Duke Nukem sur le psn est un super titre pour tout les fans de doom-like solo""a l'ancienne""....
La difficulté est présente même en mode facile,certes.....Mais il est possible après chaque mort de revenir a la partie du niveau qui vous intéresse( donc ne pas se refaire tout le trajet),histoire de modifier son approche et économiser des munitions... Gameplay nerveux,bon level design(beaucoup de verticalité parfois),clins d'oeils au 7eme art et humour omniprésent,armes originales bien fun et grosse durée de vie... Un must have.
Ps:pour le multi...il n'est pas au point et c'est bien dommage,car il est possible de coop en ligne ou de faire des frags.

Après deux épisodes en 2D sur DOS, Duke Nukem débarque sur PC dans le contexte des débuts du FPS le 29 janvier 1996, soit environ deux ans après Doom et quelques mois avant Quake. Toujours dans un univers à la fois réel et futuriste, on enchaîne les niveaux en dézinguant toutes sortes d'aliens.

Le jeu se compose 28 niveaux répartis en trois épisodes : L.A. Meltdown, Lunar Apocalypse, Shrapnel City, se déroulant respectivement à Los Angeles et ses alentours, sur la Lune, et de nouveau en ville. Une extension nommée Atomic Edition sort en décembre 1996 : il s'agit du premier jeu à inclure des bots (joueurs contrôlés par l'ordinateur).

Dans chaque niveau, Duke doit récupérer des cartes d'accès bleue, rouge, jaune pour lui permettre d'avancer et de trouver la fin du niveau symbolisé par un bouton d'autodestruction sur lequel il faut appuyer. De nombreux aliens sont disséminés dans le niveau pour lui faire obstacle, toujours sous forme de sprites donnant l'illusion de la 3D. À la fin de chaque épisode, un niveau est consacré à l'élimination d'un boss.

Tandis que Doom n'autorisait qu'à avancer et à tirer, Duke Nukem permet enfin au joueur de sauter, nager et même voler grâce à un jetpack. D'autres éléments sont aussi assez novateurs pour l'époque comme la présence de nombreux éléments destructibles ou interactifs dans le décor, la possibilité d'orienter son regard à 360 degrés, et donc de tirer vers le haut ou le bas, ou encore la présence d'un viseur.

Tout comme Doom, le jeu est très plaisant à jouer et provoquait un engouement important à son époque : la 3D commençant tout juste et les joueurs étant davantage habitués eux jeux en 2D, les FPS étaient visuellement impressionnant et leur approche très directe donnait envie de s'y essayer pour tirer sur tout ce qui bougeait ! Là où Duke Nukem 3D fait mieux que Doom, c'est qu'il a des niveaux plus variés, notamment au début où on traverse un cinéma, un bar avec un billard, une boîte de nuit ou encore une chapelle.

Malheureusement, on arrive vite dans du 100% du futuriste pas bien original et le jeu devient vite très répétitif dans ses mécaniques de jeu et dans ses décors. De plus, certains boutons et certaines cartes d'accès sont cachés dans des endroits tordus peuvent rebuter la recherche. La difficulté est également assez élevée, même dans le mode le plus facile, ce qui peut vite devenir pénible.

Duke Nukem 3D reste un jeu culte qui aura su marquer son temps et faire de son héros un personnage phare du jeu vidéo, notamment grâce à son attitude machiste et aux nombreuses références érotiques disséminées dans le jeu.