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Les devs de Supergiant Games avaient déjà fait fort avec Bastion et frappent encore un grand coup avec Transistor.
Tout d'abord, ce qui frappe en premier, ce sont les visuels. L'univers cyber-punk mis en avant par des graphismes impressionnistes à la Klimt est très prenant et, loin des univers "réalistes" et poussés des grosses licences, très rafraîchissant.
Le gameplay est lui aussi très agréable à prendre en main, l'aspect tactique des combats est incontournable et en fait tout le charme : mélangeant nervosité et stratégie presque au tour par tour, il est le juste équilibre entre le jeu bourrin et de réflexion (ce qu'aurait pu devenir, sans sa répétitivité, Remember me). L'insignifiant bémol (et seul point noir du tableau) est qu'il comprend peu de phases de tutoriel, laissant un peu le joueur se dépatouiller au début mais c'est un aspect vite oublié au fur et à mesure des nombreux combats toujours bourrés d'inventivité et de challenge.La difficulté progresse elle aussi tout en fluidité et on se retrouvera à faire des combats grandioses avec autant d'aisance que pendant les premiers.
La musique n'est pas en reste et est elle aussi à tomber : du jazz mélancolique à de l'électro plus nerveuse en passant par des morceaux plus burlesques, plus lounge. Elle fait également partie intégrante du scénario, en devient un des moteurs et rythme parfaitement l'aventure.Les bruitages ne sont pas en reste au point de s'y intégrer et la voix grave et granuleuse de Transistor (en V.O. sous-titrée heureusement)accompagne nos pérégrinations avec ses commentaires toujours bien placés. Les morceaux chantés par Ashley Barret en constituent la pièce maîtresse et sont parfaitement écoutables en dehors du jeu lui-même.
Le scénario est également une des pierres angulaires de ce jeu : les graphismes, le gameplay et la musique servent toujours ses intérêts et ne sont qu'un prétexte à une histoire mystérieuse, sombre et envoûtante (sans blague!), sans clichés ni poncifs. Le background se dévoile lui aussi peu à peu sous peine que l'on explore un peu la ville où se déroule l'action.
Comme pour Bastion, SuperGiant Games signe-là une autre perle du jeu vidéo avec donc des graphismes, un gameplay et une musique tels que l'on n'a pas vu depuis trop longtemps.
Ah Transistor... Quel jeu ! Je viens tout juste de le finir et je dois dire que j'en suis encore chamboulé tellement la direction artistique est magnifique. Et que dire de la bande sonore ? Magistrale !
SuperGiant Games nous livre ici, comme avec son premier jeu Bastion, un bijou vidéoludique. Quand j'ai commencé Transistor je n'étais pas aussi emballé qu'avec Bastion. Il est vrai que le fait de lancer le jeu et de débarquer d'emblée dans le cœur de l'histoire, qui plus est complexe, n'aide pas vraiment. Mais au fur et à mesure que l'on avance dans le scénario, que l'on a compris le mécanisme d'agencement des différentes compétences, c'est là qu'on commence à apprécier le jeu à sa juste valeur. Et justement, plus on avance, plus on a envie d'en savoir plus sur ce qui se passe à Cloudbank et ce qui se cache derrière la Camerata. SuperGiant Games nous tient en haleine jusqu'au bout et nous incite à continuer afin de connaitre le fin mot de l'histoire. Personnellement j'ai trouvé l'histoire super prenante, plus qu'avec Bastion, qui pourtant, dispose d'une très bonne direction artistique à mon sens. Ajouté à cela la bande son - fantastique - qui colle parfaitement à chaque situation. Les musiques sont tellement magnifiques que j'ai acheté l'OST en plus du jeu quasiment en Day One. J'avais confiance en SuperGiant Games de ce côté là ; j'ai pas eu tort =D
Vous l'aurez compris j'ai adoré jouer à Transistor. Septique au début, puis conquis à la fin, ce jeu m'a transporté dans une autre dimension.
Celles et ceux qui ont adoré Bastion pour son côté artistique, son gameplay quelque peu atypique, son histoire et surtout sa bande son, alors foncez ! Vous ne regretterez pas de prendre part à cette aventure si singulière 
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Un des jeux qui m'ont le plus soufflé, juste devant Bastion. Pour la deuxième fois, Supergiant Games nous a pondu une direction artistique à laisser tomber sa mâchoire sur le sol.
La bande-son est tout aussi envoûtante, même si je préférais personnellement celle de Bastion. N'oubliez pas de rester appuyé sur Tab de temps en temps !
