Après une trilogie rocambolesque et riche en émotions, nous disons adieu à Ezio et son Italie natale pour traverser l'Atlantique. On retrouve donc un nouveau personnage dans cet opus en la personne de Connor, jeune amérindien voulant défendre sa tribu en plein milieu d'un conflit opposant les indépendantistes des Treize Colonies américaines à l'Empire Britannique.
Graphisme : Les graphismes sont pas mal malgré des soucis techniques (notamment du clipping) et pas mal de bugs
Scénario : Le point fort du jeux, on suis avec plaisir les péripéties de Connor au milieu d'évènements historiques de cette révolution. Le personnage est attachant et son histoire par rapport à son village et ses parents était très intéressante. Les passages dans le présent sont aussi très prenants avec enfin des vrais missions pour Desmond.
Jouabilité : Le système de parkour est très agréable et le système de combat fait le taff ( avec des finish plutôt stylés). Le tout est gâchés par les bugs qui peuvent parfois se révéler extrêmement agaçants: se faire repérer ou attaquer par les gardes sans aucune raison, Connor qui se fige durant les combats, se coincer dans une texture, etc.
Bande-son: Les musiques et le doublage (autant en Vo que Vf) sont impeccables, rien à redire dessus.
Durée de vie: Il faudra une 10-15h pour boucler l'histoire principale et une trentaine d'heures pour les quêtes secondaires et les collectibles (peu intéressant à récupérer).
Pour conclure, un très bon AC qui réussit la transition après la saga d'Ezio mais malheureusement gâchés par les bugs. Ces derniers n'empêcheront pas d'apprécier quand même ce jeux pour ses nombreuses qualités notamment son scénario, sa bande-son et son contexte historique.

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Parfait. Le meilleur Assassin's Creed. Connor est de loin l'assassin le plus badasse, le plus stylé et avec la meilleure histoire. Je spoilers pas mais la scène de fin est magique. Sans oublier Achilles Davenport qui est ultra charismatique.

bon jeu

Graphiquement c'est beau à part peut être les ombres qui auraient pu être plus jolies.
Les innovations de gameplay sont sympa mais Le free run est toujours mal foutu par moment.
Le scénario est vraiment bon et assez original.

Enfin un assassins qui n'est pas guidé que part la vengeance.
Connor et surement l'un des assassins les plus inintelligents ce battant pour une cause qui et selon moi plus juste que c'est ainé.

Un Assassin's Creed comme je les aime avec un vaste monde ouvert, des quêtes à gogo yn univers maîtrisé même si certaines choses sont encore à améliorer...on verra ca avec le 4!

J'ai complètement adoré le prologue (les 6 premières heures), je n'avais rien lu sur le jeu et je me suis fait complètement avoir. Sans vraiment me l'avouer, je trouvais mon personnage antipathique, ce que l'on comprend d'avantage par la suite qui est une véritable libération.
pour le reste du jeu, beaucoup de bugs quand même.
Les séquences en bateau sont plutôt réussies.
j'aurais apprécié de pouvoir désactiver les objectifs secondaires qui nous font un peu sortir du récit pour aborder l'aspect "performance" (quitte à les rejouer plus tard).
Les armes sont un peu décevantes (on choppe très vite une des meilleures, les autres ne servent à rien.)
le volet artisanat/commerce est doté d'une des pires ergonomies possibles
Néanmoins, un bon épisode d'assassin's creed dans l'ensemble

Un bon Assassin's Creed. Toujours aussi plaisant à jouer de part son gameplay jouissif. Scénario toujours bien ficelé et les décors sont très bien choisis, beau paysage en somme.

Un très très bon Assassin's Creed !

