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7 notes

Les avis les plus utiles

20/20
conan3d
Alerte
Niveau 3
Posté le 11 sept. 2014 à 00:00

HATOFUL BOYFRIEND
ou pourquoi j’ai pleuré devant des pigeons.

Vous en avez forcément entendu parler. Un dating sim, ce genre de jeux bien japonisant, mais où tous les humains sont remplacés par des pigeons? #LEJAPOOOOOOOOOONTOPLEL.

SAUF QUE non. Déjà on joue une humaine. Et certes on “drague” des pigeons, sauf que c’est que la partie émergée de l’iceberg. Mais commençons par le commencement.

Hatoful Boyfriend est un jeu de type “otome game” (c’est à dire, un dating sim pour femmes) crée par PigeoNation Inc, qui est le cercle doujin (en gros le studio de développement) de Moa Hato, un mangaka. On y incarne Hiyoko Tosaka, une humaine qui intègre l’institut St. PigeoNation, la plus prestigieuse école japonaise par et pour les pigeons. A partir de là, il faut essayer de “draguer” un certain nombre de volatiles afin de débloquer leurs différentes fins.
Un remake “HD” est sorti le 4 septembre 2014, développé par Mediatonic (les créateurs de Foul Play) et édité par Devolver, et notamment Hotline Miami et Serious Sam 3. Et c’est de cette version dont je vais vous parler.

La première partie, on est face à un dérivé du Visual Novel. On lit beaucoup et on fait quelques choix. Un type va revenir souvent, c’est le choix du cours. On a le choix entre mathématiques, qui augmente l’intelligence, gym, qui augmente la “force” (mais c’est plus des PV en fait), et musique, qui augmente le charisme. Selon certaines “routes”, il faudra augmenter certaines stats plus que d’autres. Voilà pour le gameplay. C’est très (trop?) simple, mais amplement suffisant. Le plus important restant, dans ce genre de jeux, le scénario.

Le scénario de la première partie du jeu consiste donc à essayer de pécho tous les oiseaux qu’on nous présente : Ryouta, le meilleur ami, Sakuya, l’aristo à la française, Yuuya, son demi frère, Nageki le timide rat de bibliothèque, San, le pigeon un peu con (protip : c’est le meilleur), Kazuaki, le prof principal, Shuu le médecin scolaire, et Anghel, qui se croit dans un univers fantaisiste (amateurs de Chuunibyou, c’est pour vous). Chaque route est particulière, très souvent très drôle, à l’exception d’une ou deux. Du coup, il faut recommencer le jeu à chaque fois, et repasser par certains passages déjà vus. Heureusement, on peut accélérer le défilement du texte et vite passer ce qui a déjà été vu.

La deuxième partie du jeu se fait lorsque toutes les fins “principales” ont été débloquées, ou à peu près toutes, on débloque la séquence “Bad Boys Love”, qui est la vraie fin du jeu et qui explique le scénario, pose une cohérence au postulat de base. Je vous laisse le soin de le découvrir par vous même.
Tout ce passage dure entre une et deux heures, peut être même trois, et est vraiment, vraiment, excellent. Je me force à peser mes mots, mais j’ai une faculté à être happé directement dès que je rentre dans ce genre de scénario. Il y a du mystère, des meurtres, de la conspiration, des retournements de situation… Voilà ce qu’est cette deuxième partie : elle contrebalance tout l’aspect parodique/comique de la première partie. C’est du putain de serious business.

Qu’est-ce que je pourrais dire pour finir? J’ai fini le jeu en à peu près 16 heures, en trois jours. Il a réussi à véritablement me faire hurler de rire, et aussi à véritablement me faire chialer. Mais pas la petite larmichoutte de merde, non, j’ai vraiment pleuré.

Devant un jeu de drague.

AVEC DES PUTAIN DE PIGEONS.

12/10.

Lire la suite...
17/20
Titus_Mede
Alerte
Niveau 10
Posté le 22 janv. 2015 à 23:24

Une bien belle histoire selon moi. Pas de spoilers dans mon commentaire.

