Une très bonne surprise dans la lignée de Resident Evil 4 ! Ce jeu de shoot à la 3ème personne nous emmène dans un univers où règnent les ténèbres et l'horreur. Très sanglant, il nous fait incarner le chasseur de démons Garcia Hotspur, qui choisit de parcourir les Enfers afin de sauver sa bien-aimée capturée par Fleming, un monstre monté avec plusieurs crânes sur la tronche ! L'âme de son acolyte est enfermée dans la torche qu'il tient, puis devient son flingue par la suite , puis sa mitraillette qui tire des dents, puis son gros fusil à pompe qui éclate les monstres de près. Ce jeu est surtout un vrai délire horrifique : certaines serrures sont des têtes de gros bébé qui veulent bouffer une cervelle, une fraise ou un œil, on peut achever les monstres à terre avec nos pieds, on se bourre la gueule à la tequila pour recharger ses points de vie, le flingue se met même en érection après avoir entendu une voix de femme à un certain moment du jeu ! Les armes se customisent au dur et à mesure, on peut casser certains objets comme des caisses, un marchand délirant est également de la partie comme dans Resident Evil 4, les boss sont très corrects, le bestiaire est varié. Même si le jeu et linéaire et sans réel scénario, l'ambiance et la qualité graphique et musicale prennent largement le dessus. Yamaoka et Mikami signent ici une belle déculottée à cette honte de Resident Evil 5
Du Grasshopper dans toute sa splendeur! Shadows of the Damned est un pur concentré de délires en tous genres dont les dialogues feront hurler de rire tous les amateurs d'humour non sense. Le gameplay est tout à fait honorable, puisqu'il s'agit d'une sorte de RE4 en plus souple et donc plus fun. Le maître mot de ce jeu est vraiment l'amusement, et pour moi, le contrat est très largement rempli: encore plus fun que No More Heroes, il n'y a que Bayonetta qui peut concurrencer Shadows of the Damned dans le même registre. Le seul véritable défaut du jeu est sa durée de vie: en 8 ou 9 heures on se défait du mode difficile, et la rejouabilité est assez légère (même si on refera le jeu avec grand plaisir après avoir laissé un peu de temps s'écouler, le bon humour ne se périme pas). Mais il n'y a pas à bouder son plaisir, surtout vu les tarifs auxquels on peut trouver le jeu désormais (pour ma part je l'ai eu pour 15 euros).
Shadows of the Damned est un trip inoubliable de par son univers, ses personnages, ses dialogues et son humour pervers.Le tout est transcendé par une jouabilité que l'on doit au papa de Resident Evil, Devil May Cry et Vanquish. Voilà qui en fait un TPS dynamique mais un peu trop old school peut-être dans la logique de ses mouvements. Qu'importe, l'action est là et le plaisir aussi ! Néanmoins, on regrette une durée de vie un poil réduite (environ 7h), une caméra qui ne se place pas toujours bien et une certaine linéarité dans l'exploration. Des défauts qui disparaitront dans le second volet ? On l'espère !
Après avoir longtemps hésité à sortir le portefeuille pour ce jeu, puisque l'un des réalisateurs n'était autre que cet horrible no more heroes - rangé au placard depuis, j'ai fini par sortir la liasse de billets et j'avoue être surpris par ce jeu. Un resident evil 4 déjanté et crédible sans la lourdeur du 5 ! Un graphisme qui fait un peu univers bd, et des animations pas tant mécaniques que caricaturales (même le bruit des pas donnant l'impression de traîner dans la mélasse) : univers glauque, plusieurs boss très intéressants à battre, divers et variés ; des clins d'oeil cinématographiques et vidéoludiques géniaux (mention spéciale pour la cabane perdue dans la forêt avec une personne enfermée dans une trappe - Evil Dead 2), et le fameux bruitage du "continuer" ressemblant à la sauvegarde de silent hill 2. Dommage effectivement que le jeu ne soit pas un poil plus long ; surtout que contrairement aux jeux qui augmentent leur durée de vie par la logique du "ennemis+couloir", ici les réalisateurs sont assez radins : niveaux étroits par moments, courts (surtout les derniers actes remplis pourtant de bonnes idées). Un jeu à conseiller à ceux qui veulent du rafraîchissement pour les pupilles et retrouver des sensations que les jeux du moment émoussent par des mécanismes répétitifs.
