Corvo Atmystérieux alliés, il s'échappe du bagne et, accompagné par Samuel le passeur, rejoint le camp des loyalistes basé au Hound Pits, un bar désaffecté au bord du fleuve Wrenhaven. Il y rencontre ses nouveaux alliés, dont le Lord Pendleton, aristocrate déchu, l'amiral Havelock, ancien soldat de la Marine, Piero Joplin, inventeur et philosophe, ainsi que des domestiques.

Il sera également contacté dans son sommeil par l'Outsider, une entité occulte qui dotera Corvo de pouvoirs surnaturels. L'Outsider est issu d'un culte remontant à plusieurs millénaires avant l'empire de Dunwall, culte essentiellement pratiqué par les chasseurs qui habitaient alors sur les berges. Il est décrit dans le jeu comme « ni bon, ni mauvais » : il donne simplement des outils à ses disciples, libre à eux de les utiliser comme bon leur semble (ce qui est confirmé lorsque Corvo rencontre Daud, le maitre-assassin).

Durant sa quête de justice, Corvo va s'attaquer méthodiquement au noyau dur du complot anti-impérialiste, en commençant par Taddeus Campbell, Grand Superviseur de l'abbaye du Quidam. Les Superviseurs de l'abbaye composent l'ordre ecclésiastique principal de Dunwall, mettant en avant sept canons (proches des 7 pêchés capitaux), qui s'opposent au culte de l'Outsider, considéré comme païen, hérétique et menaçant l'ordre public.

La deuxième cible de Corvo est principal soutien politique du Lord Régent nouvellement en place, consistant à neutraliser les jumeaux Pendleton, frères cadets du Lord déchu. Ces derniers passent la plupart de leur temps dans une maison close des bas-quartiers, où ils retiennent Emily Kaldwin captive. Corvo rencontrera une bande de voleurs qui pourra lui venir en aide pour faire tomber les jumeaux.

Emily libérée, les résistants chargent Corvo de s'occuper cette fois du soutien financier de la junte militaire : pour cela il doit obtenir le nom de la maîtresse du Régent, soupçonnée d'être à l'origine des fonds versés au régime. Des rumeurs affirment qu'Anton Sokolov, médecin royal et peintre officiel decomptent recevoir les lauriers de la victoire en son nom. Agonisant, Corvo entend Havelock et Pendleton glousser sur leur future victoire, et l'éventuel couronnement d'Havelock en tant que nouveau Régent. Placé sur un radeau, Corvo est informé par Samuel le passeur que celui-ci n'a mis que la moitié de la dose de poison prévue, car il se méfiait des loyalistes depuis le début.

Le radeau est mis à la dérive, et échoue dans le Quartier Inondé, charnier à ciel ouvert pour les cadavres de pestiférés, où personne ne pourra le retrouver. La guilde des assassins (mené par Daud, disciple de l'Outsider) y a aussi établi sa base, s'adonnant à des trafics de prisonniers ou des éliminations politiques grâce aux pouvoirs surnaturels de l'Outsider. Corvo est placé en cellule, dépossédé de ses armes, Daud prévoyant de la livrer vivant aux autorités afin de toucher la prime pour sa capture.

Corvo s'échappe, récupérant (ou non) son matériel, et quitte le Quartier Inondé pour rejoindre le Hound Pits. Une fois sur place, Corvo trouve un quartier général envahi par la Garde Urbaine, des domestiques exécutés (en plus ou moins grand nombre, selon les actions passées et le style de jeu), Piero et Sokolov emprisonnés, et Havelock, Pendleton ainsi qu'Emily en route vers l'île-forteresse du Phare de Kingsparrow.

Samuel le passeur est au large, et se tient prêt pour mener Corvo au Phare. Une fois introduit dans la forteresse, Corvo devra grimper au dernier étage de la plus haute tour de l'Empire, et mettre un terme à la folie de Havelock afin de ramener Emily sur le trône et reprendre sa place de protecteur, sur un pays qui selon les actions de Corvo, est en pleine reconstruction ou en totale décadence.

Un super jeu, mais certainement pas le jeu de l'année, ou alors c'est que l'année a été bien pauvre.
Un jeu rempli de bonnes idées, mais on a parfois l'impression que les développeurs ne sont pas allez au bout de leur démarche.
Je pense que si ils font un 2, ça va être une vraie tuerie.
Graphiquement correct, mais sans plus.
Le plus dommage, je pense, c'est l'absence quasi totale des PNJ (en dehors des divers ennemis bien sur ) lors des missions, ce qui nui à l'immersion.
La volonté des développeurs de permettre au joueur de finir le jeu sans tuer personne, peut paraitre une bonne idée, mais en fait même si on cherche pas vraiment à faire zéro mort, cette possibilité fait qu'une bonne partie de son équipement peut être inutile, et que l'achat d'améliorations et donc le ramassage de pièces, est franchement facultatif.
Après ça dépend de votre style de jeu.
Bref énorme potentiel qui mériterait d'être plus exploité.