Au départ je dois dire que j'étais assez sceptique, voire même un peu déçu. Et vous le serez peut-être aussi au début (enfin ça dépend de vos attentes). Personnellement, le seul visual novel que j'avais fait jusque là était Katawa Shoujo. Dans ce dernier, j'avais beaucoup aimé la façon dont se développaient les histoires d'amour. Je trouvais ça assez « réaliste », le jeu laissait beaucoup place au quotidien, aux réflexions du héros, le tout sur pas mal d'heures. Bref tous les ingrédients nécessaires pour qu'on s'attache à des personnages.

Ici c'est moins le cas. Les histoires d'amour sont beaucoup trop courtes selon moi (et passent quasi-uniquement par des dialogues, pas de place aux longs états d'âme comme dans Katawa). Du coup c'est dur au début de se mettre dans la peau du personnage qu'on joue (une jeune fille de 15 ans au passage, donc en tant que mec c'est une autre barrière) et de nos amis à plumes.

Mais en fait l'erreur vient de moi et de mes attentes. Je pensais retrouver la même expérience que Katawa Shoujo. Il faut avoir à l'esprit que les histoires d'amour ne constituent pas du tout le cœur du jeu. Elles sont toutefois nécessaires car elles construisent une sorte de cadre général de l'univers. Et mine de rien, en les faisant toutes, on commence à s'attacher et à apprécier nos petits pigeons. Au fil des histoires qui défilent, on commence à se poser quelques questions sur le fin mot de l'histoire car le background est plus sérieux qu'il en a l'air (difficile à croire en voyant les images oui !).

En achevant les histoires d'amour, le joueur dispose de tous les éléments nécessaires en tête pour se plonger plus profondément dans l'univers du jeu. Puisque c'est en effet à ce moment là que le jeu débloque une autre histoire, la « vraie » fin en quelque sorte. Et c'est plutôt intelligent de la part des développeurs, car assurément il aurait été impossible de se lancer dans cette nouvelle histoire sans avoir auparavant fait connaissance avec tous les personnages et l'univers.

Cette deuxième partie du jeu en quelque sorte est juste super bien foutue. L'histoire est alors haletante jusqu'au bout (même si un peu prévisible sur certains détails, le plaisir n'est en rien gâché quand même) et elle creuse encore plus en détail les personnages qu'on adore définitivement. J'avais commencé cette partie comme ça dans l'après-midi pour voir le début et je n'ai plus décroché alors jusqu'à 23 h, elle doit bien durer 3-4 heures à elle seule, bien plus qu'une histoire d'amour de la première partie. Je pense que le jeu a surtout été fait pour cette partie, mais vous êtes prévenu, il faut passer le cap de la première partie (qui n'en n'est pas vraiment un non plus puisqu'on prend quand même un vrai plaisir à découvrir ces histoires bien sûr !).

Bref, prévoyez 20 h je pense pour finir le jeu à 100 % avec toutes ses fins, tout à fait correct vu le prix (il était à 4 euros en promo pendant des soldes sur steam).

Je recommande également l'édition collector qui comprend l'OST que je trouve génial.

Seul point noir mais tout à fait subjectif : la tête humaine des personnages. Déjà au niveau cohérence, j'ai du mal à saisir pourquoi des pigeons auraient une espèce de correspondance avec un visage humain. Surtout, c'est le design en soi auquel j'accroche pas. Mais bon j'imagine que certains ont besoin de se dire qu'il y a un humain derrière le pigeon. Chacun se fera son avis là-dessus, sachez juste que les visages ne sont visibles qu'une fois au début du jeu et qu'on peut les désactiver au début. Personnellement, je n'ai fini par voir que les oiseaux attachants et pas leur supposé visage humain.

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Tous les avis lecteurs (7)

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20/20
conan3d
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Niveau 3
Posté le 11 sept. 2014 à 00:00

HATOFUL BOYFRIEND
ou pourquoi j’ai pleuré devant des pigeons.

Vous en avez forcément entendu parler. Un dating sim, ce genre de jeux bien japonisant, mais où tous les humains sont remplacés par des pigeons? #LEJAPOOOOOOOOOONTOPLEL.

SAUF QUE non. Déjà on joue une humaine. Et certes on “drague” des pigeons, sauf que c’est que la partie émergée de l’iceberg. Mais commençons par le commencement.