Le système de combat est fichtrement bien pensé, que ce soit pour les centaines de combinaisons de skills possibles ou la capacité de planifier ses attaques. Il est extrêmement jouissif d'appuyer sur Espace, voir sa chère chanteuse-ninja dasher dans tous les sens et enchaîner les coups rapides, pour finalement se retrouver seule au milieu des cadavres ennemis.
Vraiment, même si je suis globalement d'accord avec les défauts pointés pas JV.com, le jeu mérite bien plus que 15. C'est un petit bijou, un travail d'orfèvre à la réalisation impeccable, surtout si on tient compte de la taille du studio qui l'a produit (cf le générique de fin ridiculement court).
Il existe actuellement 7 formes d'art : la poésie, la musique, le théâtre, les arts plastiques, la rhétorique, la danse et le cinéma.
Pourquoi cette intro pompeuse ?
Parce que pour moi Transistor prouve bel et bien que le jeu vidéo a tout à fait le droit de prétendre à la 8ème forme d'art, car son gros point fort est une direction artistique quasi parfaite sur tous les aspects.
Les graphismes sont superbement travaillés et possèdent une personnalité indéniable, le rendant unique. Ce jeu prouve bel et bien qu'un AAA peut bien afficher des graphismes à faire déchirer la rétine, si il n'y a pas de vrai personnalité derrière, finalement ça sonne creux et ça ne marque pas de manière aussi importante le joueur.
Effectivement transistor n'est pas une prouesse technique et ne risque pas de mettre à genoux votre PC. Mais avec des dessins de cette acabit, franchement, la puissance graphique devient le dernier de nos soucis.
Les musiques, composé par Darren Korb, sont également réussies et complètent admirablement cette production. C'est un véritable plaisir pour les oreilles et je n’exagères pas en disant que Transistor n'aurait absolument pas le même impact sans ses musiques.
Un exemple concret : l'action permettant à Red de s'immobiliser pour fredonner sur l'air de la musique en cours. Ça peut paraitre assez cheap lorsqu'on découvre le jeu...mais finalement, on se prend au jeu et on fini par se surprendre à rester là, immobile pendant plusieurs minutes, à écouter la superbe Red murmurer.
Concernant le scénario mais alors là on en reste pantois et on s'aperçoit que pour des histoire originales et bien écrit, il faut abandonner les grosses production et se tourner vers les indépendants (à quelques exceptions près).
Le scénario de Transistor n'est certes pas simple à appréhender et porte des critiques sur notre société qui ne sont pas évidente aux premiers abords. Mais celui ci est bel et bien de qualité, on suit les tribulations de Red dans Cloudbank avec beaucoup de plaisir.
Le scénario est également admirablement servit par une narration au poil, grâce au fameux Transistor et à la conscience qui l'habite. L'acteur qui prête sa voix au Transistor mérite un Oscar, franchement.
Mais Transistor est un jeu avant tout, donc faut bien parler du gameplay.
On est dans le domaine de l'action-RPG assez basique mais de qualité. Les actions disponibles pour Red ne sont pas hyper nombreuses et peuvent faire peur par leur faible nombre au premier abord.
Mais ces actions peuvent être couplées entre elles et on obtient alors des capacités unique permettant moult stratégies pour venir à bout des ennemis les plus retords. Essayer les diverses combinaisons est un véritable plaisir et renouvelle les combats.
Transistor possède quand même des défauts, tel un bestiaire pas hyper étoffé et artificiellement agrandi par 4 versions plus balèze pour chaque monstres, avec également des menus trop épurés et pas intuitifs. On a aussi une durée de vie un poil courte, le jeu tenant difficilement plus de 6-7H, ce qui fait que les 18€ à l'achat pique un peu.
Cependant, même si ça peut paraitre cher, ce jeu DOIT être tester, à tout prix. Ruez vous dessus, sans hésiter.
Quand je l'ai acheté, je n'étais pas vraiment sûr que cela était une bonne idée. Mais j'en avais vraiment envie (j'adore les rouquines).
En tout cas, j'ai été bluffé, le jeu est vraiment bien, une petite histoire innovante, que je n'attendais pas et que je n'avais pas encore vue.
Le gameplay est simple et facile à prendre en main.
Le désigne est assez joli même si il est plutôt simple dans son architecture.
La musique est douce mais sait mettre en avant les phases de jeux.
Le seul problème que je trouve à ce jeu, c'est le prix, mais les sold steam permettent de l'avoir à un prix abordable.