Il faut se rentre à l'évidence, avec le temps les productions estampillées Grasshopper perdent en prise de risque et radicalité pour virer vers des productions nettement plus consensuelles... Beaucoup de défauts, en vrac: un level design d'une pauvreté affligeante, on se contente d'avancer en ligne droite dans des environnements ultra confinés. Des uppgrades d'armes sympathiques mais imposées, une difficulté tirée vers le bas, des ennemis redondants et sans charisme, un quatrième act insupportable avec ses phases de shoot 2d "pseudo arty" foirées et pénibles; d'ailleurs l'ensemble du jeux est également plombé par de nombreux problèmes de rythmes... Zéro rejouabilité également, une fois la partie terminée.
Ne vous attendez pas non plus à un jeux trash et barré, Suda et son studio se contentant ici de se reposer paresseusement sur la vague "Ado Hollywoodienne" "Grind House" bref c'est ultra poseur.
J'oubliais aussi ce philtre gris verdâtre chiant et monotone tout au long du jeux.
La bo aussi malgré un problème de mixage son est quand même un cran au dessus des plages ambiant trip hop chiant pour otaku gothos (Silent Hill) avec quelques morceaux étonnants.
Malgré tout le jeux est parsemé de moments sympathiques: scénes de poursuites avec la fiancée démoniaque facon "Benny Hill", combats de boss nerveux, des moments de grand mauvais gouts assumés et bien sur gameplay solide hérité de RE4 (c'était il y a 6 ans tout de même).
Pas un mauvais jeu, mais j'ai été déçu dans l'ensemble. Les graphismes sont justes passables, les musiques moyennes, le scénario bof, la maniabilité est assez bonne (largement au dessus d'un Resident Evil par exemple). On est pas vraiment motivé à avancer au final, et on avance sans envie. De plus, certaines scènes, vraiment difficiles, alternent avec des passages supra-aisées, vraiment un mauvais dosage. Ce qui rattrape le jeu est son ambiance, vraiment débridée, invraisemblable, inclassable. A essayer pour se faire son avis, mais à pas trop cher!
honte a ceux qui on cree une telle bouse ,indigne d une ps3 j en ai mal au coeur pour la machine de faire tourner une telle imbecilite d un pseudo jeu horror ,graphismes a la ramasse des bugs de partout,par le createur de resident evil? ca? arreter de vous foutre de la gueule des gamers ! je ne le revendrai meme pas d occas, j aurai trop honte ,il finira dans les tenebres du fond de ma poubelle! a bon entendeur salut!
Je suis le meilleur ami en question dont parle Dora27 lol mon discours va rester fidèle au sien, linéaire, simpliste, un jeu fait en vitesse pour le fun, les dév sont parti d'une idée simple je pense et se sont fait un trip complétement barré pour se la joué cool...lol venant du japon ça fait très cliché mais la mayonnaise prend et ça se laisse jouer avec beaucoup d'humour noir.
Un mix de parodie des survival-horror, entre Dead Space et Resident Evil, et le mélange fonctionne à merveille, c'est fun, déjanté, c'est amusant, moi qui n'aime pas les S-H, celui ci je me suis régalais, le protagoniste est vraiment très attachant, même jusqu'à sa lanterne lol, le bestiaire est sympa et les boss originaux, très sympa à combattre, certains prise de tête, à cause de la fumée qui consume notre santé, c'est chiant, la durée de vie est dans la norme et l'ambiance est tout simplement sensationnelle.