Je me suis inscrit sur le site afin de témoigner de ma déception la plus complète quant à ce jeu.
Pourtant tout m'avait assez bizarrement plu dans ce jeu, l'ambiance y est, un travail de malade sur le graphisme, des armes et des pouvoirs bien pensés (exception faite pour ce qui est de pouvoir voir à travers les murs... pourquoi ?) et encore quels points qui m'échappe car je repense trop aux bugs de ce jeu (je regrette encore mille fois d'avoir couru l'acheter dès sa sortie)
Et donc pourquoi est-ce un si mauvais jeu qui ne méritait nullement son 19/20 (un 16 reste une assez bonne note en exagérant encore les louanges mais pas plus) ?
Tout d'abord et c'est déjà bien assez comme ça : les corps qui disparaissent sans qu'on ne sache pourquoi. Si on se la joue bourin, c'est pas trop dérangeant que des corps disparaissent car ça fait genre mamy est passée nettoyer un peu derrière moi mais comme Dishonored se veut avant tout un jeu d'infiltration, c'est du grand n'importe quoi. À quoi bon cacher un corps si quand on revient au même emplacement cacher d'autres corps l'endroit est totalement vide (bonjour le réalisme) mais le comble c'est quand tu as un cadavre qui se relève pour continuer à faire sa ronde. Et malheureusement c'est un bug constant dans tout le jeu alors soit tu fais abstraction et tu te dis que ce n'est qu'un bête jeu que tu vas vite finir pour passer à autre chose (ce que j'ai fait) ou soit... je sais pas... tu joues en oubliant qu'il existe de bien meilleurs jeux d'infiltration (le dernier Hitman par exemple). Si j'avais eu connaissance de ce bug avant d'acheter le jeu et que je ne m'étais pas fait influencé par la note de jeuxvideo.com (un jeu développé par des français ne peut pas avoir une mauvaise note par des français, ça se comprend), j'aurai attendu que son prix baisse quitte à l'acheter sur un site de 2ème main.
Je pense en avoir déjà assez bien dit sur Dishonored... Donc une réelle déception, pour moi et mon entourage, et je ne mentionnerai pas la fin bateau à laquelle on peut facilement s'attendre (bonjour l'absence d'originalité) qui si elle avait différente aurait très bien pu l'aider à changer mon opinion sur ce jeu.

Dans la cité fictive de Dunwall, rien ne va plus pour Corvo. On l'accuse d'avoir tué l'impératrice Jessamine (et j'ai sa mine d'or) Kaldwin. Il va tous faire pour se venger et prouver son innocence une fois sorti de prison à l'aide d'un mystérieux groupe.

Liberté pour mener ses missions, univers et gameplay extraordinaires et complet est une réussite. Malgré une IA mitigé et un scénario un peu convenu.

Voyons voir, Dishonored...hum...intéressant, c'est un jeu intriguant avec de très beaux graphismes, le gameplay est facile, proposant plusieurs mécaniques incontournables (d'accord avec toi Dinowan), Dishonored est l'un de ces jeux dont la durée de vie varie selon votre style de jeu, ce qui, bien évidemment, rallonge considérablement cette même durée de vie, après, nous avons la bande-son qui est vraiment bonne, bien soignée par Arkane, et le scénario bien conçu par les développeurs, en bref, Dishonored sur PlayStation 3 est l'un de ces jeux qui nous font baver debout, à prendre ! 18/20 mérité ! Je le conseille vivement !

Un bon jeu, une nouvelle licence. Il y a des defauts comme le graphisme mais sinon pour une nouvelle license c'est pas mal. La duree de vie du jeu est tres courte malheuresment mais avec les DLC ca va rallonger malgré que les dlc sont payants.

Le Jeu de l'année 2012.

Loin des licences à rallonge et des jeux casualisés, Dishonored se hisse au dessus de ces jeux et s'impose comme une licence prometteuse si une suite voit le jour.
Malgré sa courte durée de vie, le jeu propose une replay-value en définissant plusieurs choix possibles pour parvenir à votre cible. Selon votre approche, vos décisions conduiront à la sauvegarde ou la mort de Dunwall.
Furtif ou frontal, Carvo se mût avec une agilité déconcertante dans un univers Steampunk bluffant et en proie aux conflits politiques en période de peste. C'est dans cette environnement riche que vous devriez mettre à jour une conspiration qui pèse sur vous.

