Ce qui frappe d'emblée et en bien réussi quand on commence le jeu, c'est l'ambiance eighties.
Que ce soit la musique à la Blade Runner ou à la John Carpenter (dont la filiation ne s'arrête pas là puisque l'ombre, mais seulement l'ombre de The Thing plane sur le jeu), vous vous retrouvez tout de suite plongé dans cet univers fort nostalgique que vous avez peut-être eu le bonheur de connaître si vous avez passé la quarantaine.
Passé la chaude ambiance dans cet univers polaire, on entre tout de suite dans le vif du sujet: le jeu est difficile.
Entre le froid, le manque de sommeil ou le trop plein de sommeil synonyme de rencontres monstrueuses et mortelles, la faim et les blessures, vous avez largement de quoi subir les affres de la douleur et de la mort.
Hélas pour vous, celle-ci ne se fera pas attendre longtemps: un faux pas, une action accomplie au détriment d'une autre, et c'est la fin.
Le problème est que si au début on s'en accommode, vient assez vite le temps où on baisse les bras devant cet amoncellement de difficultés.
Dommage aussi que le jeu ne soit pas traduit en français; ça nuit quelque peu à la compréhension de certains passages.
On s'y essaiera pour l'ambiance plaire et isolée du monde, mais on l'abandonnera au final pour un jeu qui facilitera plus l'exploration.
Ce qui frappe d'emblée et en bien réussi quand on commence le jeu, c'est l'ambiance eighties.
Que ce soit la musique à la Blade Runner ou à la John Carpenter (dont la filiation ne s'arrête pas là puisque l'ombre, mais seulement l'ombre de The Thing plane sur le jeu), vous vous retrouvez tout de suite plongé dans cet univers fort nostalgique que vous avez peut-être eu le bonheur de connaître si vous avez passé la quarantaine.
Passé la chaude ambiance dans cet univers polaire, on entre tout de suite dans le vif du sujet: le jeu est difficile.
Entre le froid, le manque de sommeil ou le trop plein de sommeil synonyme de rencontres monstrueuses et mortelles, la faim et les blessures, vous avez largement de quoi subir les affres de la douleur et de la mort.
Hélas pour vous, celle-ci ne se fera pas attendre longtemps: un faux pas, une action accomplie au détriment d'une autre, et c'est la fin.
Le problème est que si au début on s'en accommode, vient assez vite le temps où on baisse les bras devant cet amoncellement de difficultés.
Dommage aussi que le jeu ne soit pas traduit en français; ça nuit quelque peu à la compréhension de certains passages.
On s'y essaiera pour l'ambiance plaire et isolée du monde, mais on l'abandonnera au final pour un jeu qui facilitera plus l'exploration.