Un trio de génies au service d'un jeux bien trop sous-estimé, une nouvelle fois. Le gameplay ne révolutionnera pas le genre, cependant l'utilisation intelligente du concept "ténèbre/lumière", rend ce tps bien moins primitif qu'il n'y parait. Suda 51 nous montre une fois encore que son esprit sadique, torturé et rempli d'humour noir n'a décidément aucune limite. Et qui mieux que Mikami pour apporter un gameplay souple et agréable qui manquait tant aux productions de Suda 51. C'est simple, le jeux est bien plus maniable que RE4 dont il s'inspire. Le tout porté par une ambiance sonore signée de la main (ou l'oreille) du mythique compositeur de Silent Hill. Un bestiaire digne d'un CastleVania tout droit sorti des lymbes, un héro latino complètement pété d'la tête et vous obtenez un chef d'oeuvre du genre à la mi chemin entre le shoot bourrin démoniaque et le survival horror. Un Constantine-Like vraiment incontournable pour les fans du genre, mais qui sera reconnu comme classique du genre dans quelques années, croyez moi sur parole.
Une très bonne surprise dans la lignée de Resident Evil 4 ! Ce jeu de shoot à la 3ème personne nous emmène dans un univers où règnent les ténèbres et l'horreur. Très sanglant, il nous fait incarner le chasseur de démons Garcia Hotspur, qui choisit de parcourir les Enfers afin de sauver sa bien-aimée capturée par Fleming, un monstre monté avec plusieurs crânes sur la tronche ! L'âme de son acolyte est enfermée dans la torche qu'il tient, puis devient son flingue par la suite , puis sa mitraillette qui tire des dents, puis son gros fusil à pompe qui éclate les monstres de près. Ce jeu est surtout un vrai délire horrifique : certaines serrures sont des têtes de gros bébé qui veulent bouffer une cervelle, une fraise ou un œil, on peut achever les monstres à terre avec nos pieds, on se bourre la gueule à la tequila pour recharger ses points de vie, le flingue se met même en érection après avoir entendu une voix de femme à un certain moment du jeu ! Les armes se customisent au dur et à mesure, on peut casser certains objets comme des caisses, un marchand délirant est également de la partie comme dans Resident Evil 4, les boss sont très corrects, le bestiaire est varié. Même si le jeu et linéaire et sans réel scénario, l'ambiance et la qualité graphique et musicale prennent largement le dessus.
Suda 15, Shinji Mikami, Akira Yamoaka… Trois grands noms du jeu vidéo qui s’allient pour pondre un nouveau jeu d’horreur, ça doit forcément être bon. Et ça l’est, mais dans une mesure complètement différente de ce que j’aurais pu penser.
Le titre n’est pas du tout un jeu d’horreur, mais tout simplement un TPS bourré d’action et d’humour, se permettant de se moquer de certains clichés du jeu vidéo en les utilisant de façon humoristique. Mais avant de parler plus en détail de l’ambiance générale du titre, voyons ce que nous réserve l’histoire.
Très simplement, elle commence alors que Paula, la petite amie de Garcia Hotspur, chasseur de démon, se fait kidnapper par Fleming, un démon très puissant. Ni une, ni deux, Garcia saute en Enfer et va tout faire pour tenter de sauver sa belle. Qu’on soit clair, le scénario n’est qu’un prétexte pour aller dézinguer du démon, il ne sert pas à grand-chose, on aura même tendance à s’en foutre, tout ce que l’on veut, c’est entrer dans le prochain niveau pour tout défoncer.
Et pour cela, Garcia est accompagné de Johnson, un ancien démon qui peut se transformer en flingue, en moto, en torche, et sûrement en pleins d’autres choses. Quatre armes sont disponibles tout au long du jeu. La torche en elle-même, un pistolet classique, une sorte de fusil à pompe et l’équivalent d’une mitrailleuse. Toutes peuvent effectuer un tir de lumière pour aveugler les ennemis, la torche, elle, pourra être chargée pour tuer un ennemi rapidement.
Mais notre ami Johnson n’est pas simplement une arme, il a aussi sa propre encyclopédie démoniaque, le Johnsonpédia ! On y trouvera quelques infos sur le monde démoniaque, les démons et sur nos armes. On pourra upgrader nos armes d’ailleurs (temps de rechargement, capacités, dommage), grâce à des Gemmes Rouges disséminées dans les niveaux, mais aussi notre barre de vie ainsi que le temps de charge de la torche.
