéo ? Jouez à Nier Automata ! Oui, je survend ce jeu, mais il le mérite largement. C'est un jeu généreux qui ne laissera personne indifférent. Je l'assume haut et fort, Nier Automata est une oeuvre totale.

J’ai toujours voulu tester ce jeu, je suis content d’avoir posé mes mains dessus mais après avoir jouer une dizaine d’heure, je ne sens plus l’envie de continuer.

Dans la globalité, le jeu est très bien fait mais l’ambiance bien particulière ne me plait pas.
Je ne vais pas attribuer une mauvaise note car il a de nombreux points positifs (système de combat, originalité, différents types de gameplay, scénario...)

Un bon jeu, j’espère qu’il peut plus vous plaire qu’à moi. Il vaut le coup si vous accrocher vraiment à l’univers.

Si NieR:Automata n'était qu'un simple titre open-world, parcouru de la première ligne de dialogue à la fin A en 10 heures environ, il garderait tout de même la tête haute en étant un jeu fondamentalement étrange à propos de machines méditant sur leur propre humanité, se terminant sur une note de grâce étrangement sentimentale mais méritée.

La fin A, cependant, est la partie visible de l'iceberg, obscurcissant partiellement ce qui finit par se révéler être l'un des exercices ludologiques et existentialistes les plus uniques tous médias confondus. D'une part, c'est une lettre d'amour et une célébration envers tout ce que les jeux sont, car ses mécaniques flirtent joyeusement entre les genres ; c'est un délire hack-and-slash à un moment, un shooter au prochain, parfois même un plateformer. D'un autre côté, il est pathologiquement obsédé par la déconstruction de ce que ces genres ont fait jusqu'à maintenant dans l'histoire du jeu vidéo. NieR:Automata effectue une autopsie philosophique sur le cadavre post-apocalyptique de l'humanité à travers le prisme de machines qui se trouvent forcées de donner sens à leur propre conscience bourgeonnant des débris que nous laissons derrière nous. Les actions des androïdes et des robots du jeu effrayent, attristent, et dérangent plus que celles de n'importe quel autre ennemi auquel nous pouvons faire face dans un autre jeu parce que, fondamentalement, ces êtres c'est nous, tâtonnant violemment autour de l'existence avec comme seul repère le vague concept de ce que la vie, l'amour, le sexe, le meurtre, la religion, et la mort signifient dans le grand ordre des choses. C'est un jeu qui se complaît dans la destruction de ses ennemis et qui pousse les joueurs à reconnaître leur propre rôle dans la création de ces derniers, ainsi que la nécessité de les comprendre pour aller de l'avant, une introspection encadrée par l'une des bandes originales les plus glorieuses et éclectiques jamais composées.

Là où Gestalt insérait le joueur à hauteur d’homme et lui imposait la misère de son monde, Automata l’intègre de manière objective et attend de lui une curiosité empathique suffisante pour transcender son statut de simple spectateur. Ces deux visions diamétralement opposées partagent des charmes similaires : des expériences à part.

On ne peut rien critiquer, l’ambiance est une merveille, le scénario une tuerie, la bande son incroyable et le gameplay génial !
Platiné pour ma part !

excellent

Salut à tous,
Membre JV depuis des lustres (tellement que mon compte ptitkams a été désactivé par inactivité), je suis comme nostalgique des jeux d'antan, fait par de vrais amoureux. Ils ont pour moi détruit, Résident Evil, Final Fantasy, Call of Duty et surement d'autres que j'oublie. Bref je suis un blasé de ce monde p*te à fric autour du jeux vidéo.
Je tenais à émettre cet avis car enfin un jeu m'a fais vraiment kiffé. De l'OST aux gameplayS de l'histoire à la durée de vie total. Un régal ! Force à cette équipe. Jeu d'exception !

Je viens de finir le jeu ( a,b et c ). j'avais oublié au fil des années ce qu'était un grand jeu video. Merci encore Yoko Taro ( et son équipe ) pour cette œuvre d'art vidéo ludique...

NieR:Automata est bouleversant, plus que le premier épisode. Et je ne pensais pas que ça allait être possible.

L'univers du jeu est maîtrisé à la perfection, Yoko Taro connaît parfaitement son sujet, et n'hésite pas à écrire des quêtes qui nous transportent dans son univers sombre, noire et parfois extrêmement mélancolique... mais surtout touchant par sa sincérité.
Le jeu nous pousse vraiment à réfléchir sur l’intérêt qu'on porte à soi et aux autres, ainsi qu'à notre monde, et de manière très efficace. NieR: Automata n'hésite pas à critiquer l'espèce humaine, et de manière violente, avec des scènes torturées, surprenantes et osées. C'est un jeu mature, qui joue avec les joueurs et qui nous questionne sans arrêt. Le jeu est bourré de surprises, on est sur le cul à chaque twist scénaristique et je n'ai même pas terminé la route C qui me réserve encore beaucoup de choses.

Je ne peux pas en dire plus, vous découvrirez ça par vous-mêmes.

Concernant la bande sonore, elle est similaire au premier et en même temps extrêmement différente puisqu'elle insiste bien plus sur l'ambiance avec des titres mélancoliques, doux, tristes, qui comportent beaucoup de reverb. Globalement, il y a un peu de tout, elle est bien plus conséquente que le premier.
Emi Evans est toujours présente, et elle chante pour beaucoup de musiques contrairement à ce qu'on pourrait croire ! J'Nique Nicole est quant à elle parfaite, notamment pour la musique du désert : elle n'hésite pas à jouer avec sa voix, très flexible.

Il y a évidemment des thèmes dynamiques, parfois assez wtf, qui sont terriblement efficaces.

PS : Beaucoup de compositions se dévoilent avec les autres routes (C notamment). La bande-son est énorme, plus de 5h à déguster.

NieR:Automata est mon GOTY et il marquera pour longtemps une génération de joueurs. Tout comme le premier, il est déjà culte, et les notes du jeu sont amplement méritées.