Hatoful Boyfriend est un jeu de type “otome game” (c’est à dire, un dating sim pour femmes) crée par PigeoNation Inc, qui est le cercle doujin (en gros le studio de développement) de Moa Hato, un mangaka. On y incarne Hiyoko Tosaka, une humaine qui intègre l’institut St. PigeoNation, la plus prestigieuse école japonaise par et pour les pigeons. A partir de là, il faut essayer de “draguer” un certain nombre de volatiles afin de débloquer leurs différentes fins.
Un remake “HD” est sorti le 4 septembre 2014, développé par Mediatonic (les créateurs de Foul Play) et édité par Devolver, et notamment Hotline Miami et Serious Sam 3. Et c’est de cette version dont je vais vous parler.

La première partie, on est face à un dérivé du Visual Novel. On lit beaucoup et on fait quelques choix. Un type va revenir souvent, c’est le choix du cours. On a le choix entre mathématiques, qui augmente l’intelligence, gym, qui augmente la “force” (mais c’est plus des PV en fait), et musique, qui augmente le charisme. Selon certaines “routes”, il faudra augmenter certaines stats plus que d’autres. Voilà pour le gameplay. C’est très (trop?) simple, mais amplement suffisant. Le plus important restant, dans ce genre de jeux, le scénario.

Le scénario de la première partie du jeu consiste donc à essayer de pécho tous les oiseaux qu’on nous présente : Ryouta, le meilleur ami, Sakuya, l’aristo à la française, Yuuya, son demi frère, Nageki le timide rat de bibliothèque, San, le pigeon un peu con (protip : c’est le meilleur), Kazuaki, le prof principal, Shuu le médecin scolaire, et Anghel, qui se croit dans un univers fantaisiste (amateurs de Chuunibyou, c’est pour vous). Chaque route est particulière, très souvent très drôle, à l’exception d’une ou deux. Du coup, il faut recommencer le jeu à chaque fois, et repasser par certains passages déjà vus. Heureusement, on peut accélérer le défilement du texte et vite passer ce qui a déjà été vu.

La deuxième partie du jeu se fait lorsque toutes les fins “principales” ont été débloquées, ou à peu près toutes, on débloque la séquence “Bad Boys Love”, qui est la vraie fin du jeu et qui explique le scénario, pose une cohérence au postulat de base. Je vous laisse le soin de le découvrir par vous même.
Tout ce passage dure entre une et deux heures, peut être même trois, et est vraiment, vraiment, excellent. Je me force à peser mes mots, mais j’ai une faculté à être happé directement dès que je rentre dans ce genre de scénario. Il y a du mystère, des meurtres, de la conspiration, des retournements de situation… Voilà ce qu’est cette deuxième partie : elle contrebalance tout l’aspect parodique/comique de la première partie. C’est du putain de serious business.

Qu’est-ce que je pourrais dire pour finir? J’ai fini le jeu en à peu près 16 heures, en trois jours. Il a réussi à véritablement me faire hurler de rire, et aussi à véritablement me faire chialer. Mais pas la petite larmichoutte de merde, non, j’ai vraiment pleuré.

Devant un jeu de drague.

AVEC DES PUTAIN DE PIGEONS.

12/10.

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17/20
Titus_Mede
Alerte
Niveau 10
Posté le 22 janv. 2015 à 23:24

Une bien belle histoire selon moi. Pas de spoilers dans mon commentaire.

Au départ je dois dire que j'étais assez sceptique, voire même un peu déçu. Et vous le serez peut-être aussi au début (enfin ça dépend de vos attentes). Personnellement, le seul visual novel que j'avais fait jusque là était Katawa Shoujo. Dans ce dernier, j'avais beaucoup aimé la façon dont se développaient les histoires d'amour. Je trouvais ça assez « réaliste », le jeu laissait beaucoup place au quotidien, aux réflexions du héros, le tout sur pas mal d'heures. Bref tous les ingrédients nécessaires pour qu'on s'attache à des personnages.