Le gameplay ne révolutionne rien, mais il a le mérite d’être fun. Garcia se bouge correctement, facilement, il peut faire des roulades pour esquiver, sprinter, se tourner rapidement. La caméra ne pose que rarement soucis, et cela n’entache pas le plaisir de jeu. Mis à part ce gameplay très similaire à un TPS basique, vient s’ajouter une feature concernant la Lumière et les Ténèbres.
En effet, dans le monde des Démons, les Ténèbres finissent toujours par envahir le niveau, et ce à certains endroits. Les Ténèbres, ce n’est pas bon pour Garcia, qui lui feront non seulement vider sa barre de vie, mais cela rendra aussi les ennemis invincibles. Il faudra les retirer le plus tôt possible. Pour cela, il va falloir utiliser le tir de lumière de votre arme, et chercher une tête de mouton. Oui, une tête de mouton. En tirant dessus, les Ténèbres se dissipent enfin et vous pouvez ensuite tuer les ennemis.
Sur le chemin, on trouvera des distributeurs de boissons, qui serviront à se remettre de la vie. On pourra acheter du saké, de la tequila, ou des packs de ses deux boissons. Avec quoi acheter tout ça ? Des gemmes blanches que l’on récoltera sur nos ennemis ou dans des caisses. Un vendeur nous proposera à certains endroits d’acheter des munitions d’armes (des os, des dents !).
L’ambiance et les dialogues sont tout simplement géniaux. Le travail accompli sur ce point est énorme, les musiques décalées aidant aussi là-dessus. Il y a des détails qui sont tellement bêtes que c’en ai drôle, comme ce boss qui fera péter son cheval pour mettre des Ténèbres, ou lui-même urinera dans une fontaine pour que les Ténèbres arrivent. Du grand n’importe quoi, mais ça fait sourire !
En plus de ce côté humoristique tout au long du titre, on croisera très souvent Paula, qui se fera tuer de toutes les façons possibles dans chaque niveau, sans que Garcia ne puisse faire quoi que ce soit. Ce qui aura pour finalité de rendre la pauvre Paula complètement folle, nous donnant des phases de courses poursuites assez stressantes ! Le gameplay se montre d’ailleurs un peu plus varié que prévu, puisqu’on aura droit à des phases de Shoot’em Up en 2D, ainsi que des scènes où l’on devra shooter des ennemis avant qu’ils ne s’approchent de nous, tout cela à l’aide d’une arme totalement folle, et de commentaires de Garcia franchement énormes.
Le jeu est tout de même relativement cours, même pas 10h pour le terminer, il est aussi très moche, mal animé, avec quelques soucis techniques. Mais quoi qu’il en soit, encore une fois, ça ne m’a pas empêché de m’éclater sur ce jeu, qui procure un fun immense.
Shadows of the Damned, s’il n’est pas un jeu extrêmement compliqué ni même exceptionnel, reste ultra fun, possédant une ambiance de folie, des dialogues géniaux, des musiques de qualité, une DA sympa (même si assez sombre finalement), et m’aura fait passer un excellent moment. Un très bon jeu, réalisé par trois grandes figures du jeu vidéo.
Et vous l enfer, ça vous tente? vous avez jamais revé de ploner au fin fond des tenebres à la recherche de sang et d action pour pouvoir sauver votre dulciné, tel le valeureux Garcia Hotspur?
Ou vous preferez peut etre rester chez vous avachi dans votre fauteuil confortable et etre specacteur et acteur à distance des aventure de notre heros et de son fidele compagnon, le flingue multifonction Jonnhy?
Quoi qu il en soit si vous en etes arrivez la, c est que vous avez confronter à la réalité, et ces faits sont indiscutables.
Shadow of the damned est à ce jour l un des , si ce n est le meilleur jeu D un studio qui avais deja su se faire remarqué sur son remarquable travail sur des titres tel que Killer 7 ou No more Heroes, je parle bien sur de Grasshoper Manufacture.
Au programme un ptit voyage dans le royaume des morts, de l action, de l humour, ou plutot L Humour grasshoper, qui lui est propre, et des boss memorables.