Une durée de vie tres bonne un peu comme les autres, un scénario assez intéressant sans etre bien fou (c'est pas non plus le but du jeu). Un personnage charismatique même si il n'arrive pas a la cheville de Ezio malheureusement, mais sinon tout le jeu est génial, on s'ennuie jamais. Le seul repproche que je pourrais faire c'est sur l'optimisation sur PS3, le jeu est plus a du 25 fps qu'a du 30, et les graphismes pique pas mal les yeux surtout dans la frontiere. Mais sinon 18/20

Un très bon opus ! Mais l'histoire met du temps à démarrer et se perd parfois en chemin. J'ai arrêté d'y jouer pendant une longue période à cause de cela (pour mieux le découvrir plus tard).
Les liens avec le monde des Assassins sont parfaits, le présent est présent et l'histoire de l'Amérique en trame de fond donne un jeu très réussi.

Mon AC préféré :
- Gameplay fluide et efficace, de nouvelles possibilités (arc, tomahawk, chasse..)
- Zone d'exploration vaste, de joli graphisme pour l'époque.
- Scénario qui casse pas 3 pattes à un canard mais qui conclut très bien l'histoire de Desmond.

Je ne lui met pas 20 pour deux raisons que je vais bien évidemment commencer par évoquer.
J'ai la version PC et pour un bonheur total j'ai bien entendu branché une manette de XBOX pour incarner Connor.

Et franchement, y'a des fois la caméra chie dans la colle. Les collisions sont assez souvent chiantes au possible.
Et c'est surtout flagrant lors des missions de poursuite ou de filature.
Connor (Comme Altair et Ezio) ne peut pas s'empêcher de vouloir escalader un trottoir ou une souche d'arbre. Pour finir par ne pas y arriver, voir la cible s'éloigner et parfois nous échapper ou échouer les objectifs secondaires.

Les quetes très annexes beaucoup trop répétitives.
Que ce soit les assassinat ou les plumes ou encore les lettres et babioles du vieux crouton à la jambe de bois. C'est des quetes fed-ex franchement relou.

J'ai fini les quetes assassinats (ainsi que les quetes libérations) mais le reste j'ai rapidement abandonné car répétitif, de marcher encore et encore pour livrer une lettre à un pnj lambda qui va juste de dire Merci. SUPER !

Mais en dehors de ces deux détails, je me suis régalé du début à la fin
(sauf peut être la toute fin ou fallait accéder aux souvenirs de Junon, ce qui est long et chiant)
la bande son est juste magnifique. Connor est un gros bourrin, j'adore les cinématiques d'éxécutions multiples (jamais réussi à en lancer une volontairement par contre).
Les combats sont fun, cool, dynamiques quoique parfois long et frustrants quand on se fait pourchasser par la ville entière parce que j'ai bousculé Monsieur le Divin Garde de La Rue Untel...

Le scénario est prenant est vraiment bien foutu.

Les combats navals (essentiellement optionnels dans cet opus) sont une touche de fraîcheur et de nouveau dans un type de gameplay toujours identique. Ils sont surtout géniallissimes.
Et j'ai tout réussi sans trop de difficulté avec un navire à moitié upgradé. Ce qui m'amène à penser qu'on peut réussir sans l'améliorer du tout (car l'upgrader à fond coute assez cher).

Bref, un énorme coup de coeur. J'ai adoré du début à la fin (du scénario avec Connor). J'apprécie pas trop d'être interrompu à chaque grande révélation pour revenir vers Desmond Miles.

Mais ce que je n'ai pas trop trop apprécié ne vaut pas non plus des points en moins dans la note que j'estime pour ce jeu. Car Desmond se joue comme son ancêtre. On n'est pas dépaysé. ON ne s'ennuie pas non plus.

Bref 18/20 me semble une note lààààààààrgement méritée pour ce jeu génial qui m'a donné des heures de plaisir !

Devant les succès de la licence, ce qui devait n'être au départ qu'une "simple" trilogie s'est transformé pour Ubisoft en une poule aux œufs d'or. Depuis AC2, on nous sert désormais un épisode par an, avec la justification que l'histoire d'Ezio nécessitait plus de profondeur qu'un seul jeu. En point d'orgue Assassin's Creed 3, longuement développé en parallèle avec des moyens dantesques, devait marquer la fin importante d'un arc, d'un scénario, d'une génération. Sans naïveté, je me doutais bien que la saga n'allait pas s'arrêter avec cet épisode, je dois dire avoir été agréablement surpris de trouver mieux que le populaire Ezio Auditore.