Voilà donc un jeu extraordinaire dans son ensemble en dépit de son aspect cloisonné. Immersif, rapide et envoûtant, Dishonored a su me combler et fait parti de mes jeux favoris de cette année 2012. Sans être un chef-d'oeuvre comme Metal Gear Solid, Mass Effect ou God of War, il demeure néanmoins un excellent jeu qui mérite d'être connu, ne serait-ce que par son background.

Quel jeu étonnant ! J,ai agréablement été surpris par ce jeux auquel la couverture ne me disais rien.

Le jeux a un très bonne durée de vie dans laquelle chaque décision compte. On peut être un assasin sanglant ou bien un infiltreur et essayer de moin possible tuer de monde ... et c'est bien la le petit problème ! C'est dur de ne tuer personne et de terminer le jeu avec une cote Chao ( celle qui dit si vous vous ete fait reperer souvent ou tuer trop souvent) pas trop élever.

Mais bon sinon la jouabilité est très bien, les compétences sont cool et on sent une vrai liberté de jeu en plus d avoir des missions vraiment sympas

Je le recommande à ceux qui on aimé le style de Bioshock et Assasin Creed ;)

Superbe jeu, j'enlève quelques points pour les graphismes un peu en dessous (bien que bizarrement, un jeu où le réalisme n'est pas exacerbé est très appréciable de nos jours, ça me rappelle mes débuts de gamer)
Sinon très bon, moi qui aie en horreur les FPS il m'a suffit de quelques minutes pour tomber à fond dedans. L'univers est très original, le jeu possède une vraie personnalité et je me régale à tout faire en infiltration.

Vraiment un très bon jeu, à essayer sans hésiter, surtout avec sa baisse de prix récente !

Très bon jeu ! Difficulté que j'adore, les plusieurs solutions pour arriver à la fin du niveau malgrè les graphismes bof...
Ce jeu est vraiment sympa, des trophèes assez difficile, jouabilité sympa aussi, mais je ne joue pas trop à ce jeu car je m'attendais à mieux, bref 15/20 !

Bon jeu. Prenez l'ambiance d'une ville pourrie façon Infamous, prenez des pouvoirs et des armes façon Bioshock,prenez des phases d'infiltration façon deus ex, puis enfin si vous le souhaitez devenez bourrin façon call of. Oui mais les comparaisons s'arrête là. Le jeu se fini en une dizaine d'heure à peine. Je l'ai acheté en occasion pour mes vacances, je l'ai fini en deux jours. Le jeu est répétitif. L'IA des adversaires est d'une bétise inouïe. Puis enfin est surtout le jeu est laid comparé à la concurence.
L'histoire est plus que moyenne, d'ailleurs je ne l'ai pas vraiment écoutée du coup.
Cependant je joue avec plaisir à se jeu qui se laisse apprivoisé facilement, c'est attachant, c'est sympas, c'est plein d ebonne idées. Mais tout est pompé sur d'autres titre et surtout ce n'est pas aboutti. Ce n'est en aucun cas selon moi le 19 annoncé. C'est un bon jeu, qui en occasion est même super. Mais c'est vraiment pas un must.

Ce jeu est vraiment très immersif l'ambiance est vraiment oppressante ce qui nous rappel que nous ne sommes pas immortel le mode hard est très difficile les ennemies nous entendent très facilement ont meurt très rapidement le petit point négatif les texture un peu grossière mais les graphismes ne font pas un jeu.

Moteur graphique génial , et concept génial mais hélas , le monde dans lequel on évolue ne pas plus du tout , je le trouve très décevant , j'ai acheté le jeu , mais franchement je regrette . Mais , il est très beau , l'histoire est passionnante et belle mais voila , je ne me sens pas a l'aise à l'intérieure .

Pas grand chose d'innovant, Dishonored recycle les quelques formules gagnantes de FPS/RPG, inculquées il y a maintenant quelques année par Bioshock. Seulement voilà, le jeu est à moitié réussi.On a une belle ambiance steampunk mais des graphismes pas jolis jolis, un gameplay foisonnant mais aucune idée originale (franchement arrêter le temps, projeter des adversaires, c'est du vu et revu)et enfin un background intéressant mais un scénario simpliste et court. Bef, en choisissant la quantité à la qualité, Dishonored se vautre et finit en pétard mouillé.

Beaucoup d'avis contraires sur ce jeu d'après les joueurs !
J'ai beaucoup apprécié ce jeu. Je trouve les graphismes très corrects, on peut toujours faire mieux mais de là à dire qu'ils sont moches, faut pas exagérer !
Une grande liberté, un sens du détail et une grande originalité concernant la période de jeu et le scénario qui nous surprend de nombreuses fois fait de ce jeu un classique du genre !

Points fort : originalité, détails, histoire
Points négatifs : difficulté parfois trop importante

Pour tous ceux qui aiment ce genre de jeux, il faut l'acheter on ne peut que passer un bon moment !