Mixez donc le tout et vous obtiendrez des heures de plaisir, pas besoin pour ma part de plus argumenter, c est simple mais efficace, et indeniablement sensationelle
Shadows of the Damned a une direction artistique intéressante, mais manque clairement de level design, de variété.
Un de ses défauts( si on met de côté la maniabilité un peu bancale pour un TPS ) est qu'il reste bloqué les fesses entre deux chaises : est-ce un survival horror ou un jeu de shoot horrifique à caractère humoristique ?
Aussi bien dans le scénario que dans les phases de gameplay on alterne constamment entre des séquences intéressantes avec une ambiance glauque et des trucs un peu débiles cher à Suda51. ( d'ailleurs si Mikami avait fait le jeu tout seul il aurait surement été de meilleure facture )
Shadows se parcourt néanmoins très facilement, on ne s'ennuie pas malgré quelques répétitions et on rentre facilement dans le jeu. La direction artistique est en grande partie très efficace, oscillant entre Resident Evil, Silent Hill et le côté poétique de Tim Burton.
Seulement voilà, le jeu aurait mérité au moins trois points de plus s'il avait bénéficié d'un NewGame+. On retrouve durant toute l'aventure un système d'upgrade à la RE4 mais impossible de rejouer le jeu en gardant ses stats, et cela nuit énormément à l'intérêt du jeu qui se finit en une petite dizaine d'heures.
Très sympa ce "Shadows of the Damned" !
Bien qu'imparfait , le jeux a tout de même une ambiance vraiment "What The Fuck" qui le différencie de masse. Je retiendrais surtout un jeu qui se prend pas au sérieux , qui a des environnements sympas , variés et inventifs à défaut d’être le must graphiquement mais dont la générosité visuelle ne fait aucun doute(je pense notamment aux séquences psychédéliques). J'ai également apprécié les dialogues loufoques et référentiels ainsi qu'une musique soignée de Akira Yamaoka himself ! C'est de la série B jouissive en jeu vidéo , c'est loin d’être parfait (IA limite , linéaire , personnages peu fouillés et caricaturaux...) mais c'est tellement moins lisse que certains jeux à succès !
Je ne m'attendais à rien en jouant à ce jeu, et j'ai été agréablement surpris ! Les graphismes ne sont pas folichon, mais ils tiennent la route, même si parfois ils partent en vrac, par contre les passages dans les ténèbres sont particulièrement soignés ! Niveau jouabilité c'est nerveux et efficace, tirer sur une jambe pour l'exploser et faire tomber l'ennemi pour ensuite l'écraser violemment, c'est gore et fun ! Pas beaucoup d'arme mais beaucoup d'améliorations pour celles-ci tout au long du jeu, ça revient un peu au même car le flingue peut faire office de lance grenade et j'en passe ! Les passages dans les ténèbres peuvent être stressant car on perd de la vie donc il faut réagir vite et efficacement ! Les boss sont tous excellent et tirent parfaitement profit de ce système, malheureusement une fois compris ça, ils deviennent inoffensifs tant on les enchaîne ! Le scénario ne casse pas trois pattes à un canard, mais il ne faut pas le juger trop rapidement ! En avançant dans le jeu, il y a des livres nous racontant l'histoire du futur boss, c'est délirant, du gros n'importe quoi, mais au moins on comprends pourquoi ils sont devenus comme ça, aussi les anecdotes de Garcia concernant sa femme sont exquises et le tout, aussi bien les livres que les sottises que racontent Garcia contribuent au background, maigre, certes, mais pas inexistants, le jeu est très court donc tout s'enchaîne, et c'est très bien foutu, surtout que la fin est intéressante. Une belle surprise délire, sexy et trash, fun et débridé, un jeu à tester !
Un TPS doté d'une Direction artistique de folie (western horrifique décalé)mais avec un gameplay extrement rigide (imaginer resident evil 4 dans un univers de john carpenter), une faible durée de vie (7h) un manque de boss, des passages pénibles (les courses poursuites) et finalement une aventure bien trop sage!
Pour les gamers en quête d'expérience atypique surtout au vu de son prix modique pour un concentré d'action baroque.
J'ai bien aimé mais je le trouve incomplet; EA a censuré mikami et suda51 dans leur intentions.