Exit donc Ezio et Altaïr, au revoir la Renaissance, bonjour Connor - de son vrai nom Ratonhnhaké:ton - et les provinces nord-américaines de la Révolution Américaine. Et franchement, il offre une narration plus complexe que celles de ses prédécesseurs : le but est non seulement de questionner le joueur sur la légitimité des actes des Assassins, mais également de s'extirper du côté manichéen que la série impose depuis pour ainsi dire le tout début. Les Templiers semblent enfin avoir des arguments valables pour justifier leurs attaques, au point que l'on puisse véritablement se demander si nous sommes réellement cette fois-ci bienfaisant. On sent bien qu'Ubisoft Montréal a voulu écouter les critiques des fans sur les trames narratives de Brotherhood et de Revelations qui étaient trop vagues et courtes. Le problème est que les développeurs ont commis l'excès inverse en imposant un prologue narratif de 5 heures, intéressant certes, mais outre le fait que l'on nous impose un tuto géant alors que c'est le 5e épisode de la saga, le gameplay ne brille pas par sa complexicité et ne mérite donc pas encore une nouvelle fois des explications. Ce n'est finalement qu'après une bonne moitié des quêtes principale que l'on commence à réellement entrer dans le jeu. Une méthode qui aura pour répercussion de laisser un sentiment de vide à la fin du jeu, comme si une grande partie de l'histoire avait été amputée.

Le système de combat qui ne requiert que deux boutons, poussant les combats à gagner en spectaculaire, mais de ce fait n'offrant plus aucun chalenge, ici le one man army est d'une facilité ahurissante. De plus, nous sommes en possession d'IA bien inférieur qui garantie une certaine frustration au fur et à mesure que l'on parcourt le jeu, rendant le tout trop simple pour véritablement craindre la désynchronisation. Fort heureusement l'arrivée des batailles navales corrige l'erreur pour relever le niveau de difficulté et ainsi procurer un peu de défis, dévoilant par la même occasion un Connor Kenway d'un don certain en tant que Capitaine de navire.

Pour finir sur une partie non négligeable de ce qui concerne la saga Assassin's Creed, l'histoire est globalement pour ma part à mettre dans les vrais points positifs. Cela passe par la trame à proprement parler qui fait enfin avancer la fameuse "méta-histoire" et qui clos l'arc narratif de Desmond, certes pas de manière brillante mais au moins sympathique. Cela passe par la narration en elle-même, en effet cette dernière fait passé plutôt bien les transitions entre les séquences dans le présent en 2012 et celles qui se déroulent dans l'animus. On sera cependant navré de la tournure de l'épisode côté présent, qui aura au moins eu le mérite d'offrir certainement une intrigue moderne véritablement fun, comme une sorte de finalité dans ce que nous avions commencés avec Desmond lors du tout premier Assassin's Creed, dommage que la fin ne puisse suivre le même chemin avec une conclusion pour le moins désordonnée.

Assassin's Creed III semble donc représenter le réhaussage inattendu de la série, car pour un épisode ayant eu la difficile mission de reprendre la flambeau après le populaire Ezio, celui-ci offre finalement une aura plus sérieuse là où les précédentes productions de Ubisoft ne se prenaient pas réelement dans un sérieux narratif. En effet, si auparavant il était aisé de ranger les Templiers du côté des méchants, et les Assassins du côté des gentils, ce troisième épisode nous installe dans le doute le plus total, tant les arguments de nos ennemis sont si objectivement parlant justes. Cet Assassin's Creed est certainement le plus abouti à mes yeux, si bien en terme de gameplay, que dans son scénario qui brise ce coté manichéen instauré depuis le début de la série.