Ici c'est moins le cas. Les histoires d'amour sont beaucoup trop courtes selon moi (et passent quasi-uniquement par des dialogues, pas de place aux longs états d'âme comme dans Katawa). Du coup c'est dur au début de se mettre dans la peau du personnage qu'on joue (une jeune fille de 15 ans au passage, donc en tant que mec c'est une autre barrière) et de nos amis à plumes.

Mais en fait l'erreur vient de moi et de mes attentes. Je pensais retrouver la même expérience que Katawa Shoujo. Il faut avoir à l'esprit que les histoires d'amour ne constituent pas du tout le cœur du jeu. Elles sont toutefois nécessaires car elles construisent une sorte de cadre général de l'univers. Et mine de rien, en les faisant toutes, on commence à s'attacher et à apprécier nos petits pigeons. Au fil des histoires qui défilent, on commence à se poser quelques questions sur le fin mot de l'histoire car le background est plus sérieux qu'il en a l'air (difficile à croire en voyant les images oui !).

En achevant les histoires d'amour, le joueur dispose de tous les éléments nécessaires en tête pour se plonger plus profondément dans l'univers du jeu. Puisque c'est en effet à ce moment là que le jeu débloque une autre histoire, la « vraie » fin en quelque sorte. Et c'est plutôt intelligent de la part des développeurs, car assurément il aurait été impossible de se lancer dans cette nouvelle histoire sans avoir auparavant fait connaissance avec tous les personnages et l'univers.

Cette deuxième partie du jeu en quelque sorte est juste super bien foutue. L'histoire est alors haletante jusqu'au bout (même si un peu prévisible sur certains détails, le plaisir n'est en rien gâché quand même) et elle creuse encore plus en détail les personnages qu'on adore définitivement. J'avais commencé cette partie comme ça dans l'après-midi pour voir le début et je n'ai plus décroché alors jusqu'à 23 h, elle doit bien durer 3-4 heures à elle seule, bien plus qu'une histoire d'amour de la première partie. Je pense que le jeu a surtout été fait pour cette partie, mais vous êtes prévenu, il faut passer le cap de la première partie (qui n'en n'est pas vraiment un non plus puisqu'on prend quand même un vrai plaisir à découvrir ces histoires bien sûr !).

Bref, prévoyez 20 h je pense pour finir le jeu à 100 % avec toutes ses fins, tout à fait correct vu le prix (il était à 4 euros en promo pendant des soldes sur steam).

Je recommande également l'édition collector qui comprend l'OST que je trouve génial.

Seul point noir mais tout à fait subjectif : la tête humaine des personnages. Déjà au niveau cohérence, j'ai du mal à saisir pourquoi des pigeons auraient une espèce de correspondance avec un visage humain. Surtout, c'est le design en soi auquel j'accroche pas. Mais bon j'imagine que certains ont besoin de se dire qu'il y a un humain derrière le pigeon. Chacun se fera son avis là-dessus, sachez juste que les visages ne sont visibles qu'une fois au début du jeu et qu'on peut les désactiver au début. Personnellement, je n'ai fini par voir que les oiseaux attachants et pas leur supposé visage humain.

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13/20
dylan058
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Niveau 10
Posté le 10 nov. 2014 à 00:00

Si vous aimez le genre, "Hatoful Boyfriend" devrait vous plaire, malheureusement le fait de communiquer avec des pigeons pourrait gâcher le plaisir à plus d’un joueur. Les pigeons sont plus un argument de vente pour toucher un grand public au final, ce qui peut déranger les fans d’Otome Game en manque de drague. Malgré tout, de gros efforts ont été faits et le rendu final est loin d’être mauvais, donc pourquoi de ne pas tenter l’aventure ? .... Les plus.... - Un Otome Game en Europe
- Beau visuellement
- Une histoire accrocheuse. ..... Les moins.... - Trop de pigeons tue le pigeon
- La résolution des images de pigeons trop faible .

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0/20
fizzrocks
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Niveau 6
Posté le 04 oct. 2017 à 00:30

Si vous avez du temps (et de l'argent) à perdre, ce jeu est fait pour vous ♥♥♥

On pourrait se laisser séduire par le côté histoire interactive, mais on se noie bien trop facilement dans des cinématiques qu'on finit par ne plus lire tant la redondance du script est évidente ; le jeu propose même un mode passage rapide des dialogues comme si les développeurs savaient qu'ils proposaient un véritable canular. La fin du jeu (dieu merci il y en a une) est insipide et n'a, comme toute le reste, AUCUN SENS. Les caractéristiques du personnages ne servent qu'à nourrir la pauvreté du contenu, mais rien d'important.

Les jeux indés, d'accord, les OVNI, ok, mais Hatoful Boyfriend n'est même pas un jeu, stop la bêtise...

Je déconseille évidemment.

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15/20
Fenharle40
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Niveau 10
Posté le 05 oct. 2022 à 23:40

Le jeu en lui-même est très bien et le graphique aussi. Les nonbreux joueurs que l'on nous propose sont géniaux. Le nombre de salles pour jouer à l'intérieur sont bien. Les matches sont assez faciles. Le service est très dure à réaliser. La puissance de frappe est excellente.

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18/20
SousBlister2
Alerte
Niveau 6
Posté le 16 août 2016 à 15:54

Pourquoi une note si grande pour un si petit jeu ?

C'est simple. Pour être concis, en quelques points :

Concept original, loufoque mais qui fait mouche. En tout cas moi quand on me propose de pouvoir gober des cloaques de pigeons en chaleur, je dis oui oui oui.

Personnages qui se révèlent au final attachants pour peu qu'on ait assez de présence d'esprit pour voir plus loin que "WTFFF DES PIGEONS olol may ils ont pris de la droooogue"

Si vous aimez les visual novel, eroge, etc, vous allez aimer ça. La traduction française est pas forcément parfaite, mais reste convenable pour retranscrire les jeux de mots ou dialogues écrit par l'unique écrivain et développeur du jeu, qui est un mangaka dont je ne me rappelle plus le nom.

Beaucoup de fins différentes. Et pour peu que vous vous donniez le nom d'un ami, ce jeu peut faire rire bien fort. En particulier quand vous vous faites tuer par desninjas parce que vous êtes manifestement trop connes.

L'OST est aux petits oignons. C'est simple : Elle seule fait passer ce jeu de Moyen+ à Epic++. Des morceaux soigneusement choisis pour chaque persos.

Et enfin : Une True ending totalement fofolle, qui va put être même un peu trop loin, mais qui est tellement pleine de twists, et qui approfondit tellement le lore du jeu qu'elle seule vaut les 3/4 du prix du jeu. Je ne peux pas en dire plus pour ne rien spoiler, mais si on est immergé dans le jeu, alorschacune des révélations fait mouche, jusqu'à gueuler "QUOI ?! NAAAAAN" devant son PC comme un dément. Pourtant, j'ai joué à énormément de jeu de SF, d'infiltration ou autre, mais ce jeu est celui qui m'a le plus surpris.

Je mets ce 18/20 en particulier pour soutenir et valoriser ce jeu, qui a un rapport qualité/prix des plus sûrs. Je me suis amusé sur ce jeu environ 15 fois plus fort que sur No man's Sky. Nofake. Bien sûr, si vous êtes allergique aux livres, et à la dérision ainsi qu'à un humour loufoque, NE PRENEZ PAS CE JEU. Vous passeriez à côté de tout ce qui fait sa force.

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16/20
BananeGentille
Alerte
Niveau 45
Posté le 14 août 2016 à 22:40

D'un premier abord, on a un jeu niais et WTF. On joue une humaine dans un univers de pigeons, déjà ce postula de base envoie du rêve à mon sens. Le jeu parodie énormément de code du JV au travers d'une aventure gnangnan dont le côté kitch est totalement assumé ... MAIS c'est sans compté le véritable scénario qui ne se dévoile qu'en optant pour les bons choix . C'est véritablement à travers cet angle caché que le jeu prends tout son intérêt et envoie vraiment du lourd. D'intéressantes problématiques sont traitées et de bons rebondissements sont présents. Grosse bémole néanmoins, nous généralement plus spectateur qu'acteur. Le jeu se veut très dirigiste et nous laisse très peu de choix au final, ce qui est assez frustrant. C'est pourquoi je ne mets que 16/20 mais vous le recommande chaudement pour la double face "délire/sérieux".

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1